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| (cody) i'm a motherfucking woman, baby, that's right. | |
| Auteur | Message |
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Invité « Invité » | Sujet: (cody) i'm a motherfucking woman, baby, that's right. Dim 21 Jan - 19:47 | |
| cody lexington
| TINDERLY YOURS
NOM : Lexington, le nom de ton père. Le seul héritage que tu as de lui. Tu le portes fièrement ce nom qu'il t'a légué avant de mourir. PRÉNOM(S) : Prénom choisit par ton père. Tu t'appelles Cody. Tu aurais du être un garçon. Mais, surprise à ta naissance, une petite fille. Le médecin s'était trompé. Rien était prévu pour toi, tes parents ont du improviser sur le moment. Ils ont finit par décider de garder le prénom que tu aurais du porter dès le départ. Après tout, ça sonne plutôt pas mal même pour une fille non ? ÂGE : Vingt et deux printemps , vingt deux ans depuis peu. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Joli cadeau de noël en retard, t'es née le 26 décembre 1995. Chose moins drôle, ta mère a dû accoucher dans votre salon vu toute la neige qu'il y avait dehors. T'as beau être métisse, tu ne viens pas d'un pays chaud. T'es née en Alaska, à Anchorage. EMPLOI : T'as fini par choisir d'étudier sur ta seconde passion : la photographie. Avec ton genou, la danse en tant que professionnelle, c'était terminé. Être étudiante photo c'est cool quand même. Comme t'es pas d'une famille riche, tu travailles aussi dans une boulangerie de la ville. C'est carrément le bon plan, t'as le droit de goûter les nouvelles créations et de manger les ratés. Ok, c'est mauvais pour ta ligne mais tu t'en fiches un peu vu que tu prends pas un gramme. SITUATION CIVILE : en couple avec alwin daley. son danseur favori. ORIENTATION SEXUELLE : T’aimes les gens. T’aimes les âmes qui habitent les corps. Tu aimes le plaisir de la chair. Un homme, une femme, tout cela t’es égal. Tu veux juste pouvoir prendre du plaisir. Tu veux juste un partenaire qui sache te combler entièrement. T’es pansexuelle Cody, même si t’aimes pas mettre des mots sur les choses. FEAT : zendaya fucking coleman. souriante (1) ✤ franche (2) ✤ têtue (3) ✤ directe (4) ✤ tactile (5) ✤ active (6) ✤ gourmande (7) ✤ battante (8) ✤ sensible (9) ✤ bordélique (10) |
burn so bright 001. + T'es née à Anchorage et t'y as vécu jusque tes dix neuf ans. T'aimais bien, c'était calme, c'était beau. Ok, c'était pas terrible les hivers avec cette tonne de neige. T'as souvent été coincée chez toi à cause du mauvais temps. Mais, ça te faisait louper les cours, alors t'aimais bien dans ces cas là. Oui, t'as jamais été une grande amatrice de l'école. T'as jamais été mauvaise, mais t'étais pas non plus une tête. T'étais dans la moyenne tout simplement. Mais ce pays glaciale, tu l'as quitté il y a quelques années pour vivre à New York pour tes études. Au départ chez ta soeur, puis maintenant tu vis en colocation avec deux potes. Ils sont bien sympas même si des fois t'as quelques envies de meurtres parce que y a jamais rien à manger dans les placards. Trois goinfres sous le même toit, ça craint. 002. + Ta soeur, c'est ton âme soeur. C'est une évidence, tu ne peux pas avoir quelqu'un d'autre qu'elle qui te corresponde aussi bien. Vous êtes super différentes toutes les deux. Elle est calme, réfléchie, posée. Elle a une vie sérieuse, un petit-ami de longue date avec qui elle projette de se marier. Elle n'a jamais fait trop la fête. Toi, t'es son opposée. T'es tout sauf sérieuse, tu prends les choses comme elles viennent. Tu aimes rire, t'amuser et surtout ne rien prévoir. Tu vis au jour le jour. Tu prends les choses comme elles viennent. Au pire, peu importe le problème, il y a toujours une solution. Du coup, avec ta soeur, vous formez un tout. A ses côtés, tu arrives à te poser un peu et à ne pas agir sans réfléchir. De toute façon, elle est là en cas de besoin pour de mettre une claque derrière la tête - et elle adore ça. 003. + Tu n'as pas que ta soeur dans la vie. T'as aussi hérité d'une demi-soeur et d'un demi-frère au mariage de ta mère. Autant dire que tu n'as pas été contente que ton père soit remplacé - pourtant tu ne l'as pas connu vu qu'il est mort quand tu avais 18 mois. Avec ton caractère de cochon, tu n'as pas facilité les choses à cette nouvelle branche de ta famille. Tu leur a fait les pires crasses. En plus, les deux autres sont plus jeunes que toi alors c'était facile de les martyriser. Au final, en vieillissant, tu t'es quand même rendue compte qu'ils n'étaient pas si horribles que ça. 004. + La danse, ça a longtemps été toute ta vie. Tu vivais danse, tu dormais danse, tu mangeais danse. Tu faisais tout pour devenir ballerine professionnelle. Pourtant, au départ ce n'était pas gagné. Ta mère t'avait inscrite dès tes 4 ans à ce cours de danse pour canaliser ton énergie. Tu en as toujours eu beaucoup trop. Tu t'es faites souvent sortir de la salle parce que tu mettais le bazar ou que tu te battais avec les autres petites filles. Ta mère avait bien failli te désinscrire des cours. Mais, elle voyait que malgré toutes les bêtises que tu faisais quand tu étais sur place, tu étais chaque fois plus qu'impatiente de retourner à ce cours du mercredi après-midi. Puis, il y a eu les premiers ballets et là, c'était la révélation. Tu t'es calmée, t'as travaillé. Travaillé très dur, plus que tu ne l'avais jamais fait de ta vie. Tu voulais le premier rôle chaque fois. Tu pestais dès que quelqu'un d'autre l'avait à ta place. Mais, tu travaillais alors encore plus. Tu ne voulais pas que quelqu'un soit plus forte que toi. Tu voulais être la meilleure. T'es même presque parvenue à le devenir Cody. T'aurais dû devenir danseuse professionnelle. Tu étais prête. Mais, il y a eu cet accident de voiture et tous tes rêves de détruits. Il fallait repartir à zéro avec ce genou fichu qui ne te permettait plus de danser autant que tu le voulais. Mais t'es une battante Cody alors t'as su rebondir. T'as tout quitté, t'as quitté l'Alaska et tout ces lieux qui te faisaient penser chaque fois à ce que tu aurais pu avoir si tu n'avais pas pris la voiture ce soir là. T'as débarqué à New York et t'as commencé tes études de photographie. 005. + S'il y a bien une chose qui désespère tes colocataires, c'est ton amour pour les animaux. Depuis toute petite, tu ramènes tous les pauvres malheureux que tu trouves. C'est comme ça que vous vous êtes retrouvés avec six chiens chez ta mère. Tu n'y peux rien, c'est plus fort que toi. Tu craques devant leurs petits yeux malheureux. Même le chien le plus moche du monde, tu pourrais le trouver mignon. Malheureusement, l'appartement est petit alors tu ne peux pas trop combler toutes tes envies. Tu te contentes juste de ton chien et de ton chat. C'est tout ce que tes colocataires ont accepté. Pourtant, t'essayes bien un peu tous les jours de les amadouer pour en avoir un de plus. Non, ils restent fermes et ils ne cèdent pas à tes caprices - pour ton plus grand malheur. Tu compenses en travaillant dans un refuge. C'est comme ça que t'as trouvé ton chat. Il est pas dans les critères de beauté habituels avec son oeil en moins ton chat. Mais peu importe, pour toi c'est le plus beau au monde. 006. + Netflix et ne rien glander de tes journées ? C'est totalement ton truc. Tu serais bien capable de faire ça à longueur de temps si tu n'avais pas quelques obligations. Et oui ma fille, t'es pas née avec une cuillère en or dans la bouche alors t'es obligée de bouger tes fesses pour aller travailler de temps en temps. Mais bon, ça va c'est cool là où tu bosses. Le patron, il gueule beaucoup mais au fond c'est un gros nounours. Tu l'aimes bien ton patron et t'aurais pas voulu en avoir un autre. En plus, il t'as pas encore virée alors que t'es presque constamment en retard. C'est un sain cet homme non ? Puis, si t'étais virée, t'en connais qui ferait la tronche puisque tu ne ramènerais plus de pâtisseries. Et ouais, les invendus, c'est souvent toi qui les emportent. 007. + Tu sais pas conduire, t'es nulle c'est une évidence. Pourtant, t'as ton permis. Tu sais pas par quel miracle tu l'as eu mais tu l'as ce fichu bout de papier. Peut être que l'examinateur était en kiff sur toi et c'est pour ça qu'il te l'a donné ? T'en sais rien mais ça a toujours fait plaisir à ta mère que soit disant tu saches conduire. Tu conduisais avant quand t'étais toujours à Anchorage. Ouais pas l'choix, les transports en commun c'est pas trop ça là-bas. Ici, c'est cool, y a l'métro, y a tout ce qui faut pour que t'aies pas besoin de prendre une voiture. Puis, t'as aussi appris à faire du skate et ça c'est cool pour se déplacer au milieu des gens. 008. + T'es obsédée par l'eau, un vrai poisson. Si tu le pouvais, tu passerais ta vie dans une piscine. T'aimes nager, t'aimes te détendre dans un jacuzzi et faire tout ce genre de choses. Sauf que faut bien être honnête, t'as pas les moyens de faire installer un jacuzzi ou une piscine à l'appart alors tu te contentes de la baignoire. C'est bien aussi. 009. + T'aimes les jeux vidéos, tu passes beaucoup de temps dessus. Un peu trop même. T'as toutes les consoles dans ta chambre. Ouais, ta paye t'aimes bien la claquer là dedans. D'ailleurs, t'es toujours un peu trop dépensière et tu galères à payer le loyer. Mais c'est pas de ta faute si ce que tu vois dans les vitrines ça t'appelle. Et toi, t'es faible, alors tu craques et tu ressors avec les bras chargés de paquets. Si c'est un jeu, c'est encore pire. Là, impossible de te raisonner. Tes colocs, ils râlent toujours quand tu fais ça. Mais bon, c'est les premiers à venir squatter avec toi pour jouer alors qu'ils arrêtent de se plaindre que tu sois en retard pour le loyer. 010. + Tu te souviens de ton premier baiser et clairement, ça a été le plus nul de ta vie. Franchement, si tu pouvais remonter le temps, tu le laisserais pas ce Dylan essayer de fourrer sa langue dans ta bouche. Tu te souviens d'ailleurs que ça terminé par la rencontre de sa joue avec ta main. Ouais, t'as pas beaucoup apprécié qu'il essaye d'en avoir plus. Mais heureusement, tu n'es pas restée sur cette mauvaise impression. T'as même essayé avec des filles. Et franchement, t'en as rencontré qui embrassait très bien. T'as même fait plus aussi. Toi la virginité jusqu'au mariage, c'est pas ton truc. T'as perdu la tienne d'ailleurs drôlement tôt, à 14 ans. Tu te souviens que quand tu l'as dit à ta mère, cette fois c'est sa main qui a rencontré ta joue. l'avis de votre personnage sur le site de rencontre matchmaker.
Au début, tu t'es inscrite seulement suite à un pari perdu contre ta sœur. C'est qu'elle voulait à tout prix te caser celle-là. Malheureusement pour toi, t'as perdu votre deal et donc comme tu n'as qu'une parole tu t'es inscrite. Tu comptais bien l'arnaquer en ne parlant jamais avec personne parce que les sites de rencontres, c'est pas franchement ton truc à la base. Après tout, ce n'était pas triché puisqu'elle n'avait pas précisé que tu devais ensuite l'utiliser. Mais, c'est que ton aînée a été maligne sur ce coup-là et qu'elle t'a menacée de ne pas partir de chez toi tant que tu n'aurais pas dialogué avec quelqu'un. Tu t'y es pliée avec beaucoup de mauvaise foi. T'as commencé à papoter avec quelqu'un, c'était cool. Alors, tu t'es prise au jeu et tu continues toujours de dialoguer avec les gens. Mais, pas question pour toi d'être à la recherche de quelque chose comme le grand amour. Pour commencer, tu n'y crois pas. Puis, tu as juste envie de faire plein de rencontres, de t'amuser et surtout pas te poser dans une vie pépère. Alors, tu continues d'utiliser matchmaker pour papoter avec les gens. Tu t'y es fait des amis, t'as aussi rencontré des coups d'un soir. T'as rien besoin de plus et tu trouves que le site est plutôt utile pour ça. Puis traîner dessus en pyjama tout en regardant netflix tous les soirs, c'est devenu un peu une habitude maintenant.
alison + strangelove. âge + presque le quart de siècle disponiblité + tous les jours maintenant que j'ai mon nouvel ordi . fuseau horaire + utc +1, paris. personnage + inventé. où avez vous connu le forum + bazzart si je me souviens bien. qu'en pensez vous + je l'aime toujours autant votre mot de la fin + plein d'amour sur vous
Dernière édition par Cody Lexington le Dim 21 Jan - 20:11, édité 2 fois |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: (cody) i'm a motherfucking woman, baby, that's right. Dim 21 Jan - 19:47 | |
| hate is foolish. and love is always wise. « Merci de remplir ces fiches d’informations. Et surtout n’oubliez aucunes informations. » Tu roulais des yeux à la fin de cette phrase. Chaque fois s’était la même chose. Chaque fois qu’il y avait un nouveau prof, il fallait remplir cette foutu fiche à la con. T’avais juste envie de la déchirer et de leur balancer à la tronche. T’avais envie d’hurler dès que tu voyais cette partie de la fiche où l’on parlait des pères. Il y avait une partie que toi tu ne pouvais pas remplir. T’étais en colère, en colère que ton père soit mort. Tu ne l’avais jamais connu qu’à travers des photos. Tu le regrettais. Tu étais d’autant plus énervée que ta mère venait de se remarier. Ça faisait huit ans déjà qu’il était parti mais non ça te semblait beaucoup trop tôt. Surtout que ce crétin qu’elle venait d’épouser avait eu la merveilleuse idée que d’avoir des enfants. Une fille et garçon de cinq et deux ans. Tu les détestais déjà eux aussi, tu le détestais lui aussi. On avait beau te dire que c’était lui ton père maintenant, jamais de la vie. Jamais tu ne noterais son nom sur cette putain de fiche. Jamais tu ne dirais son métier à lui. Alors tu avais fini par t’inventer une vie. À faire comme s’il était toujours là. Tu avais fini par noter sur cette fiche que ton père était pêcheur - ce qui était vrai avant qu’il ne décède. D’ailleurs, c’était son métier qui l’avait tué. Une tempête en mer, il n’y avait pas survécu comme tout le reste de l’équipage. Ici t’es pas dans un film, t’allait pas avoir un orque ou autre baleine qui le sauverait. Non. Il s’était noyé, probablement mort de froid. Le bateau avait été porté disparu pendant une semaine avant que les corps ne soit finalement retrouvés. Le corps sans vie de ton père avait été ramené à ta mère. Tu l’avais longuement pleurer mais à moins de deux ans, tu n’avais pas eu conscience de ce qui se passait. Tu avais seulement réclamé ton père pendant plusieurs mois avant de finalement passer à autre chose. La mémoire d’un enfant était si cruel. Malgré son décès, il n’avait jamais disparu de vos vies à ta soeur et toi. Ta mère avait fait en sorte de vous en parler souvent. C’était comme si tu le connaissais. D’ailleurs, apparemment, tu lui ressemblais beaucoup. Enfin, c’est ce que ta mère dit toujours. Tu as le même caractère que lui, ce caractère de cochon qui t’attire toujours des ennuis. C’était pas si difficile de mentir et de faire comme s’il était toujours là. Tu t’inventais un passé avec lui. Tu le notais sur cette fiche mais tu en parlais aussi avec les autres. Ces autres qui te connaissaient si mal. Ces autres qui se fichaient bien des mensonges que tu pouvais raconter. Malgré tes mensonges, tu te sentais mieux. Tu avais l’impression de le connaitre à travers tout ça. Tu avais l’impression de développer un lien père-fille avec un fantôme. Ce petit manège a duré quelques mois avant que l’on ne te perce à jour. Ta mère, ton beau-père, toi, tout le monde convoqué dans le bureau du directeur parce que t’as maîtresse s’est rendue que tu ne parlais pas de ton beau-père quand tu parlais d’un père. Dispute avec maman, l’autre qui s’en mêle, toi qui t’emportes et tu finis chez le pédopsychiatre. Apparemment, t’as besoin de parler de tout ce qui se passe. Stupidités. Tu veux juste qu’on te laisse être en colère contre l’univers qui t’as pris ton paternel. Toutes ces tours, ces hauts bâtiments, Manhattan te donne le tournis. Le choc des cultures était bien là lorsque tu es arrivée ici pour la première fois. C’est digne de toutes les séries que t’as pu regarder. Ouais, quand tu te balades dans Manhattan, t’as l’impression de revoir Gossip Girl. Toi, t’es de l’autre côté du pont, Brooklyn. C’est déjà bien mieux. Y a quelques arbres, des immeubles moins hauts, tu te sens plus chez toi. T’aimes bien l’ambiance qui se dégage de ce quartier dans lequel tu vis. C’est cool. Ok, tes colocataires aident bien à ce que tu aimes bien vivre ici. « Putain, c’est lequel qui a mangé mes lucky charms ?! » Tu les vois tous les deux pouffer de rire. T’as compris, ils ont mangé tes céréales tous les deux. Ils t’énervent autant que tu les adores. Tu leur balance d’ailleurs ce torchon qui traine par là. « Y a intérêt à ce que je retrouve mes céréales dès demain matin ! » T’essayes d’être sérieuse mais clairement, quand tu vois leurs têtes d’abrutis, tu ne peux t’empêcher de rire. Et ouais, c’est comme ça, tu te fâches rarement. Toute façon, t’es pas crédible quand tu le fais. T’aimes pas prendre les choses au sérieux. Tu sais bien que tu ne retrouveras pas tes céréales demain et que tu vas devoir te contenter d’autre chose comme tu le fais actuellement. D’ailleurs, t’as commencé à préparer des pancakes pour tout le monde. Enfin, t’as mis la poudre toute prête et t’as juste rajouter un oeuf et de l’huile. Faut pas trop t’en demander non plus. Tu mets tout ça à cuire alors que tu repenses à ton arrivée ici. Probablement que s’il n’y avait pas eu cet accident de voiture et cette déchirure des ligaments tu ne serais pas ici. C’est même une évidence. Tu serais devenue ballerine, t’aurais peut être dansé à l’Opéra de Paris. Après tout, c’était ton rêve. Tu avais toujours rêver de devenir professionnelle. Tu aurais du l’être. Mais, tu étais sortie faire la fête. Ton pote avait trop bu, il y avait eu ce camion arrivant en face. Un écart, plusieurs tonneaux dans le ravin et vous finissiez tous à l’hôpital. Il n’y avait pas eu de blessés graves. Il y avait eu des os cassés, des ligaments déchirés et ta carrière de danseuse foutue. Tu devais faire attention maintenant. Tu ne devais pas forcer sur ton genou - chose que tu ne respectait presque jamais. T’avais longtemps broyé du noir, ne sachant pas quoi faire de ta vie. Après tout, si tu ne pouvais plus danser, à quoi ça servait de se motiver à quelque chose ? T’aurais bien trouvé un job de caissière ou de femme de ménage et t’aurais fini ta vie comme ça. Sauf que ta soeur, elle avait pointé son nez six mois plus tard pour t’obliger à te bouger le cul; Ta mère avait essayé mais elle n’avait jamais eu les mots. Ta soeur, elle, elle ne t’avait pas laissé le choix. Elle t’avait inscrite dans une université New Yorkaise. Elle t’avait obligée à venir vivre à New York avec elle pour que tu fasses tes études de photo.T’avais vécu chez elle un an avant de finalement trouver un job en plus de tes études. Tu prouvais prendre ton indépendance et tu avais débarqué dans cet appart de Brooklyn. T’étais tombé sur les deux personnes qui allaient devenir comme des gens de ta famille. Tu terminais ta cuisine, une vingtaine de pancakes avec vous trois, ça allait être limite vu comme vous étiez toujours affamés. Mais, tu trouverais bien autre chose dans les placards dans les heures à venir. Puis, il y avait toujours la boulangerie pour que tu grignotes. Tu jetais un oeil à l’heure, tu allais encore être en retard aujourd’hui. Mais, pas question de louper le petit-déjeuner ! |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: (cody) i'm a motherfucking woman, baby, that's right. Dim 21 Jan - 19:54 | |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: (cody) i'm a motherfucking woman, baby, that's right. Dim 21 Jan - 21:46 | |
| La plus belle de NY |
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| Sujet: Re: (cody) i'm a motherfucking woman, baby, that's right. | |
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| | | | (cody) i'm a motherfucking woman, baby, that's right. | |
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