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A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\)

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MessageSujet: Re: A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) - Page 7 EmptyVen 8 Sep - 21:27


cody + alwin
« a date: entertainment, food, and affection. »
Il était fier d'aimer une femme comme elle. Alwin la respectait tellement, elle,Cody Lexington, cette guerrière qui ne se laissait jamais abattre. Pourtant, elle en avait connu des déconvenues et Daley ne devait pas être au courant du quart à l'heure actuelle. Tout ce qu'il savait, c'était qu'elle avait perdu son père bien trop jeune, que cette blessure restait ancrée en elle depuis et Alwin, lui, aurait aimé être en mesure de panser la plaie. Il ne pouvait rien faire malheureusement, il n'y avait qu'elle qui pouvait décider de faire son deuil, lui ne pouvait qu'être le petit ami aimant lors des dates charnières, la serrant contre lui quand elle aurait mal, quand elle aurait peur, quand elle aurait simplement besoin de sa présence. Alwin ne demandait rien de plus que cela, que cette honnêteté entre eux, que ce pouvoir d'aimer jusqu'à en perdre la raison et ne se poser aucune question sur ce qui adviendrait d'eux dans le futur parce qu'il n'y avait aucun doute à avoir, ils seraient ensemble. C'était du moins la seule alternative qu'Alwin pouvait envisager à l'heure actuelle parce qu'il s'était attaché à elle d'une manière totalement folle, sans qu'il ne puisse franchement le combattre ou bien le contrôler. Elle était juste entrée dans son coeur comme une fusée quittait l'atmosphère, le tout ne durait que quelques secondes mais durant ce laps de temps, le moindre geste était question de vie ou de mort. L'amour qu'il vouait à Cody était de cet ordre là: le danseur avait besoin de lui montrer sous peine d'exploser d'un trop plein d'amour. Ce n'était pas forcément compréhensible pour les autres personnes autour de lui parce qu'il y avait de ces histoires d'amour qui ne pouvaient pas s'expliquer. De toute manière, Alwin se fichait pas mal des autres, il ne pouvait penser qu'à elle, qu'à la chance qu'il avait qu'elle soit rentrée dans sa vie à la vitesse de la lumière, annihilant toutes les souffrances passées, terrant sa peur d'aimer. Non, Alwin n'avait plus peur de rien quand il était avec Cody parce qu'elle le rassurait sur ce qu'il était en mesure d'apporter à autrui et surtout, parce qu'elle se liait à lui de la même façon que lui pouvait le faire en retour. Ce n'était pas un jeu entre eux, c'était quelque chose de tout à fait naturel, une alchimie particulière qui ne se vivait qu'à cent pour cent, sans jamais vaciller, sans jamais se perdre dans des incertitudes. Alwin n'en avait plus depuis l'instant qu'ils avaient vécu au fast food: il était persuadé que Cody représentait l'histoire de sa vie, cette femme qu'on chérissait pour toujours, malgré les hypothétiques séparations ou les circonstances de la vie. Si, un jour, il y avait d'autres aventures, si jamais leur chemin était amené à se séparer, cela ne voulait pas dire que Daley allait arrêter de l'aimer. Il était probable que Cody devienne cette femme qui restait pour toujours marquée dans son coeur, ne laissant plus une place pour d'autres prétendantes. Oui, c'était certainement pessimiste quelque part mais c'était ce qu'était le grand amour, celui qui durait toujours et qui survivait à tout, même à la distance ou au temps. Alwin ne pouvait pas se remettre d'elle, il ne pouvait même pas envisager qu'elle disparaisse de sa vie à un moment donné, la danseuse lui était devenue simplement trop précieuse. Elle était comme un trésor pour lui, ce coffre secret dont il avait terré la clé pour l'éternité avec cette certitude que l'aimer resterait pour toujours un jardin du bonheur inavoué.

A l'heure actuelle, Alwin n'avait pas besoin de lui dire, Cody devait le savoir. Elle devait le ressentir. Ils vivaient un instant d'amour incroyable, une communion qu'on ne vivait pas à chaque aventure parce qu'on ne pouvait pas aimer à ce point dès la première fois. C'était presque mission impossible d'être acteur d'un tel instant de bonheur et de tendresse et pourtant, ils étaient là, tous les deux, à récolter les miettes de l'étreinte torride qu'ils venaient de partager. Daley ne pouvait même plus respirer décemment après une telle montée au septième ciel, décidant de ne pas s'arracher aux bras de sa belle qui avait elle aussi un mal fou à s'en remettre. Alwin allait encore une fois se refaire le film de cette épopée, la sentir partir contre lui, entendre son nom courir entre ses lèvres entre deux râles de plaisir infini, il avait enfin trouvé son paradis. Qu'elle était belle quand elle tentait de survivre à l'intensité de sa jouissance, qu'elle était majestueuse quand elle se blottissait contre lui avec cet espoir fou qu'elle arriverait à retrouver le contrôle de son corps. Alwin, en tout cas, en était bien incapable, définitivement accrochée à Cody comme pour vérifier qu'elle était tangible, qu'il avait bien pu partager son corps avec elle. Il n'y avait rien d'autre que cette union qui comptait, que cette beauté qu'ils avaient créé dans l'intimité de cette chambre, oubliant le monde entier du moment qu'ils étaient ensemble. Le brun avait tout oublié, il ne voyait qu'elle, que cette envie de rester collée contre elle pour l'éternité même si c'était une idée parfaitement utopique. D'ailleurs, il se devait de se défaire de son étreinte, au moins quelques instants, non sans exprimer son regret de ne plus être en elle. Il aurait voulu rester dans cette communion magique pour toujours parce qu'éprouver autant de plaisir avec Cody Lexington, c'était un rêve éveillé, un idéal qu'il n'atteindrait plus jamais sans elle. "De toute façon, je t'aurais interdit de partir." Il lui fit un clin d'oeil en s'allongeant enfin sur le lit en désordre, entourant la belle brune de son bras dès qu'elle se cala contre son buste. Ils étaient bien comme cela, à reprendre doucement leur souffle et leur esprit, à ne pas avoir besoin d'autre chose que la présence de l'autre pour se sentir heureux. Alwin se mit à sourire en sentant les lèvres de sa danseuse contre son épaule, se nourrissant du moindre contact alors qu'il lui caressait l'épaule inconsciemment. Il se mit à rougir même lorsqu'elle vint lui murmurer quelques mots à l'oreille: c'était la seconde fois qu'elle laissait entendre à quel point elle tenait à lui et c'était quelque chose d'assez inhabituel pour Alwin. Il n'entendait jamais de mots affectueux, encore moins de mots d'amour, on les avait toujours donnés aux autres et aujourd'hui, c'était lui le sujet de tout cela. Instinctivement, il resserra son étreinte autour de sa petite amie avant de venir déposer un doux baiser contre son front, avant de laisser le sien se poser là, amoureusement le temps qu'il la regarde avec tout l'amour qu'il était capable de donner à quelqu'un d'autre. "Tu sais, j'ai arrêté de lutter contre ça y a longtemps... Dès que je t'ai vu, en fait. Je pensais que j'avais aucune chance alors j'ai tout enfoui, j'suis resté dans mon coin et j'ai pensé que ça passerait, comme tout. Et y a eu Matchmaker, notre conversation, le fast food... Maintenant, je peux plus rien combattre, Cody et j'en ai pas envie d'ailleurs, pas après cette nuit. C'est juste toi et moi, t'es juste... T'es juste en train de devenir essentielle à ma vie, je sais pas comment je vais gérer ça mais je peux au moins te le dire." C'était à son tour de lui susurrer ces quelques mots qui s'échappaient de son coeur sans qu'il ne puisse le contrôler après tout l'amour qu'ils venaient de se donner. Alwin tombait fou amoureux de Cody et il c'était marqué dans la manière dont il la regarda à ce moment là, alors qu'il posait sa main sur la sienne, perdu à jamais dans ses prunelles qu'il aimait comme jamais il n'avait aimé jusque là.
by kkam
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MessageSujet: Re: A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) - Page 7 EmptySam 9 Sep - 0:01



❝a date : entertainment, food and affection.❞
alwin & cody
Tu vivais tout ça pour la première fois de ta vie. Tu avais cette impression de ne rien connaitre, de ne rien gérer. Et c’était vrai, tu ne gérais pas tes sentiments. Tu ne contrôlais pas la puissance de tes sentiments parce que jamais ton coeur ne s’était permis une telle folie. La seule chose que tu avais appris, c’était à te protéger. Tu n’avais pas appris à aimer une autre personne. Tu avais construit dès toute petite une carapace. Tu avais bien vite compris que trop s’attacher c’était se mener vers une souffrance. Tu avais toujours en mémoire ces soirées où ta mère pleurait en silence pensant que tu dormais. Sûrement que la vie était trop difficile. Trop compliqué d’assumer seule deux jeunes enfants. Elle avait donné son coeur et on était venu lui arracher brutalement, sans anesthésie. Elle n’était pas prête à se coup de fil qu’on lui avait passé. La disparition en mer, les longs jours d’attente avec cet espoir de retrouver l’équipage en vie. Parce qu’il y avait eu plusieurs jours. Plusieurs jours où elle avait pensé retrouvé ton père. Mais le verdict était tombé. En plein milieu d’après-midi, le téléphone avait sonné pour apprendre cette nouvelle qui venait terminer de détruire son coeur. Tant de souffrance pour un être humain, tu n’avais jamais voulu vivre ça. Tu l’avais fait inconsciemment enfant. Tu t’étais tenue éloignée des autres. Tu avais vécu dans ta bulle, dans ton monde imaginaire. Parce que c’était plus beau, plus facile. C’était plus simple aussi parce qu’il y avait certaine chose que tu ne pouvais pas partager avec les autres. Tu avais eu beaucoup de mal à entendre parler d’autres enfants de leurs pères. Tu t’étais souvent battue alors que l’on te provoquait là-dessus. Tu n’avais jamais eu peur d’aller au contact. Tu avais souvent laissé exploser ta colère. Ta mère avait eu beaucoup de soucis avec toi. Elle en avait eu encore plus en amenant un nouvel homme de vos vies. Tu ne l’avais pas accepté. Jamais. Tu t’étais souvent demandé où elle l’avait trouvé. Le hasard probablement. Tu ne t’étais jamais intéressée à tout ce qui le concernait. Tu finirais peut être par le regretter. Surtout maintenant que tu pouvais comprendre ce qu’elle ressentait. Tu étais peut être moins sévère en comprenant qu’elle avait besoin de se sentir amoureuse. C’était un sentiment unique. Une sensation merveilleuse que tu ressentais depuis cette soirée dans le fastfood. C’était là-bas que tes sentiments étaient nés, là que tu t’étais attachée à Alwin plus que de raison. C’était doux, c’était pur. Tu ne demandais rien de plus que de continuer à être amoureuse. Tu ne savais pas de quoi serait fait demain. Tu ne pouvais pas prévoir. Finalement, ce n’était pas ce qu’il y avait de plus important. Parce qu’après tout, tout ce qui se passait avec ton beau brun ce n’était pas prévu. Un coup du destin, une jolie surprise.

Le moment que vous viviez était extraordinaire, complètement hors du temps. Ce n’était pas tout le monde qui pouvait se vanter de vivre un tel moment. Tout le monde n’avait pas cette chance d’être aimé comme Alwin t’aimait ce soir. C’était probablement même la définition de la magie. La magie de l’amour. La passion ne s’était pas atténuée. Pas jusqu’au moment où vous atteigniez l’extase. C’était trop fort pour que tu puisses contrôler quoique ce soit. Tu ne gérais rien. Ton corps était hors de ton contrôle, tu n’étais que faite de sensations. Prise par cette jouissance si intense. Tu tentais de t’en remettre, tu tentais de reprendre le souffle qui te manquait cruellement. Tu te serrais à lui, tentant de reprendre un peu de contenance. Il te fallait quelques secondes pour récupérer. On ne se remettait pas d’une telle sensation. C’était le genre de choses auxquelles tu repenserais encore longtemps. Cette sensation sur ton corps, cette union, tu allais en porter la trace pendant un petit moment encore. Tu ne voulais d’ailleurs pas te défaire de lui. Tu voulais rester dans cette position pendant encore longtemps. Pour toujours. L’éternité ne vous était pas donnée et il fallait se séparer. Autant avouer que ce n’était pas une idée qui te convenait. Heureusement, tu avais toujours cette possibilité de venir contre lui alors qu’il s’allongeait sur les draps totalement défaits et trempée vu que vous étiez venus là juste après avoir passé un instant de la jacuzzi. Tu n’avais pas le droit de toute façon de le quitter, abandonner ses bras. Tu ne le voulais pas. Tu trouvais ta place contre lui tout naturellement. Cette place était faîte pour toi, tu avais besoin d’être contre lui. Tu avais besoin de continuer à lui prouver à quel point tu l’aimais. Parce que tes sentiments ne s’étaient pas envolés. Loin de là. On ne pouvait pas cesser d’aimer un homme comme Alwin. Un homme si doux, si tendre. Lui qui te rendait au centuple ce que tu pouvais ressentir. Tu n’avais pas l’habitude de te dévoiler autant, tu ne savais pas montrer ce que tu pouvais ressentir. Et pourtant, avec ton danseur ça semblait tellement simple. Tellement naturel. Tu ne réfléchissais pas à ce que tu devais faire. Tu te laissais porter par le moment, par ton instinct. Des gestes tendres, une tonne de gestes tendres. Tes mots n’étaient pas suffisant pour exprimer tout ce qu’il te faisait vivre. Ce petit truc qui serrait ton estomac d’une façon agréable. Ces papillons qui volaient partout dans ton coeur. Ton coeur qui battait bien trop vite d’être avec lui. Il ne pouvait pas aller moins vite alors que tu lui murmurais des mots doux, que tu lui exprimais à quel point tu pouvais l’aimer. Folle, c’était bien le mot qui te correspondait. Parce que c’était complètement dingue d’aimer autant, d’aimer si vite. C’était peut être ça le coup de foudre dont on parlait dans les films. C’était tout donner, tout de suite. Donner tout sans retenue. C’est ce que tu faisais depuis le début de votre relation. Tu donnais sans compter. Ton regard dans le sien, tu ne pouvais plus te lasser de ça. Tu étais capable de te perdre dans ses yeux pendant des heures. Parce que son regard, il était merveilleux. Ses yeux étaient captivants. Ils te captivaient totalement. Tes doigts s’entremêlaient aux siens alors que tu l’écoutais avec attention. Tu étais probablement en train de rougir de ses mots. Rougir parce qu’il t’avait remarqué dès le départ. Puis, ton coeur manquait un battement. Essentielle. Tu ne l’avais jamais été pour personne. Tu ne t’étais jamais considérée suffisamment pour devenir essentielle à quelqu’un. Tu ne l’étais même pas pour ta famille. Tu savais bien qu’ils pourraient se passer de toi. Alwin, lui en semblait incapable. Ta tête venait s’enfouir dans son cou alors que tu ne relâchais plus sa main. Il te fallait quelques secondes pour assimiler ça. Ces mots que venait de te prononcer ton blanchisseur étaient tout aussi intenses que l’instant que vous veniez de vivre. C’était des mots qui venaient te toucher en plein coeur. Ils te touchaient tel une flèche.  « J’crois qu’on va être bon tous les deux pour faire la pub de Matchmaker… » Tes lèvres contre sa peau, tu riais légèrement. Tu ne savais pas répondre à ses mots d’amour parce que tu n’avais pas l’habitude de ça. Il était le premier à le faire. Il était bien le premier à t’aimer, à ne pas chercher à te changer. Il aimait la Cody qu’il avait en face de lui. La Cody qui n’avait pas grand chose à lui offrir à part son coeur.

© Pando
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MessageSujet: Re: A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) - Page 7 EmptySam 9 Sep - 21:16


cody + alwin
« a date: entertainment, food, and affection. »
Il n'attendait plus grand chose de la vie avant elle, avant Cody. Alwin s'était en quelque sorte résigné à sa solitude, parsemée des rires de ses colocataires au milieu de la grisaille. On ne pouvait pas franchement dire qu'il avait été malheureux jusqu'ici, il s'était juste conforté dans ses petites habitudes, métro boulot dodo, comme on le disait si couramment et quelque part, c'était rassurant pour quelqu'un d'aussi nerveux que lui. Pour autant, il avait eu besoin d'être chamboulé, de ne pas se laisser entraîner dans ces rouages de l'habitude parce qu'à son âge, il était bien trop tôt pour perdre espoir. Ce n'était pas parce qu'il avait vingt deux ans et qu'il ne collectionnait pas les aventures ou les succès qu'il était totalement à jeter. Alwin avait beaucoup de potentiel, il suffisait juste qu'il le découvre et pour cela, il avait besoin de temps et surtout, de gens qui pouvaient le porter plus haut que ce dont il était capable seul. Cody était certainement la personne la plus à même de dévoiler tout ce que Daley avait plus de beau à l'intérieur de lui. Avec elle, il se montrait plus ouvert, plus tendre aussi et surtout plus honnête. Avec les autres, Alwin avait plutôt tendance à se cacher derrière un humour parfois plus idiot que la moyenne parce que c'était plus simple de mentir que de montrer ses peurs et ses désirs. Il n'en avait jamais été capable, non, il ne voulait pas paraître présomptueux et de toute manière, il ne l'avait jamais été. Alwin, c'était plutôt l'enfant qui passait son temps à se dévaloriser parce que ses parents n'avaient pas présents pour lui dire qu'il valait le coup, qu'il était même exceptionnel à leurs yeux. A l'inverse, on avait fait que lui laisser entendre qu'il était un fardeau pour cet univers, qu'il n'apportait rien d'autre que des tracas et des déceptions. Forcément, il avait fini par y croire et c'était probablement la pire issue possible pour un garçon aussi sensible que lui. Désormais, il avait vingt ans de manque de confiance en soi à rattraper et ce ne serait pas du jour au lendemain qu'il deviendrait cet homme sûr de lui qui pouvait tout vaincre mais, avec Cody à ses côtés, Alwin pouvait plus aisément y croire. Après tout, la jeune femme lui prouvait qu'il valait quelque chose à ses yeux, qu'il n'était pas un fardeau ni une déception constante. Au contraire, il lui apportait un rayon de bonheur et c'était ce qu'il avait réussi à faire ce soir là quand il n'avait jamais pu satisfaire l'ego du reste de sa famille. Cody n'avait pas besoin de quelqu'un de prétentieux ou de faux, elle voulait juste qu'il soit le Alwin habituel, celui qui disait des blagues idiotes pour ne pas paraître trop vulnérable, celui qui lui disait ce qu'il ressentait parce qu'il n'était pas en mesure de garder quelque chose d'aussi fort au fond de son coeur. Avoir Cody dans sa vie, c'était ce qui venait chambouler mais c'était surtout ce qui le rendait le plus heureux du monde. Il se considérait même chanceux qu'on lui offre cette chance, juste d'aimer une autre personne comme un fou, jusqu'à s'en oublier soi même, jusqu'à passer la plus belle nuit de sa vie et rêver de la revivre jusqu'à la fin des temps. Ce n'était pas possible bien évidemment mais Daley pouvait encore profiter de ce week end entier aux côtés de sa nouvelle petite amie, de cette femme qui le faisait rire et sourire, de cette beauté avec qui il avait fait l'amour jusqu'à en perdre totalement la tête, de Cody, la femme de sa vie.

Et le moment qu'ils partageaient était juste somptueux, Alwin avait encore du mal à se remettre de ses émotions après les ébats qu'ils avaient initié et qui les avait tous deux déboussolés. Il lui avait fallu un temps fou pour retrouver son souffle et surtout ses capacités cérébrales mais le monde avait retrouvé ses couleurs au terme de ces quelques minutes de lutte contre le plaisir étourdissant qui avait envahi a moindre fibre de son corps. Désormais, Alwin était couché, Cody contre son buste et il arrivait plus ou moins à respirer normalement, c'était encore parfois plus saccadé que la moyenne, surtout quand il réalisait qu'il était avec la jolie danseuse qui hantait ses rêves. Oui, il était comme dans un joli rêve, un de ceux dont on ne voulait jamais s'éveiller parce que c'était trop beau, trop fort, trop tout en somme. Il l'aimait tellement et il ne savait pas nécessairement comment lui dire, c'était certainement trop tôt de toute manière. Alors, Daley lui narra simplement le récit de sa rencontre avec elle, de la première fois qu'il l'avait vue et de ses sentiments qui lui avaient coupé la respiration tellement il l'avait trouvée belle. Ce récit paraissait peut être totalement stupide pour les gens extérieurs mais pour lui, c'était les quelques minutes les plus magiques de son existence. Il ne s'en était jamais remis, tout comme il ne se remettait pas des lèvres de Cody contre sa peau, de sa tête qui se blottissait au creux de son cou. Il ferma les yeux et reprit une bouffée d'air, heureux comme jamais il ne l'avait été, souriant instantanément lorsque la jolie brune avança qu'ils allaient devoir payer Matchmaker pour tout ce qu'ils vivaient. "Qui l'aurait cru? Ta soeur peut être..." Il rit en se souvenant que c'était la soeur de Cody qui l'avait forcée à débarquer sur ce site et voilà que plusieurs semaines plus tard, elle se retrouvait dans ses bras. Alwin respirait, appréciant le silence qui vibrait autour d'eux, sentant ses muscles se décontracter peu à peu. En fait, le sommeille happait après tant d'émotion. Il avait essayé de lutter mais le moment était trop beau pour qu'il puisse résister à l'envie de s'endormir avec sa danseuse contre lui. Lorsqu'il ouvrit les yeux, le soleil perçait à travers les rideaux de la chambre et il osa tourner les yeux vers le dos de sa belle brune alors qu'il avait son bras autour de sa taille. Voilà, elle avait passé la nuit entre ses bras, comme il l'avait toujours voulu. Il resta quelques minutes à la contempler avant de se relever et aller enfiler un des peignoirs de son oncle. Les cheveux encore en bataille, Alwin s'affaira en cuisine, fouillant dans les placards pour préparer un petit déjeuner. Il réussit sa manoeuvre et porta même la nourriture jusqu'à la chambre, posant le plateau sur la table de nuit avant de passer une main dans les cheveux de Cody. Puis, il avança ses lèvres contre la peau de son dos, déposant des baisers ça et là pour qu'elle retrouve sa conscience. "T'as bien dormi, madame la belle au bois dormant?" Il sourit contre sa peau, sa tête calée contre son épaule alors que ses yeux se tournaient vers ceux de sa danseuse et que sa main venait déposer des tendres caresses contre la peau de sa hanche. "J'ai trouvé de quoi manger si t'as faim... Mais si tu veux encore dormir, j'peux aussi te laisser, il est encore tôt." Lui voulait simplement profiter de sa présence, savoir qu'elle était là, non loin de lui, c'était ce qui le comblait parfaitement.
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MessageSujet: Re: A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) - Page 7 EmptyDim 10 Sep - 13:36



❝a date : entertainment, food and affection.❞
alwin & cody
C’était doux, c’était simple, c’était tendre. C’était ça tomber amoureuse. Tu te sentais bien plus légère en l’aimant, les choses étaient plus faciles. Parce que tu te posais pas de questions, tu ne réfléchissais pas à ce que tu faisais. Tu te contentais de le faire. Tu rêvais, beaucoup. La tête dans les nuages, les pieds loin de la terre depuis plusieurs jours. Tu flânais, tu arpentais les rues avec un autre état d’esprit. Tu t’intéressais du moindre petit truc. Le moindre petit détail qui pouvait te faire penser à lui, tu le voyais. Il n’y avait que ce qui te rapprochais de lui que tu voyais. Tout le reste était loin. Très loin des étoiles où ton esprit se trouvait. Il y avait cette douce mélodie dans ta tête. Cette chanson d’amour qui se jouait en boucle. Une chanson dont les paroles n’étaient pas connues par avance. Des paroles que tu improvisais sur l’instant. Parce que c’était ça de tomber amoureuse. C’était ne rien pouvoir prévoir. C’était ne pas anticiper cette folie dans laquelle tu étais plongée et qui pouvait te détruire en un claquement de doigt. Tu ne le voyais pas ça. Tu n’y songeais même pas parce que ça te semblait tout bonnement impossible d’arrêter d’aimer Alwin. Il avait marqué ton corps, il avait marqué ta vie. Il était cette trace de marqueur indélébile dans ton coeur. Il était celui qui avait tagué son prénom sur toutes les parois de ton coeur comme les grapheurs pouvaient marquer les murs de la ville de leur pseudonyme. Il était évident qu’il ne sortirait pas de ton coeur. On pouvait entourer ton coeur de n’importe quoi, tenter une nouvelle peinture pour effacer son prénom, ça ne fonctionnerait pas. Son nom réapparaitrait toujours, parce qu’il était de ces gens qui marquaient une vie toute entière. Il était de ces personnes que l’on ne pouvait pas oublier. Tu ne pourrais pas te réveiller un jour et oublier complètement ce que vous veniez de vivre. Surtout que tout ça, c’était le début de l’histoire. Un début fabuleux. Un départ plein de tendresse et beaucoup d’amour. Les autres pages du livre seraient remplies de la même manière à n’en pas douter. Il était devenu l’un des personnages principaux de l’histoire de ta vie. Il était cette péripétie sur laquelle on tombait et qu’on ne pouvait pas prévoir. Ce personnage que l’on attendait pas et qui au final faisait prendre un autre tournant à l’histoire. Il faisait dévier cette ligne droite. Ta vie prenait un angle à quatre vingt degré. Tu ne pouvais pas prévoir ce qui se passerait au bout du chemin et tu ne le voulais pas spécialement. Tu voulais continuer d’aimer ton brun sans te poser de questions parce qu’après tout, tu n’avais rien attendu et tout se déroulait à merveille. Tu avais ce pressentiment que les choses allaient continuer sur cette voie. Il ne fallait pas se mettre la pression, prendre les choses comme elles venaient et ça se passerait bien. Tu en était convaincue. Puis après tout, Alwin rendait tout ce qu’il touchait meilleur. Il t’avait rendu meilleure depuis que tu le connaissais. Il avait fait sortir ta tendresse, ta douceur. Puis surtout, tu avais enfin cette impression de respirer depuis qu’il était entré dans ta vie. Toi qui avait passé si longtemps en apnée, sur la réserve. Là, tu pouvais te libérer, laisser entrer l’air dans tes poumons. Vivre sans te poser de questions. Vivre sans t’inquiéter parce qu’il était ce pilier sur lequel tu pourrais te reposer en cas de besoin. Parce qu’Alwin, il était sûrement la meilleure chose qui t’était arrivée.

Personne ne savait, personne ne pourrait comprendre ce qui se passait entre vous. Parce que c’était fort, c’était beau. C’était totalement hors du temps. Tout ça, c’était digne d’une autre galaxie, d’un autre univers. Il y avait cette sensation que ce qui vous viviez, on ne pouvait le voir que dans les films. Que ça n’existait pas dans la vie réelle. On te l’aurait dit il y a quelques semaines que tu te serais moquée de la personne qui te racontait ça. Tu n’avais jamais cru au coup de foudre. Tu n’avais jamais voulu croire que l’on pouvait aimer au premier regard. Et pourtant, c’était un peu ce qui s’était passé pour toi. Il s’était imposé à ton coeur comme une évidence. Une chose contre laquelle tu ne pouvais pas lutter. Ton coeur savait qu’il était le bon pour toi. Qu’il était le seul à qui tu pouvais t’ouvrir. Alwin, il était le seul qui pouvait te faire tomber amoureuse. Ça, c’était le genre de sentiment qui resterait gravé au fond de ton âme. Peu importe les circonstances de la vie. Il serait ton seul et unique amour. Parce que tu donnais toujours tout quand tu t’attachais à quelqu’un. Parce que tu ne faisais jamais preuve de retenue. Tu t’étais donnée à lui entièrement. Tu t’étais donnée à cette étreinte charnelle que vous veniez de partager. Une façon de sceller un peu plus votre amour. C’était ce genre de moment dont il était difficile de se remettre. Plusieurs minutes étaient nécessaires avant que le sang ne parvienne à ton cerveau. Tes fonctions cérébrales se remettaient en route lentement. Ils avaient été privés de fonction pendant de longues minutes et tout ne revenait pas si rapidement. Il fallait du temps, le temps de t’installer contre lui. Ta respiration reprenait un rythme normal, petit à petit. Les choses reprenaient leur cours normal et toi, tu restais contre ton petit-ami. Tu ne mettais pas un terme à cette tendresse. Jamais. Des mots doux, des mots d’amour, c’était les seules choses que vous étiez capable de prononcer. Tu étais aussi seulement capable de sourire. Tu ne pouvais plus te défaire de cette représentation du bonheur sur ton visage.  « Peut être… » Ta soeur avait peut être un don de voyance. Peut être que c’était pour ça qu’elle avait autant insisté pour ton inscription sur le site de rencontre. Elle avait senti que tu passerais à côté de quelque chose, que tu passerais à côté de l’histoire de ta vie si tu ne t’inscrivais pas. Tu pourrais l’en remercier un jour. Tu ne t’étais pas attendue à ce qu’elle ai raison. Tu n’avais jamais pris Matchmaker au sérieux. Au final, tu te retrouvais là contre Alwin. La fatigue te gagnant alors que tu restais blottie dans ses bras. Tes yeux se fermaient, t’emportant au pays des songes. Des rêves de danse, des rêves d’amour. Des rêves de lui surtout. C’était beau, c’était doux. Tu voulais faire les mêmes rêves pendant encore longtemps. Tu voulais t’endormir encore et encore dans ses bras. Tu ne voulais plus t’échapper de cette étreinte protectrice. Tu dormais mieux que jamais, tu passais une nuit paisible. Toi qui avait l’habitude à un sommeil agité, tu dormais mieux que jamais à ses côtés. Tu dormais si bien que tu ne sentais pas le soleil pointer le bout de son nez. Tu pouvais rester là encore et encore. Le sentant quitter le lit, tu bougeais un peu sans pour autant te réveiller. Tu savais qu’il ne disparaitrait pas. Pas après avoir vécu un tel moment d’amour. Alwin revenait de toute façon bien vite à tes côtés, ses baisers te réveillant d’une bien douce façon. C’était bien plus agréable que d’être réveillée comme tous les matins par la sonnerie horrible de ton portable. Ce réveil que tu programmais pour sonner toutes les cinq minutes parce que tu étais bien incapable de te lever sinon. Tes yeux s’ouvraient lentement, un sourire déjà accroché à ton visage en entendant ses premiers mots. Sa présence rendait les choses banales du quotidien tellement plus belles, tellement plus simples. Tu voulais vivre d’autres réveils comme celui-là. Tu voulais sentir ses lèvres contre ta peau dès les premières minutes de la journée.  « Très bien dormi et toi ? » Tu bâillais légèrement, te frottant les yeux par la suite pour bien réussir à te réveiller. Tu prenais quelques secondes pour juste profiter d’être près de lui, de profiter de ses caresses sur ta peau. Tu ne voulais rien de plus en cet instant. Puis, tu finissais par te redresser, le drap sur ton corps nu.  « Manger sera parfait. » Tu lui souriais tendrement, tes yeux parcourant un peu la pièce avant de finir par découvrir le plateau sur la table de nuit. Tu étais touchée qu’il ai pris le soin de te monter le petit-déjeuner. Ton brun était tellement attentionné, c’était une première pour toi.  « Merci d’avoir préparé le petit déjeuner. » Tes lèvres venaient trouver délicatement les siennes pour un léger baiser. Un baiser bien plus sage que ceux que vous aviez partagé la veille. Un baiser tout aussi agréable. Parce que tous les baisers partagés avec lui étaient parfait. Parce que tout était merveilleux dès lors qu’il était impliqué. Parce que tu étais amoureuse tout simplement. Tu passais une main dans tes cheveux totalement emmêlés. Tes boucles que tu avais tenté de dompter la veille n’étaient plus que fouillis. Elles avaient repris le contrôle et tu ne ressemblais plus à rien. Mais au final, ce n’était pas ce qui comptait. Ce n’était pas non plus ce petit-déjeuner que tu commençais à manger qui était important. Non. Ce qui comptait réellement, c’était d’être là. D’être avec Alwin.

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MessageSujet: Re: A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) - Page 7 EmptyDim 10 Sep - 14:43


cody + alwin
« a date: entertainment, food, and affection. »
Il était enfin rendu à la bonne destination, celle qui le comblait de bonheur. C'était encore une surprise pour Alwin, lui l'artiste rêveur qui avait bien du mal à se faire à sa réalité. Pourtant, avoir Cody était à ses côtés, cela ne relevait pas du rêve. Elle était bel et bien là avec lui et ils venaient tous deux de partager une soirée tout à fait exceptionnelle. Tout de suite, c'était bien plus facile pour Alwin d'oublier son âpre passé et les multiples déceptions qui avaient rendu son existence si troublée jusque là. Il n'avait plus à s'inquiéter du manque d'amour venant de ses parents, de son frère qui lui volait la vedette constamment, de son aîné qui détestait tout ce qui touchait aux Daley depuis de nombreuses années. Tout cela n'avait plus lieu d'exister parce qu'il avait atteint cette ataraxie dont peu de personnes pouvaient bénéficier. Il y avait tant de malheurs dans ce monde, tant de personnes qui enchaînaient les mauvaises décisions et qui finissaient plus bas que terre et Alwin aurait très bien pu en arriver là s'il n'avait pas pris son courage à deux mains pour aborder Cody. Certes, il avait osé à travers un écran d'ordinateur mais c'était déjà mieux que rien. Après tout, la belle brune était toujours entourée à la salle de sport, ce n'était pas rare qu'il croisait des tas de garçons qui voulaient l'inviter pour un duo de danse classique. Alwin, lui, restait sur le côté à enchaîner les saltos et les pirouettes en tous genres, persuadé qu'il n'aurait jamais cette chance d'obtenir une danse avec la jolie Lexington. Il s'était clairement trompé en la matière puisque, quelques semaines plus tard, il était l'heureux élu, celui qui avait pu bénéficier de deux danses et qui était le détenteur probable de toutes les prochaines. Il allait même pouvoir apprendre à sa belle les rudiments du break dance en échange de ses services pour les figures de ballet. Ils devenaient un couple, tout simplement, un couple de danseurs autant qu'un vrai couple d'amoureux. Alwin allait sûrement mettre plusieurs jours à marquer cette réalité au fond de son crâne, lui qui n'avait vécu qu'une seule histoire d'amour jusque là et plus chaotique qu'autre chose, voilà qu'il s'engageait dans une histoire bien plus magique que tout ce qu'il aurait pu envisager. Son futur était tout de suite devenu bien plus brillant, ses rêves d'avenir pouvaient revenir à la charge parce que Cody faisait partie du paysage et ils allaient pouvoir accomplir tant de choses ensemble. Bien sûr, tout cela n'était encore qu'à l'état de chantier parce qu'ils n'avaient pas franchement discuté de ce qu'ils allaient bien pouvoir faire, trop pris qu'ils avaient été à s'aimer dans l'instant présent, se donnant le plaisir le plus triomphal parce que les sentiments naissants prenaient le pas sur tout le reste. Daley savait bien pourtant qu'ils allaient avoir bon nombre de discussions pour se caler sur les mêmes envies, ne sachant pas très bien où ils allaient. A ce sujet, oui, ils étaient tous les deux totalement aveugles mais au moins, ils apprendraient ensemble et Alwin avait moins peur forcément. De toute manière, il n'avait pas peur de grand chose depuis le début de cette soirée parce que rien ne pouvait l'inquiéter tant que Cody était dans les parages, tant qu'elle le touchait, l'embrassait ou se perdait dans ses bras. Il n'y avait aucune raison d'envisager le futur quand ils étaient en train de vivre la perfection amoureuse, la soirée de leur vie.

Clairement, Alwin n'avait jamais rien vécu de plus beau. Il avait offert son corps à sa belle brune, il avait donné tout l'amour qu'il pouvait lui offrir à l'heure actuelle et Cody n'était pas resté timide à ce sujet non plus. Ils avaient juste été l'exemple modèle de la première fois, du moins la première fois où il était question d'amour dans une relation sexuelle. Ils avaient juste fait l'amour sans se soucier du passé, du lendemain ou de la galaxie qui tournait à l'envers. Tout cela n'avait pas franchement d'importance quand ils se retrouvaient allongés l'un contre l'autre, à respirer plus doucement, laissant le silence les gagner de la manière la plus paisible qu'il fut. Alwin ne trouvait plus les mots après tout ce qu'il venait de vivre, encore moins après tout ce qu'il venait de confesser à Cody. Elle savait tout ce qu'il y avait à savoir: le fait qu'elle lui avait plu dès les premières secondes, qu'il rêvait d'elle constamment depuis et qu'il était heureux comme jamais d'être celui qu'elle avait choisi. C'était naturel de lui caresser l'épaule, de s'endormir en souriant en pensant à la soeur de la jolie brune qui avait inscrit Cody sur ce site de rencontre en guise de gage. Si elle savait tout ce qu'ils venaient de traverser tous les deux, l'aventure magique qui débutait à partir de ce soir et qui n'était pas prêt de s'épuiser, il était évident qu'elle serait fière de son succès. Enfin, ils dormaient, Alwin serrant le corps de Cody contre le sien, s'éveillant devant le spectacle le plus beau qu'on lui ait permis de connaître. Les rayons de l'aube filtraient à travers les rideaux et ils atterrissaient directement sur la peau hâlée de sa jolie danseuse. Il avait déjà envie de l'embrasser, de perdre ses lèvres sur la moindre parcelle de cette peau si douce mais il s'abstint pour aller préparer le petit déjeuner. Cette journée n'allait pas être commune, c'était une évidence, puisqu'il revint vers Cody pour réaliser son envie de l'éveiller sous la douceur de ses baisers. Il la regarda reprendre contact avec la réalité en souriant parce qu'elle était encore plus belle dans cet état là. "J'ai jamais aussi bien dormi que cette nuit, oui." Et il ne s'était jamais senti aussi heureux au réveil s'il voulait être sincère, là, simplement à regarder Cody se relever sous le drap pour faire un tour d'horizon de la chambre et constater qu'il avait bel et bien apporté un peu de nourriture. Il reçut son baiser avec délicatesse, caressant sa joue avec la même attention, se détachant pour la laisser se nourrir comme il le fallait. "J'm'en serais voulu de pas prendre soin de toi comme tu le mérites. T'es ma petite amie après tout et je compte bien te garder." Il lui fit un clin d'oeil alors que la brune passait une main dans ses cheveux en bataille. Bien vite, celle d'Alwin rejoignit la danse en riant, son naturel le déconcertait parce qu'il l'aimait encore plus au réveil au bout du compte. "Ce serait p'tet à moi de te faire des tresses là, finalement... Mais, je crois que t'es vraiment magnifique comme ça, au réveil alors je sais pas si j'oserais." Il s'estimait chanceux à nouveau en venant s'asseoir à côté d'elle pour manger quelques bouchées de ce petit déjeuner préparé avec tendresse. "Tu veux faire quoi aujourd'hui? Oui, parce que tu vas encore devoir me supporter, notre rendez-vous est pas terminé, j'en ai peur... Bon, je sais qu'il va falloir que je nettoie un peu la maison à un moment donné mais j'compte d'abord profiter de ta présence, c'est ça ma priorité." Il lui lança un sourire en venant déposer un baiser sur son épaule avant de continuer son petit déjeuner, encore plus accro à Cody que la veille apparemment.
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MessageSujet: Re: A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) - Page 7 EmptyDim 10 Sep - 16:47



❝a date : entertainment, food and affection.❞
alwin & cody
Ton destin n’était pas tracé et tu en avais la preuve une nouvelle fois. Les choses ne se passaient pas toujours comme tu l’imaginais. Parfois c’était pour le pire et parfois pour le mieux. Cette rencontre avec Alwin faisait partie des points positifs. Des bonnes choses de la vie. Il était un tournant, une nouvelle façon de voir l’avenir. D’autres perspectives s’ouvraient, des choses que tu n’aurais jamais pensé possible avant votre discussion sur Matchmaker. Cette conversation marquait un gros tournant, un sacré chamboulement dans ta vie. Pourtant, si quelqu’un venait à la lire, elle paraitrait banale. Une conversation basique comme il pouvait y en avoir des milliers. Mais, elle n’était pas comme les autres. Elle était importante. Elle avait permis le début de cette relation. Le point de départ de tout ça. Le début de votre amour. Tu avais probablement commencé à t’attacher à lui dès la lecture des premiers mots. Sa première blague concernant la danse. Le swing, voilà comment il avait engagé la conversation. Tu avais poursuivi sur la lancée, plaisantant à ce propos. Si ça n’avait pas été lui, les choses auraient été probablement différentes. Peut être que tu aurais mis fin à la conversation plus tôt. Peut être que tu n’aurais pas accepté ce rendez-vous pour danser avec lui. Mais, c’était Alwin. C’était différent de tous les autres. Il avait ce plus que les autres n’avaient pas. Il avait ton amour dès le départ, avant même que tu n’en prennes conscience. Il était ton grand amour de toute évidence. Il était celui qu’on ne voyait que dans les films. Celui qui était trop beau pour être réel. Et pourtant, ton brun était bien réel. Il était là, il avait passé toute sa soirée avec toi. Il t’avait comblée de bonheur. Il continuerais de te combler de bonheur pour le reste du temps, tu en étais certaine. Il n’avait rien à voir avec les autres personnes de ton entourage. Il ne t’abandonnerait pas à la première difficulté. Il ne ferait pas comme ceux que tu avais considéré comme tes amis avant de quitter l’Alaska. Ok, tu avais été infecte avec eux. Tu ne t’étais pas montrée facile parce que tous tes rêves avaient été détruits mais ils ne s’étaient pas plus battus pour t’ouvrir les yeux. Ils ne t’avaient pas aidé à remonter la pente parce que c’était plus facile de jeter l’éponge. C’était bien plus simple de te laisser te débrouiller. De te plonger dans cette tristesse, de broyer du noir en ressassant toutes tes erreurs. Tous les mauvais choix que tu avais fait. Avec ton brun, le bonheur revenait dans ta vie. Le soleil avait refait surface après avoir été caché pendant tant d’années derrière les nuages. Il était cette douce lumière qui caressait ta peau. Celle qui réchauffait ton corps. Tu avais pu lui parler de ton passé, tu lui avais évoqué tes plus mauvaises facettes. Pourtant, il n’avait pas fui. Il était resté là. Il t’avait écouté. Ton blanchisseur avait aussi trouvé les bons mots. Que ce soit pour la perte de ton père ou la fin de ton futur de danseuse, il avait trouvé les mots pour réchauffer ton coeur. Il apaisait tes maux. Tous les malheurs du monde n’avaient plus d’importance quand tu étais dans ses bras, quand sa peau venait au contact de la tienne. Ses baisers faisaient oublier tout le reste. Le monde disparaissait quand votre amour s’exprimait. Il n’y avait que lui. Alwin. Alwin et ses baisers. Alwin et son amour. Alwin qui était le seul qui comptait. Le seul que tu aimerais jusqu’à ton dernier souffle.

Tu avais fait l’amour avec lui. Il était le premier avec qui tu le faisais. Il n’était pas ta première expérience sexuelle, bien au contraire. Tu avais eu un plutôt grand nombre de partenaire. Un nombre sûrement trop grand pour une jeune femme de vingt et un ans. Aucun n’avait pu te faire vivre ce que tu avais vécu avec ton blanchisseur. Il avait ce pouvoir sur ton corps, tu lui appartenais complètement. Tu lui offrais tout parce que tu ne savais pas faire autrement. Parce qu’il était devenu le maitre de ton coeur dès la première danse partagée. Parce que cette alchimie ne mentait pas. C’était irréel comme sensation. Un amour infini qui venait de naitre. Un amour qui allait durer à travers le temps. Cet amour qui traverserait n’importe quel ouragan. Dans tout ça, ta soeur en était indirectement responsable. La punition c’était transformée en bénédiction. Au final, tu étais la gagnante du pari. Tu étais celle qui avait gagnait tellement de chose. Finalement perdre n’était peut être pas toujours si mauvais. La défaite n’était pas synonyme de tristesse. Pas dans ce cas là. Pas alors que tu étais la personne la plus chanceuse au monde dans les bras de ton blanchisseur. Tu t’endormais heureuse comme tu ne l’avais jamais été jusque là. La nuit se poursuivait comme elle avait commencée. Ton sommeil était doux, calme et paisible. Tu n’avais jamais aussi bien dormi de ta vie. Ce qui comblait encore plus ton coeur, s’était de savoir qu’il y aurait d’autres nuits comme celles-là. D’autres nuits d’amour où tu t’en dormirais dans ses bras. Tu te sentais bien avec lui, tu ne t’étais jamais sentie aussi bien. Alwin te rendait heureuse dans n’importe quelle circonstance. Tous les moments que tu passais avec lui te rendaient encore plus heureuse. C’était un excellent signe pour l’avenir. Un futur que vous alliez construire à deux. Le réveil était agréable avec ses baisers sur ton corps. Les réveils à venir seraient beaucoup moins agréable parce qu’il ne serait pas là. Il ne pourrait malheureusement pas être à tes côtés tous les matins. Mais, il serait dans tes pensées. Il ne les avaient plus quittées depuis cette soirée dans le fastfood. Ce n’était pas avec ce second rendez-vous qu’il pourrait les quitter. Oh que non. Il allait être d’autant plus présent.  « Je suis ravie de savoir que je ne t’ai pas frappé dans mon sommeil. » Tu riais légèrement alors que tu étais encore à moitié endormie. Ce n’était pas toujours agréable pour les autres que de dormir avec toi. Mais, il semblait que pour Alwin s’était le contraire. Il avait passé une nuit aussi bonne que la tienne. C’était une nuit que ni toi, ni lui vous ne pourriez oublier. La journée serait elle aussi inoubliable vu le chemin qu’elle prenait. Tous les moments passés avec ton brun étaient uniques de toute manière. Il prenait soin de toi comme jamais personne ne l’avait fait. Il était doux, il était tendre. Tu n’aurais jamais changé tout ça pour rien au monde. Tu l’aimais, tu l’aimais plus que tout. Tu l’embrassais pour le remercier, tu l’embrassais parce que tu l’aimais. Tes sentiments étaient encore un peu plus forts que la veille. Ils ne cesseraient jamais d’augmenter, c’était une évidence.  « J’crois que tu m’en donnes bien plus que ce que je mérite. » Tu avais de la chance de l’avoir, beaucoup de chance. Tu n’étais pas méritante, pas comme ça du moins. Alwin était bien trop beau, bien trop parfait pour toi. Tu étais consciente de cette chance que tu avais et tu ne comptais pas la laisser passer. Tu n’allais pas le lâcher, jamais. Tu tentais d’arranger tes cheveux mais c’était une cause perdue. Il était impossible de faire quoique ce soit avec tes cheveux au réveil. Tu riais en sentant la main d’Alwin rejoindre la tienne. Tu riais de sa plaisanterie concernant les tresses.  « Vu comme ils sont emmêlés, je suis pas sûre que t’arrives à grand chose. Je vais rougir à force avec tous tes compliments. » Il te faisait plus de compliments que ce que tu avais eu dans toute ta vie. Depuis que tu le connaissais, tu avais cette impression d’être importante, de compter pour quelqu’un. C’était une sensation nouvelle. Quelque chose dont tu avais du mal à te faire. Des compliments qui te mettaient parfois mal à l’aise parce que tu ne savais pas comment y réagir. Tu dégustais ce petit-déjeuner qu’il avait pris le temps de préparer. Tu le mangeais avec lui à tes côtés et au final, c’était le plus important. Le plus important c’était d’être à ses côtés. Passer toute cette journée avec lui. Rien que lui.  « On est partis pour vivre le plus long rendez-vous du monde alors. J’peux te donner un coup de main pour nettoyer, ça ira plus vite et on aura tout le reste de la journée pour nous deux. D’ailleurs, vu qu’il semble faire super beau aujourd’hui, on pourrait profiter de Coney Island ? » C’était une partie de New York que tu adorais. Un endroit qui faisait penser aux vacances. Son bord de mer, son parc d’attraction, c’était être en vacances sans quitter New York. Ce n’était rien de très glamour mais c’était quelque chose qui vous ressemblait pas mal. De toute façon, peu importait ce que vous faisiez aujourd’hui. La seule chose que tu voulais, c’était passer du temps avec ton petit-ami. Ta main dans la sienne, ton corps proche du sien. Ne pas se séparer. Pas tout de suite.

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MessageSujet: Re: A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) - Page 7 EmptyDim 10 Sep - 17:30


cody + alwin
« a date: entertainment, food, and affection. »
L'amour était la cause de tous les maux de cette planète, justement parce que certains en manquaient ou d'autres en avaient trop eu. Dans tous les cas, le résultat finissait toujours par la plus simple des conclusions: l'amour était synonyme de magie mais tout autant de malheur. Aimer à la folie apportait son lot de bonheurs bien évidemment et c'était exactement ce qu'était en train de découvrir le jeune Daley mais aimer à la folie, c'était aussi se risquer à toutes les déconvenues qui pouvaient accompagner ce genre de réalités. Jusque là, Alwin n'avait connu que les côtés négatifs de ce sentiment un peu trop fort pour être bon. Il avait aimé ses parents mais ces deux là n'avaient jamais vu en lui qu'une suite d'échecs qui leur faisaient honte. Il avait aimé ses amis mais ceux là n'avaient pas attendu plus d'un quart d'heure avant de lui planter un couteau dans le dos. Et puis, il avait aimé une femme avant Cody mais là encore, on ne lui avait pas rendu le quart de tout ce qu'il avait pu offrir. Il y avait cru jusqu'au bout pourtant, certainement parce qu'il s'était mis des oeillères devant les yeux pour ne voir la vérité en face... Matilda avait toujours choisi Napoleon avant lui et ce serait toujours le cas. C'était peut être ce qui résumait le mieux l'existence d'Alwin, il était toujours second. Second dans le coeur de son entourage, voire troisième quand il s'agissait de ses parents. Second choix quand il s'agissait d'embaucher un garçon bien sous tous rapports, second quand il s'agissait d'aimer et d'être aimé en retour. Il détestait ce mot, second, il ne pouvait même plus le voir en pâture depuis quelques années alors le jeune brun avait tout fait pour ne pas être mis dans la position de celui qui se ferait doubler. Au bout du compte, c'était bien plus simple comme cela, de se fermer au monde autour, de ne plus croire en rien et faire son petit bonhomme de chemin en s'empêchant d'apprécier la présence des gens qu'on était amenés à côtoyer le plus fréquemment. C'était pour cette raison qu'il n'avait pas cherché à séduire des femmes au fil des années, aussi bien parce qu'il avait peur de ce qui adviendrait de lui que sa peur de ne pas être assez bien pour elles. Si seulement Alwin avait eu l'assurance nécessaire pour s'épanouir sans n'avoir à rendre de comptes à autrui mais la peur l'avait bloqué. Daley avait juste fait du surplace depuis le lycée, il était retourné à sa position initiale, celle de l'adolescent invisible qui se terrait à la bibliothèque pour ne pas avoir à affronter l'âpreté de ce monde. Il en avait perdu du temps pour le coup, à choisir de faire l'autruche plutôt qu'à assumer sa personnalité mais peut être qu'il n'avait pas pris ces décisions pour rien. Si son destin avait été différent, Alwin n'aurait certainement pas rencontré Cody. Sa vie aurait eu beaucoup moins de saveur sans elle, sans ses boucles brunes qu'il adorait contempler dès qu'il en avait la possibilité, sans son sourire charmeur et son rire expressif. Sans la jolie danseuse, Alwin n'aurait jamais pu être satisfait de ce qu'il avait parce qu'elle était devenue tout pour lui sans qu'il n'ait à lutter contre cet état de fait. Elle s'était simplement imposée à lui et le jeune homme adorait cela. Il voulait avoir cette opportunité de l'aimer pour des années entières, il voulait tout découvrir d'elle et pas seulement se cantonner à ce qu'il avait pu déjà apprendre au cours de la nuit passée. Clairement, Daley était perdu aux yeux de ce monde parce que l'amour, c'était cela aussi, c'était ne plus savoir qui on était, ce qu'on allait devenir et ce qui nous caractérisait en premier lieu. C'était vivre pour quelqu'un d'autre, lier son existence à la sienne de la manière la plus généreuse qui soit parce que, oui, Alwin n'attendait rien en retour. Il voulait juste garder Cody à ses côtés jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus le voir en peinture, qu'elle trouve mieux ailleurs même si le danseur espérait sincèrement qu'il lui serait toujours suffisant.

De toute évidence, la question ne se posait pas à l'heure actuelle puisqu'ils avaient passé leur première nuit ensemble. Ils avaient enchaîné les moments forts et emplis d'émotions et Alwin n'en regrettait pas une seule seconde. Il avait eu la chance de pouvoir aimer Cody comme il l'entendait, enfin comme son corps l'entendait finalement parce que son cerveau, lui, avait fini rangé dans un placard jusqu'à l'aube. Au moins, il avait fini par retrouver ses capacités cérébrales en préparant le petit déjeuner même s'il arborait un sourire niais et qu'il se hâtait pour retrouver plus vite sa bien aimée. Inconsciemment, il appréhendait le moment où il devrait la quitter, ce serait certainement un crève-coeur qu'il devrait vaincre. Ce n'était pas humain d'aimer autant, déjà, alors qu'ils n'avaient vécu que deux rendez-vous ensemble. Pourtant, Alwin était persuadé qu'il n'y aurait pas d'autres femmes qui pourraient autant le combler qu'elle, simplement parce qu'elle avait pris la plus belle place dans son coeur et qu'on ne pouvait pas déloger un médaillé d'or. C'était une récompense que la brune occuperait à jamais parce qu'elle avait réussi l'exploit de décoincer Alwin de ce mode de vie définitivement morne et qui ne lui apportait rien d'autre que des moments de solitude. Elle avait juste eu à répondre à quelques messages sur Matchmaker pour que le coeur du beau brun ne s'ouvre totalement... Et désormais, il n'y avait plus aucun retour en arrière et de toute manière, Daley ne le souhaitait pas vu comment il prenait le temps de la regarder quand elle se réveilla doucement. "Si c'est le cas, j'ai franchement rien senti mais à l'avenir, si j'ai des bleus, je saurais d'où ça vient..." Il lui fit un clin d'oeil, se doutant bien qu'il ne deviendrait pas un homme battu aux côtés de sa danseuse. Elle avait passé une nuit paisible, Alwin en était certain puisqu'il ne s'était pas réveillé une seule fois à cause de coups de coude bien placés. Il était clairement heureux de ce constat, cela voulait dire que Lexington s'était sentie à l'aise avec lui pour ne pas désirer le faire chuter du lit. Au contraire, ils étaient restés collés l'un à l'autre, tout comme ils commençaient à le faire dès le réveil, Alwin s'asseyant à ses côtés alors que le petit déjeuner débutait. Le brun n'était pas nécessairement concentré sur la nourriture à vrai dire, il passait le plus clair de son temps à jeter des coups d'oeil à Cody pour vérifier qu'elle n'allait pas le fuir dans la minute suivante. "Sachant que tu mérites tout l'amour du monde, j'en suis pas persuadé de mon côté." Il se mit à lui sourire, ses joues rosissant d'être en mesure de lui faire une telle déclaration mais ce n'était pas de la faute d'Alwin, il n'avait plus tellement de filtre quand elle était avec lui. Il voyait bien que recevoir des compliments n'était pas le fort de Cody mais il n'arrivait pas à s'arrêter, certainement pas quand il passait une main dans ses cheveux en riant du résultat. "Oh tu sais, je suis persévérant... Désolé si ça te gêne, je suis pas forcément le garçon le plus au point sur ce qu'il est censé dire à sa petite amie après une telle nuit..." Il savait bien ce qu'il pouvait lui dire pourtant, lui narrer encore et encore qu'elle était magnifique, qu'elle lui avait offert la plus belle nuit de sa vie et qu'elle allait certainement contribuer à la beauté de la journée à venir. Comment pouvait-il agir autrement? Cody était son coup de foudre, l'amour à l'état pur, la jeune femme à ses côtés alors qu'il laçait leur main en la regardant pour qu'ils puissent faire des plans pour leur journée ensemble. "Super plan, j'approuve, faisons notre couple cliché dans la grande roue!" Et il rit de sa plaisanterie, baisant la main de sa compagne, heureux d'envisager une telle journée. "Bon, on commence par quoi? Retrouver forme humaine en prenant une douche ou nettoyer le carnage qu'on a fait à cause du jacuzzi?" Il n'arrivait pas à croire qu'ils avaient débordé autant la nuit passée mais l'amour ne se commandait pas, la preuve vu qu'il lui souriait avec cet air déterminé. Cet air d'homme amoureux à en crever, déjà.
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MessageSujet: Re: A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) - Page 7 EmptyDim 10 Sep - 20:02



❝a date : entertainment, food and affection.❞
alwin & cody
Ce dimanche était loin d’être comme tous les autres. Il était bien plus important que tous les autres passé. Celui-là, il allait compter. Tu pourrais le marquer dans le calendrier, le noter comme étant le premier où tu te réveillais dans les bras de celui que tu aimais. Le premier réveil qui en marquerait probablement de nombreux autres. La soirée de la veille était tout aussi remarquable. Cette soirée tu l’avais attendue pendant plusieurs jours. Tu t’étais prise à l’imaginer alors que la boulangerie était vide de clients. Tu avais eu les yeux dans le vague. Tu avais eu ce sourire niais sur le visage alors que tu avais songé que la soirée serait au moins aussi bien que la première. Probablement que les gens passant dans la rue et regardant à travers la vitrine t’avaient pris pour une folle. Mais tu t’en fichais. Tu n’avais fait penser qu’à lui pendant des jours entiers. Il ne t’avait pas quitté, ton esprit étant marqué au fer rouge de son visage. Tu avais été loin du compte concernant votre second rendez-vous. Il était bien mieux que dans toutes tes attentes. Au delà de tes espérances. Tu avais dansé, tu avais plaisanté avec lui. Tu avais aussi parlé de choses plus personnelles, tu t’étais confiée à lui tout comme lui l’avait fait. Vous commenciez à vous connaitre un peu plus. Mais, ce n’était pas assez. Tu voulais en savoir encore plus sur lui. Tu avais envie de tout savoir le concernant. Tu voulais connaitre la moindre de ses petites habitudes. Savoir ce qu’il aimait ou au contraire ce qui lui déplaisait. C’était ça d’aimer. C’était connaitre le moindre détail de l’être aimé. Et tu l’aimais plus que tout Alwin. Tu étais folle de lui, folle de son sourire. Tu aimais son rire qui emplissait ton coeur et qui rendait tout de suite les choses plus belles. Parce que son rire était une bénédiction qui pouvait guérir tous les maux. Il était cet être unique qui rendait les journées plus belle rien que par sa présence dans tes pensées. Parce qu’il ne quitterait jamais ton esprit. Ton brun était partout dans ton coeur, sur ta peau. Ce week end était le genre de moment que l’on oubliait pas. C’était le type de week end que tu voulais vivre encore et encore. Non. Tu ne voulais pas du tout qu’il s’arrête en fait. Tu voulais te découvrir des pouvoirs magiques. Tu avais envie de stopper le temps. Parce que tu ne voulais pas que votre rendez-vous prenne fin un jour. Être avec lui s’était ce que tu aimais le plus. Parce qu’il te rendait heureuse. Tu n’avais jamais connu ce sentiment avant. Tu ne pouvais pas dire que tu avais été malheureuse. Non pas du tout. Tu avais oscillé entre des périodes de bien et de moins bien. Mais, tu avais toujours eu ta famille à tes côtés. Ils t’avaient tous toujours soutenue. Même quand tu étais infecte ils étaient là. Tu avais eu tout l’amour et l’attention dont une enfant avait besoin. Mais, tu comprenais bien que tu ne rentrais pas dans le moule. Ils avaient du mal à te comprendre. Ils ne saisissaient pas tous tes agissements. Ils ne pouvaient s’empêcher de juger, même inconsciemment. Quand tu étais avec ton danseur, tu ne ressentais rien de tout ça. Lui, il semblait comprendre ce que tu faisais. Il comprenait tes agissements et il te soutenait. Il était cette oreille attentive à qui tu pouvais tout dire. Ta confiance en lui était complète malgré le peu de temps que vous aviez passé ensemble. Comme quoi, connaitre quelqu’un depuis toujours ne voulait rien dire. Alwin avait trouvé sa place dès les premières minutes. Dès le départ, tu avais su que c’était lui et pas un autre. Ça resterait lui pour toujours.

La soirée que vous veniez de passer ne faisait que le confirmer. Vous étiez de toutes les façons possible. Les émotions avaient été exprimées par des mots, par des gestes. Le désir charnel vous avait consumé. Ce plaisir vous avez laissé pantois, incapable de réagir. Vos cerveaux n’étaient plus en mesure de fonctionner. Ils avaient été mis sur pause. Vos corps avaient pris le contrôle, pour combler vos désirs les plus fous. La fatigue vous avait emportée bien rapidement après un moment d’une telle intensité. Et la nuit avait été douce, sans nuage. Tu avais dormi mieux que jamais. Un sommeil réparateur afin d’être en pleine forme pour affronter la journée à venir. Cette journée qui s’annonçait radieuse. La soleil brillait et le temps s’annonçait beau. Les éléments étaient de votre côté pour que ce week end continue d’être magique. La séparation serait d’autant plus compliquée que le moment était beau. Tu ne pouvais imaginer la séparation qui serait obligatoire. Tu savais que le manque serait grand. Heureusement, ton esprit avait de quoi faire pour patienter jusqu’à la prochaine fois que tu le verrais. Tu pourrais revivre le film de cette nuit, de la soirée et même de la journée qui allait se dérouler. Tu allais encore te perdre dans tes songes à la place de travailler. Tu allais probablement rendre trop de monnaie aux clients et tu te ferais engueuler par ton patron. Mais tout ça n’aurait pas d’importance puisque ton danser allait être dans tes pensées. Son visage ne te quittant plus. Tu l’aimais comme jamais et rien n’égalerait ça. Il était le seul hôte de ton coeur et rien ne pourrait l’en déloger. Le réveil était doux comme l’avait été cette nuit dans ses bras. Tu ne l’avais pas frappé ou du moins, il ne l’avait pas senti.  « Je préfèrerais éviter de t’abîmer. » Quoique ça pouvait être une excuse pour le couvrir de baisers, de câlins et de tous ces gestes tendres. Bien que tu n’avais pas besoin d’excuses. Tu l’aimais, c’était l’excuse la plus suffisante. Cette chose qui justifiait tout. Tu avais passé ta nuit collée à lui et tu continuais de bon matin. Tu ne voulais plus te séparer de lui, tu avais juste envie de continuer à être contre lui. Tu voulais lui montrer que tu l’aimais jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. L’aimer jusqu’à ce qu’il en fasse une overdose. Parce que tu savais que de ton côté ça n’arriverait jamais. Jamais tu ne pourrais t’arrêter de l’aimer et de le montrer. La nourriture n’avait que peu d’intérêt comparé à lui. Tu mangeais, ton regard posé sur lui la plupart du temps. Tu ne te lassais pas de ses traits. Tu ne te lassais pas de détailler son visage si parfait que tu avais couvert de baisers la veille. Tu te retenais de ne pas recommencer. Presque un combat avec toi même. Mais, tu savais très bien que si tu commençais, tu ne pourrais sûrement plus t’arrêter. Tes joues allaient finir par s’enflammer à force de ses déclarations et de ses compliments. Tu n’étais pas habituée à avoir autant d’amour. Peut être qu’un jour tu finirais par t’y faire. Sa main dans tes cheveux et un compliment voilà où vous en étiez ce matin.  « J’en doute pas que tu le sois… Et moi, je suis pas la fille habituée à avoir un petit ami… J’crois qu’on a beaucoup de choses à apprendre tous les deux. » Tu lui souriais, bien consciente que vous alliez avoir du travail tous les deux pour ressembler à un couple normal. Peut être que de commencer par faire des activités que tous les amoureux faisait aiderait ? C’était à essayer d’autant plus qu’il approuvait ton idée pour la journée.  « Parfait ! Faudra aussi que tu me gagnes une peluche géante à un jeu de fête foraine pour bien respecter le cliché. » Tu riais alors que tu poursuivais dans la plaisanterie. C’était bien ton style d’amplifier ce qu’il venait de dire. Parce que tu aimais plaisanter, encore plus quand tu étais avec lui. C’était si simple de rire de tout avec ton petit-ami. La journée commençait de la meilleure des façons.  « Je pense que le ménage en étant nu, ce n’est pas ce qu’il y a de mieux. Je pourrais te sauter dessus comme hier soir et on serait pas plus avancés que maintenant. » Tu souriais malicieusement alors que tu ne l’avais pas lâché du regard.  « Va prendre ta douche en premier, je m’occupe de nettoyer le petit-déjeuner. » Tu lèvres venaient trouver sa joue pour y déposer un tendre baiser. L’idée d’une douche à deux aurait pu être tentante bien que trop dangereuse pour l’avancement du ménage. Ce n’était pas de ta faute après tout si tu étais faible face à lui Cody. Beaucoup trop faible.

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MessageSujet: Re: A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) - Page 7 EmptyDim 10 Sep - 22:37


cody + alwin
« a date: entertainment, food, and affection. »
Personne n'était parfait et pourtant, l'amour effaçait le moindre défaut. On apprenait à tous les apprécier, autant qu'on pouvait aimer les qualités de l'autre parce qu'on acceptait tout par amour. Alwin avait toujours été dans la catégorie des perfectibles, il avait cette tendance à se dévaloriser, à rester dans la réserve au lieu de crier haut et fort quand quelque chose le dérangeait. Il s'était lui même brimé jusque là mais il était en train de dépasser sa peur: pour Cody, il faisait tout. Il arrêtait de se sentir inférieur, il se mettait à sa hauteur, hurlant haut et fort à quel point il la trouvait merveilleuse. Puis, il aimait son impétuosité, ses remarques idiotes et la manière dont elle rougissait quand on lui faisait un compliment. En clair, Daley était en train de faire l'expérience d'un amour sans limite, l'amour avec un grand A, celui qu'ont contait comme unique et passionné. Alwin n'avait plus le moindre doute sur la question, il aurait dansé en haut de l'Everest si c'était nécessaire à la survie de la belle brune. Il espérait ne pas avoir à utiliser ce genre d'extrémités avant longtemps, s'imaginant plus aisément d'ici une bonne dizaines d'années avec sa danseuse à ses côtés. Ils pourraient participer à des concours de danse de salon ou à des ballets si c'était ce que Cody préférait, ils battraient certainement n'importe quel autre couple à plate couture. Ce n'était pas des bêtises quand on disait que l'alchimie avait une grande importance entre deux partenaires de danse. Deux couples différents pouvaient effectuer les mêmes mouvements au même moment que l'effet en serait différent selon leur entente dans la vie privée. Dans le cas de Cody et d'Alwin, il n'y avait pas franchement d'incertitude à ce sujet: ils étaient simplement faits pour danser l'un avec l'autre, c'était d'ailleurs par cela qu'ils avaient commencé avant de partir vers une relation amoureuse. Alwin avait tourbillonné avec sa brune, il avait compris à quel point son contact l'apaisait, à quel point il avait envie de la sentir dans ses bras à n'importe quelle heure du jour et de la nuit. Dès cet instant où sa main s'était lacée à la sienne, le jeune brun s'était perdu dans l'abîme de ses sentiments. Il gravirait n'importe quel obstacle pour retrouver Cody, il arrêterait même de respirer s'il avait fallu qu'il lui donne son souffle pour une survie hypothétique. Si une catastrophe d'envergure venait à arriver, Alwin était certain d'une chose: elle était devenue son tout à la vitesse de la lumière. C'était ce que l'amour faisait, il faisait trembler le moindre muscle d'un corps vaillant, il faisait dérouter un cerveau jusque là terre à terre. L'amour allait au delà de tout concept de raison ou de réalité: cela tombait bien en un sens puisque Alwin avait toujours été un rêveur invétéré. Il était fréquent de le retrouver avec la tête tourné vers les étoiles, à attendre le Messie ou tout autre genre de figure mystique parce qu'il avait toujours eu besoin de ce ciel pour se sentir vivant. A partir d'aujourd'hui, ce n'était plus le cas: Alwin avait simplement besoin de Cody, de sentir son coeur battre en harmonie avec le sien, de rêver ce tout nouveau monde plus coloré, plus vif et plus merveilleux encore. Cody avait rendu tout plus beau, elle était la prunelle de ses yeux et ceux là le reflétaient parfaitement depuis la veille au soir. Daley ne pensait qu'à elle, il ne subsistait que pour la retrouver et l'aimer à nouveau. L'aimer à tout jamais. L'aimer comme un fou pouvait s'accrocher aux barreaux de sa prison cérébrale. Il l'aimait, tout simplement.

Alors, Alwin n'attendait plus rien d'autre de la vie: il avait obtenu son cadeau, sous la forme de cette soirée magique qu'il venait de passer. Rien d'autre n'avait d'importance à ses yeux, juste le corps encore assoupi de sa belle danseuse alors que le brun se remémorait la sensation de sa peau contre la sienne, de leurs lèvres qui s'unissaient sans discontinuer. Il en rêvait encore et il en rêverait toujours dès qu'elle serait à ses côtés. Personne de sain d'esprit ne pouvait s'empêcher de désirer une femme comme elle, aussi naturelle et spontanée que Cody pouvait l'être, surtout quand elle tâchait de se réveiller, ce qui s'avérait être une tâche difficile après la jolie nuit qu'ils venaient de passer collés l'un à l'autre. Alwin ne voulait plus avoir à la lâcher, il voulait conserver sa main dans la sienne alors qu'il la contemplait sous toutes les coutures. Elle était belle à en crever et il perdait son souffle à nouveau parce qu'il ne pouvait pas faire autrement avec sa danseuse. Elle était juste éblouissante, là, à grignoter le petit déjeuner avec seulement un drap qui la protégeait de l'univers. Ce n'était pas tout à fait vrai, il y avait Daley désormais qui la protégeait de la cruauté de ce monde, même s'il était loin d'être un super héros. Il était juste l'homme qui l'aimait mais c'était déjà amplement suffisant pour qu'elle se sente heureuse au réveil. "J'ose espérer que t'aies encore besoin de moi pour éviter ça, oui..." Ce n'était même pas une question de besoin à vrai dire, mais juste d'envie. Alwin, lui, avait envie plus que jamais d'être avec elle et ce n'était pas quelques coups donnés lors de nuits plus âpres que les autres qui le feraient fuir cette douce réalité avec Lexington. Il savait qu'elle avait mal parfois, il le sentait mais lui aussi souffrait et à deux, ils pouvaient se rafistoler. Ils pouvaient même se guérir parce que l'amour avait cette vertu avant tout. Ses doigts caressaient la paume de la main de Cody et Alwin souriait, s'attendant à la plus belle journée de l'univers à nouveau. Rien d'autre que le soleil pouvait percer à travers les rideaux de la chambre et de toute manière, le brun ne regardait rien d'autre que les yeux ébènes de sa compagne. "Je crois qu'on a même pas besoin d'apprendre tout ça... Juste le vivre, je pense qu'on se débrouille pas si mal pour le moment." Ils découvraient le grand amour ensemble, à défaut d'avoir été l'initiateur d'une quelconque première fois l'un pour l'autre. Ils avaient eu une vie avant de se rencontrer mais ce n'était pas certain qu'ils en aient une après leur histoire, si jamais ils étaient amenés à se quitter, même furtivement. Pour le moment, ce n'était pas d'actualité vu qu'ils étaient en train de planifier une journée à Coney Island pour satisfaire tous les clichés sur les premiers rendez-vous. "Heureusement que tu me le précises, j'aurais oublié la peluche et le ciel m'aurait puni d'être un si piètre copain pour ça." Il rit en venant déposer un léger baiser sur ses lèvres. Ils allaient devoir se mettre en action s'ils voulaient déserter la maison de l'oncle d'Alwin avant le coucher du soleil. La malice de Cody atteignit son propre regard et Alwin ne put que relever les sourcils en souriant de sa remarque. "Je suis pas sûr que je vois un problème à ça, tu vois... J'veux dire, c'est pas tous les jours que je me fais sauter dessus par une jolie danseuse et pourtant, c'est moi qui fais le plus souvent le ménage chez moi. Mais c'est vrai que je pourrais m'y habituer alors..." Il lui fit un clin d'oeil avant de sentir ses lèvres se poser contre sa joue. Evidemment, Cody était la sagesse incarnée en voulant dérouler leur programme du jour. "T'es galante, dis moi. J'allais te proposer d'y aller avant moi parce que c'est vrai que si on part en même temps, on sera forcés de faire le ménage de la salle de bain en plus de tout le reste." Il se mit à rire en revenant chercher ses lèvres, se levant finalement pour accourir à la douche. Forcément, Alwin ne mit pas un temps fou, bien trop pressé de retourner à sa belle brune, s'habillant à la hâte de vêtements qui restaient encore un poil humides de la veille mais Daley s'en fichait bien. Il s'occupa de faire une machine et passer la serpillière dans le salon pendant que Cody s'habillait à son tour. A nouveau, Alwin se perdit dans ses pensées, souriant niaisement de ce qui lui arrivait, de tout l'amour qu'il avait au fond du coeur pour sa brune. Il allait exploser, il le pressentait déjà en rangeant les derniers objets dont il s'était servi pour faire le ménage. Cody Lexington allait le tuer d'amour.
by kkam
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MessageSujet: Re: A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) A date: entertainment, food, and affection ¤ Cody (/!\) - Page 7 EmptyLun 11 Sep - 18:14



❝a date : entertainment, food and affection.❞
alwin & cody
Il y avait certaines choses que l’on ne pouvait voir que dans les films. Des choses qui semblaient totalement irréelles pour pouvoir être vécues. C’était ce que tu ressentais depuis qu’il était venu te chercher à ton appartement. La magie avait opéré dès le départ. Elle avait opérée même si tu t’étais retrouvée devant lui sans tes chaussures et ta coiffure à moitié défaite puisque tu t’étais cognée la tête contre un meuble. Les choses ne s’étaient pas faites comme dans les films quand le garçon attend la fille à la porte avec un bouquet de roses. Non, ton brun lui était venu avec des oeufs et un cd. C’était quelque chose qui te convenait beaucoup mieux. Tu n’avais jamais été douée avec les fleurs, plantes et toutes ces choses là. Tu avais même été capable de faire mourir un cactus, preuve que tu étais réellement nulle. La scène de vos retrouvailles n’avait pas été similaire à une comédie romantique. Mais, la magie avait été la même. Elle était même bien plus forte que dans n’importe quel film. Elle l’était plus que ce qui n’était possible au monde. Parfois, tu avais du mal à croire que tu n’étais pas en train de rêver. Parce que c’était trop beau, trop parfait, trop tout. Tu avais peur du réveil, peur que tout s’envole. Alors, tu profitais pleinement de ces instants. Priant pour ne jamais te réveiller, pour ne jamais connaitre cet atterrissage sur Terre qui te briserait les ailes. Tu étais à des milliers de kilomètres, tu étais la tête dans les étoiles. Tu voulais continuer de vivre ce rêve. Tu ne voulais pas te poser la question de savoir s’il prendrait fin un jour parce que c’était une option impossible. Tu voulais Alwin pour toujours dans ta vie. Tu voulais vivre d’autres moments digne d’une comédie romantique. Tu voulais danser, chanter sous la pluie avec lui. Tu voulais l’embrasser sous cette pluie torrentielle jusqu’à en perdre ton souffle et être trempée jusqu’aux os. Tu voulais te réchauffer devant ce feu de cheminée dans ses bras, riants des choses folles qui pouvaient vous arriver. Tu voulais ne jamais avoir à le quitter. Rester avec lui même quand les moments seraient moins joyeux. Parce que la vie n’était simple pour personne, tu le savais que trop bien. Tu voulais l’aider à se relever de ses blessures. Embrasser les plaies de son coeur jusqu’à les faire disparaitre. Parce que tu l’aimais, parce que tu étais capable de tout pour lui. Tu ne voulais pas le voir malheureux. Jamais. Tu aimais beaucoup trop son sourire pour le voir disparaitre un jour. Tu étais prête à user de tes plaisanteries les plus nulles pour ça. Tu savais bien faire ce genre de chose. Tu savais trouver des stupidités à débiter pour rendre le sourire aux gens. Puis, tu le serrerais dans tes bras, lui murmurant à quel point tu l’aimais si les plaisanteries ne suffisaient pas. Ton front contre le sien, tu lui dirais à quel point il rendait ta vie plus belle. Tes yeux se perdraient dans les siens pendant de longues minutes. Parce que le silence n’était pas gênant quand vous étiez ensemble. Les sentiments prenaient le dessus sur tout et il n’y avait pas besoin d’en dire plus. Cette histoire était belle. Elle l’était depuis votre première danse. Depuis que tu l’avais admirer faire des acrobaties. Ces acrobaties que tu voulais qu’il t’apprenne à faire. Tu n’étais pas certaine d’y arriver. Tu n’étais pas sûre de réussir à t’envoler comme lui pouvait le faire. Mais, tu serais avec lui alors la magie pouvait opérer. L’amour pouvait peut être te faire devenir une acrobate capable d’exécuter de telles figures. Cette histoire, elle n’existait pas en film. Cette histoire ne demandait qu’à être construite, qu’à continuer à travers le temps. Elle n’avait besoin que de vous deux. Pas de scénaristes, de producteurs, de caméras. Juste deux acteurs. Juste Alwin et Cody.

L’histoire n’avait pas besoin d’autre chose pour être belle. Du moins, elle n’avait rien besoin de plus pour te satisfaire pleinement. Cette nuit dans ses bras avait été bien plus que ce que tu attendais. Il n’y avait pas eu la redoutable séparation à la fin d’une soirée magique. Une soirée que tu n’avais voulu terminer pour rien au monde. La seule fin qui avait été acceptable, la seule fin moins brutale avait été de t’endormir tout contre lui. Ta tête dans son cou, le sommeil t’avait gagné lentement. Les songes t’avaient emportés alors que tu étais bien incapable de te défaire du sourire que tu avais sur le visage. Tu étais bien trop heureuse avec ton danseur pour arrêter de sourire. La séparation était repoussée et rien que ça, ça te comblait de bonheur. Tu n’étais pas prête à t’éloigner de lui. Pas prête à affronter les jours loin de lui. Ces jours où tu ne pourrais pas lier ta main à la sienne. Ces longues journées où ta seule issue serait de te remémorer tout ce que tu vivais. Tes souvenirs étaient là, ils ne s’évaporeraient pas. Ils seraient la seule issue au manque. Le seul moyen de survivre jusqu’à la prochaine fois, jusqu’au prochain moment dans ses bras. Tu n’avais pas à penser à tout ça pour le moment. Il n’était pas nécessaire de te torturer avec ce qu’il adviendrait alors que tu te réveillais doucement à ses côtés. Il était difficile de sortir du sommeil alors que tu avais passer une nuit plus douce que jamais, blottie dans ses bras. Mais, la journée s’annonçant tout aussi belle, il n’était pas difficile de s’éveiller, de se redresser pour prendre ce petit-déjeuner que l’homme qui partageait ta vie t’avait préparé.  « Oui j’crois que j’vais avoir besoin de temps pendant un moment encore… » Tu mangeais ton petit-déjeuner, lui annonçant que tu le voulais à tes côtés pour longtemps comme s’il s’agissait d’une évidence. Après ce que vous aviez échangé cette nuit, ça en était une. Tu étais folle de lui et ce n’était pas quelque chose que tu perdrais. Jamais ça ne se produirait alors qu’il t’était essentiel. Tu avais besoin de ton brun bien plus que tu n’avais besoin de respirer. Il avait kidnapper ton coeur dans ce fastfood. Tes yeux ne le lâchaient plus. Parce que tu avais peur qu’il s’éclipse, qu’il disparaisse à jamais. Qu’il te laisse seule à jamais, te noyant dans un chagrin d’amour. Mais, il ne bougeait pas. Il restait là, ta main dans la sienne. Il couvrait ta paume de caresser alors que vous étiez prêt à tout surmonter ensemble. À découvrir ces choses que vous n’aviez jamais connu jusque là.  « Je trouve qu’on s’en sort plutôt pas mal c’est vrai. » Ça ne pouvait que bien se passer tant que vous vous aimiez. L’amour était ce qu’il y avait de plus fort. Il pouvait détruire ou rendre heureux. Vous étiez dans ce deuxième cas de figure et c’était un état que tu espérais conserver longtemps. Jusqu’à la fin des temps à vrai dire. Alwin était ton grand amour, celui avec un grand A. Celui que l’on ne rencontrait qu’une seule fois dans sa vie. Il était celui qui prenait toute la place disponible dans ton coeur et cette part ne pourrait jamais rétrécir. Tu étais en train de te créer des souvenirs avec lui. Ces souvenirs de toute une vie, ceux que l’on racontait quand on avait atteint un âge trop grand. Ceux qui émerveillaient chaque fois qu’on les évoquaient. Parce que c’était ce genre d’histoire qui donnait de l’espoir quand on était au plus bas. Tout le monde pouvait espérer retrouver sa moitié, ce bout d’étoile qui venait éclairer nos nuits, et pourtant, tout le monde n’y arrivait pas. Tu faisais partie de ces chanceux qui connaissaient le grand amour Cody.  « T’as pas assez regardé de comédies romantiques c’est pour ça. » Tu riais contre ses lèvres en songeant que toi tu avais de l’expérience pour tout ça vu le nombre de films à l’eau de rose que ta soeur t’avait fait regardé. Et si vous vouliez pouvoir expérimenter les clichés de couples amoureux, il fallait songer à bouger un peu. Il fallait commencer par s’habiller sinon, tu ne répondais pas de ce qui pouvait se passer.  « Si je te saute dessus, on pourrait pas expérimenter tous les clichés amoureux. Ça serait drôlement triste… » Pourtant, l’idée de passer une journée au lit avec lui était loin d’être déplaisante. Comme pouvait-elle l’être alors que tu étais complètement accro à lui ? Enfin bon, pour aujourd’hui, tu restais sage. Pas de douche à deux, tu optais pour le ménage afin de partir de la maison avant la fin de la journée.  « Oui j’y ai bien pensé que d’y aller tout les deux ne ferait que nous rajouter du ménage supplémentaire. » Tu riais avant de partager avec tendresse son baiser. Ton cerveau reprenant les rênes, avant que ton coeur ne s’emballe, pour pouvoir le laisser partir sous la douche. Tu t’occupais de la vaisselle du petit-déjeuner pendant ce temps là. La place libre, tu filais à la salle de bain afin de retrouver une forme humaine convenable pour sortir. Tu gardais ton habitude à donner un concert sous l’eau chaude. Si tu étais plutôt bonne danseuse, le chant n’était pas un don que tu avais. Tu te fichais bien des fausses notes, tu aimais chantonner. Chanter ces mélodies qui te restaient longuement en tête. Tu ne traînais pas plus que nécessaire sous l’eau, bien trop pressée de retrouver ton petit-ami pour continuer cette journée. Cette journée vous appartenait. Tu enfilais tes vêtements tout aussi rapidement et tu allais le retrouver. Tu passais tes bras autour de son corps, ton menton venant trouver place sur son épaule.  « J’crois que c’est bon non ? » Tes lèvres venaient trouver sa joue pour y déposer deux ou trois petits baisers. Parce que tu ne serais jamais rassasiée de lui. Tu étais complètement accro à lui. Une douche froide aurait même été incapable de te remettre les idées en place. Parce que tu ne touchais plus terre. Tu étais plutôt en train de toucher les étoiles chaque fois qu’Alwin était dans tes pensées. Ces étoiles étaient atteintes encore plus vite quand tu étais avec lui. Une douce sensation d’addiction. Un manque que tu ne comblais qu’avec sa présence. Tu étais droguée à son amour Cody.

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