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arrivé(e) le : 19/06/2017

Citation :: 5801

Invité « Invité »

Citation :: https://www.youtube.com/watch?v=ywwAxbtzeDU

arrivé(e) le : 23/06/2017

Citation :: 5371

Invité « Invité »

Citation :: https://www.youtube.com/watch?v=sYe-CcEeqE4

arrivé(e) le : 02/08/2017

Citation :: ben affleck, 13
bob morley, 26
chris pratt, 10
finn jones, 1
henry cavill, 10
matt smith, 10
pedro pascal, 11
ryan reynolds, 3
tom hardy, 7
tyler hoechlin, 9

Invité « Invité »

Citation :: https://i.imgbox.com/85NtB80W.png

arrivé(e) le : 19/06/2017

Citation :: 114

Invité « Invité »

Code:: Bonjour,

Nous vous informons que trois contraventions vous concernant ont étés reçues.

Les formulaires de requête ayant étés remplis, vous les recevrez à votre nom et à votre domicile sous peu.

Non acquittement de la redevance pour stationnement :

A Aix en Provence les 14, 21 et 28 aout (cours Sextius) 3 fois 17€.

Cordialement,

Invité « Invité »

Citation :

Nombre aléatoire (0,2000) :: 396

Invité « Invité »

Citation :: Tu avais toujours aimé les choses simples. Tu te contentais de peu et tu ne désirais pas des choses folles. De toute façon, tu n’avais jamais été une matérialiste. Tu préférais te graver des souvenirs avec les gens que tu aimais plutôt que de collectionner les objets les plus chers. Quand tu sortais, c’était la même chose. Il n’y avait pas besoin de t’en mettre plein la vue. Il n’y avait pas besoin d’aller manger dans un restaurant étoilé pour que tu sois comblée. C’était même plutôt l’inverse. Tu serais très mal à l’aise dans un restaurant chic. Tu savais que tu n’y avais pas ta place. Tu n’étais pas de ces jeunes femmes sophistiquées qui savaient se tenir en société. Les bonnes manières, ce n’était pas tellement compatible avec toi. Tu te fichais d’avoir l’air ridicule quand tu faisais quelque chose. Tu n’utilisais pas non plus un vocabulaire compliqué juste pour étaler ta science. Tu ne pourrais jamais t’adapter à un monde pareil parce que c’était bien trop loin de ta personnalité. Toi, tu aimais les choses simples. Tu aimais sortir marcher au grand air, tu aimais manger un burger et des frites sans faire à attention si tu en avais partout sur le visage. Tu aimais danser dans un fastfood ou faire des jeux dans un parc d’attractions avec ton petit-ami. Alwin n’avait pas besoin de se casser la tête pour réussir à trouver quelque chose qui te plairait. Il pouvait se contenter d’activités d’enfants parce que tu restais une grande enfant. Si tu avais mûrie physiquement, mentalement c’était loin d’être le cas. Tu étais toujours cette adolescente qui se plaignait d’un rien juste pour le plaisir de râler. Tu continuais toujours à jouer à des jeux vidéo toute la nuit avant de finalement regretter le lendemain matin parce que tu étais incapable de te lever le matin. Puis, tu faisais l’expérience de ton premier amour seulement maintenant alors que tu aurais dû le faire bien avant. Finalement, tu grandissais à retardement, ça devait être ça l’explication. Malgré tout, tu ne t’en sortais pas si mal. Tu arrivais à affronter la vie, respecter tes responsabilités avec plus ou moins de réussite. Tu n’étais pas en échec à la fac, tu réussissais à garder ton emploi malgré tout et ton loyer était toujours payé plus ou moins à l’heure. Tu aurais pu t’en sortir beaucoup moins bien que ça au vu de ton caractère. Il y avait toujours eu cette possibilité de devoir retourner en Alaska si tu ne t’en sortais pas ici. Ca avait été une option inenvisageable pour toi. Tu n’étais pas capable de retourner là où tu étais née parce que tu savais que ça se passerait dans tous les cas mal. C’était peut-être pour ça qu’inconsciemment, tu essayais de faire en sorte que les choses fonctionnent ici. Puis, heureusement que tu n’étais pas retournée à Anchorage parce que tu serais passée à côté d’Alwin. Tes chances d’être avec lui se seraient envolées comme un écran de fumée. Tu n’aurais pas connu ce bonheur de te réveiller à ses côtés, de passer une douce journée rien qu’avec lui. Ton cœur n’aurait jamais manqué de succomber à ses déclarations d’amour autant de fois. Définitivement, tu serais passée complètement à côté d’une belle vie. Une vie que tu ne voulais plus échanger pour rien au monde.

Tu ne pouvais pas avoir envie de faire une croix sur ce que tu étais en train de vivre avec le blanchisseur. Tu avais plutôt une envie d’infini parce que même une vie entière ne serait pas suffisante pour combler ton besoin d’être avec lui. Il avait su capturer ton cœur, il l’avait fait avec délicatesse et sans te brusquer. Tu ne t’étais même pas rendue compte que tu te tombais amoureuse de lui dès votre premier rendez-vous. Parce que la connexion entre vos deux âmes était déjà présente. Parce que c’était comme si vous vous connaissiez depuis toujours. Il avait fallu attendre tellement d’années avant que vous soyez réunis que maintenant le destin n’allait pas pouvoir vous séparer. Jamais. Il allait bien entendu falloir s’habituer au manque quand vous ne pourriez pas être ensemble. Mais, ce n’était rien quand tu pouvais te dire que tu le retrouverais au bout de quelques jours. Tu avais cette chance de te forger de beaux souvenirs à ses côtés, des souvenirs qui te permettraient de patienter. Parce que tu allais revivre tous ces moments passer avec lui cette semaine. Tu allais encore avoir la tête dans les nuages et des papillons dans le ventre. Tu allais probablement encore faire des bêtises avec ton esprit qui était ailleurs mais ça n’avait pas d’importance. Alwin était le seul à en avoir ces derniers temps. Avec lui, c’était simple. Il n’y avait pas à s’inquiéter de ce que vous pouviez dire ou faire. Vous pouviez être chacun vous-même, vous pouviez vous amuser d’un rien. Votre humour était similaire donc tes blagues ne faisaient pas de flop. A ses côtés, ce n’était que sourires et joie. Tu n’avais pas connu une telle sensation depuis longtemps. Tu ne l’avais peut être plus connu depuis ton enfance. Oui, de toute évidence, tu n’avais pas vécu de moments comme ceux que tu passais avec ton danseur durant ton adolescence. Les choses étaient toujours bien trop compliquées à cet âge là. « T’es sûr qu’il existe pas ? Tu viens de ruiner toute mon enfance vu que j’étais persuadée que lui existait tout comme Batman, Iron Man et Captain America… » Tu ne pouvais t’empêcher de perdre ton sérieux en riant au bout de quelques secondes. Tu ne savais jamais garder ton sérieux alors que les bêtises s’échappaient de tes lèvres plus rapidement que jamais. Enfin, les bêtises étaient terminées pour le moment puisque tu te retrouvais sur un banc à ses côtés, prête pour manger des frites et discuter de votre relation. Tu n’avais pas envie de cacher ce qu’il y avait entre vous. Tu ne pouvais toute façon pas le faire alors que ton attitude criait au monde entier que tu étais folle d’amour pour lui. Tu lui souriais avec tendresse alors qu’il était du même avis que toi et ses compliments te faisant rougir. Tu étais loin d’être merveilleuse mais tu tentais de faire au mieux. Faire le maximum pour que jamais il ne change d’avis sur votre relation. Tu ne pouvais plus vivre sans lui maintenant. Tes doigts caressaient les siens alors qu’il venait de prendre ta main dans la sienne. « Je pense qu’on peut dire qu’on est chacun le porte bonheur de l’autre alors ? » Tu souriais avec tendresse au contact de ses lèvres contre ta mâchoire. Tu souriais toujours des gestes d’amour qu’il pouvait avoir envers toi. Il était définitivement la meilleure chose au monde qui te soit arrivée. « Vu qu’on est dans la journée des clichés, on pourrait marcher main dans la main au bord de l’eau pour attendre le couché de soleil ? » Tu ne savais pas si vous seriez capables de rester calmes, à juste marcher près de l’eau, vous tenant la main, discuter de tout et de rien. Votre folie était bien trop développée pour réussir une chose que tout le monde pouvait faire. Mais, ça se tentait histoire de finir la journée en beauté. De toute façon, peu importe votre choix, la journée aurait été parfaite du début à la fin. Tu te relevais, ta main toujours dans la sienne, Lala dans ton autre bras vu qu’il n’était pas question de l’oublier sur le banc, cette peluche avait bien trop de valeur dans ton cœur maintenant. Tu entrainais ton petit-ami avec toi au plus proche de l’eau. Tu faisais quelques pas avant de finalement t’arrêter. Tu avais cette envie folle de mettre les pieds dans l’eau. Elle allait être glaciale mais ce n’était pas un si petit détail qui allait t’arrêter. Tu te dégageais de tes baskets et tu trempais tes orteils dans l’eau. C’était définitivement très froid et ça ne te dérangeais pas. « J’sais pas si c’est très conventionnel de faire ça pendant un second rendez-vous. » Tu riais alors que le vent venait emmêler encore un peu plus tes longues boucles brunes. Vous ne faisiez pas toujours, pour ne pas dire jamais,des choses conventionnelles mais tu étais heureuse. Heureuse comme tu ne l’avais jamais été jusque là. Tout était réuni pour que le moment soit beau. Il y avait du soleil, il y avait des rires, de la bonne humeur et lui. La présence d’Alwin et l’amour que tu lui portais rendait forcément tout ça encore plus beau. Encore plus irréel.

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