Citation :

amber heard, 2
candice accola, 4
eliza taylor, 51
gemma arterton, 4
rose leslie, 18
tatiana maslany, 21

compléter un nombre jusqu'à la dizaine supérieure, ajouter 1, 5 ou 10 à un nombre de 2 ou 3 chiffres

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653

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C’était une belle histoire, c’était une douce histoire. C’était pur et digne d’un conte de fée. Digne de ces histoires que Walt Disney aurait pu reprendre pour en faire un dessin animé. Tu aurais été la princesse, cette princesse qui passait son temps à danser sans rien attendre du monde autour. Cette princesse qui vivait dans son monde, celle qui se mettait des barrières seule. Toi, tu n’étais pas Raiponce, on ne t’avait pas enfermée dans une tour, tu t’y étais enfermée toute seule. Tu avais mis des chaines tout autour de ton coeur, tu avais tenu à te protéger du monde extérieur. Parce que ça faisait mal de se livrer, ça faisait mal d’espérer à trop de choses. Tu avais du mieux pour te protéger. Mais, Alwin était venu mettre le bazar dans tout ça. Au final, il était le prince qui venait te sauver de ton royaume de verre. Il était venu raviver la flamme de ton coeur. Il avait illuminé tes journées, il avait rendu le monde plus beau. T’étais surprise à t’émerveiller d’un rien dans la rue. Des fleurs, un caillou, tout prenait un sens nouveau depuis qu’il était entré dans ton coeur. Il avait réchauffé cet organe vital qui était gelé depuis bien trop longtemps. Tu te découvrais un optimisme nouveau. Un optimisme que tu avais perdu dans cette voiture. Quatre ans que tu n’avais plus vu les choses si joyeusement. Tu avais appris à vivre avec ce qui s’était passé sans pour autant l’oublier. Tu avais continué à ruminer toutes ces pensées quand tu étais seule. Tu en voulais toujours autant au monde entier pour cet accident. Mais, ton cerveau n’avait plus la place de penser à ça à présent puisqu’il y avait Alwin. Il était partout. Il était dans ta tête, il était dans ton coeur, sur ton corps. La moindre parcelle de peau qui te composait se souvenait de la sensation de son corps contre le tien après votre première danse. Les sensations étaient encore plus accentuées après la nuit que vous aviez passé. C’était le genre de moment que l’on ne pouvait pas oublier. C’était ce genre de choses qui restaient gravées à jamais. Ca avait été la démonstration de votre amour, la conclusion de ce trop plein d’amour. Un amour débordant que vous n’aviez pas pu retenir. C’était aimer sans retenue, aimer sans condition. C’était l’amour, le vrai. Celui avec un grand A. Celui que l’on ne connaissait qu’une seule fois dans sa vie. De toute façon, tu n’avais pas de place dans ton coeur pour aimer si intensément une autre personne. Parce que c’était lui, ça ne resterait que lui pour toujours. Même loin l’un de l’autre, ça serait Alwin. A travers les âges, ton danseur resterait le seul maitre de ton coeur. C’était comme ça que ça se passait dans un Disney. La princesse continuait d’aimer son prince peu importe les épreuves. Parce que le prince était là pour la sauver de toutes les situations compliquées. En quelque sorte, c’était ce qu’Alwin avait fait. Il t’avait sauvé de ta solitude. Il avait dégelé ton coeur de glace et tu pouvais revivre. C’était une renaissance que de l’aimer, c’était voir le monde avec un regard nouveau. Tu te sentais merveilleusement bien avec ces papillons qui virevoltaient dans le creux de ton ventre. C’était une sensation nouvelle. C’était l’aventure de ta vie, tu en étais convaincue. C’était l’aventure que l’on pourrait écrire si on venait à faire un Disney sur vous deux. Alors non, tu n’étais pas la princesse typique avec sa longue robe bouffante et sa perfection. Tu restais avec ton caractère loin d’être idéal et ton combo favori de jeans/baskets. Alwin était lui aussi loin de l’image parfaite que l’on voyait dans les dessins animés. Il avait sa propre histoire, il n’était pas cette façade lisse comme on pouvait le voir pour un prince Disney. Il était tout aussi abîmé que ce que tu pouvais l’être. Mais au final, c’était peut être pour ça que vous vous étiez trouvés. Vous vous répariez l’un l’autre pour créer ce conte de fée moderne. Une nouvelle histoire qui n’appartenait qu’à vous. Une histoire atypique si représentative de ce qu’était votre couple.

Ce n’était pas cette journée passée à Coney Island qui changerait le cours de l’histoire. Vous n’aviez fait que des choses que le commun des mortels n’aurait pas fait. Parce que des adultes de votre âge n’étaient pas censés s’amuser sur des stands pour enfants. Ils n’étaient pas censés s’émerveiller pour une peluche gagnée alors que celle-ci n’avait en réalité pas une grande valeur. Parce qu’en général, tout ça était réservé aux adolescents. Finalement, vous n’aviez peut être pas encore vraiment grandi. La maturité n’avait pas fait partie de vous à ce moment là. Et ce n’était pas quelque chose qui avait manqué. Vous n’aviez fait que vous amuser, profiter l’un de l’autre. Vous aviez gravé des souvenirs dans vos têtes et vos coeurs. C’était des moments que vous n’étiez pas prêts d’oublier. C’était des souvenirs qui feraient passer plus rapidement cette longue semaine loin l’un de l’autre. Ces scènes, tu t’empresserais de les revivre dès ce soir quand tu serais au fond de ton lit. Tu penserais à cette façon que vous auriez de danser au milieu de la foule qui devait vous prendre pour fous. Cette foule qui ne pouvait pas comprendre ce qui se passait entre vous. Parce qu’il n’y avait pas de mots pour décrire ce qui se passait. Parce que les mots étaient faibles, parce que cette histoire d’amour était trop forte. Danser au milieu de la foule n’était pas la seule chose étrange que vous étiez capables de faire. Vous parliez aussi de super héros, de leurs vêtements plus précisément. Et, il semblait même à vous entendre qu’il s’agissait de la chose la plus normale au monde. Tout comme il était normal de se retrouver sur la plage, les pieds dans l’eau. Si tout avait commencé en étant digne d’une comédie romantique, la suite ne se déroulait pas de la même manière. C’était plus fort que vous. Il fallait que vous perdiez votre sérieux, que vous veniez gâcher le tourbillon de romantisme dans lequel vous étiez. C’était une bataille d’eau qui venait de démarrer sous tes rires. Ton danseur se prenait au jeu et vous vous lanciez de l’eau l’un sur l’autre tout en se fichant d’être mouillé. Peut être que vous auriez froids après ça parce qu’aucuns vêtements secs ne vous attendaient sur le sable. Mais, ça n’avait aucune importance. Ca en avait encore moins alors qu’après un baiser Alwin vous jetait à l’eau. Cette fois, c’était une évidence que plus aucune partie de vous ne pouvait être sec. Tu souriais alors qu’il venait te porter contre lui à la suite de ça. Tu dégageais des mèches mouillées de ton visage tout en continuant de sourire. Ce sourire niais d’une fille éperdument amoureuse.  « J’crois que dans une comédie romantique si y avait un moment pareil, la fille aurait hurlé d’être mouillée et elle aurait fait la tête à son copain. En plus tu te rends compte le brushing parfait de la fille aurait été ruiné. » Tu prenais une tête choquée comme s’il s’agissait de la chose la plus horrible au monde. Ce n’était pas à toi que ça arriverait ce genre de choses. Tu étais loin de connaitre ce qu’était un brushing parfait.  « Mais ça va, mes cheveux sont un vrai bordel au naturel alors l’eau ni changera rien. On est sauvés. » Tu riais alors que les lèvres de ton petit-ami baiser avec tendresse ta joue. Tes bras étaient autour de son cou, tu n’étais pas prête à le lâcher. Ni maintenant, ni jamais.  « C’est vrai que c’est une excellente excuse. On ne peut définitivement pas rentrer tant qu’on est encore mouillés. C’est bête, le soleil s’en va donc on risque de rester mouiller longtemps… C’était être idéaliste que de penser pouvoir faire durer ce moment à l’infini. Et pourtant, tu voulais être rêveuse et naïve de penser ça possible. Mais, ça faisait partie de la magie de l’amour. Penser que tout était possible, penser que rien ne se terminerait jamais.  « Je pense aussi qu’il va falloir que l’on se réchauffe l’un l’autre puisqu’avec la nuit qui tombe, on risque de prendre froid… » C’était une excuse supplémentaire pour ne pas se séparer. Des excuses, vous pouviez en trouver mille. Parce que ce moment ne devait pas se terminer. Parce que ça signifierait passer plusieurs jours loin de l’un de l’autre. C’était vivre sans respirer pendant plusieurs jours, vivre sans sentir complet. Il était devenu une part entière de toi. Alwin était une partie de ton coeur Cody, il était cet air qui remplissait tes poumons d’un bonheur inconnu jusque là. Il était devenu ton essentiel.

En lui parlant le plus sincèrement du monde, même si t’as bien conscience qu’il doit penser le contraire, tu te rends compte que ça fait un moment que tu sais qu’il n’est pas aussi dur qu’il cherche à le paraitre. A faire partie en quelque sorte de son quotidien depuis deux ans, tu as pu t’en apercevoir. Jamais de façon aussi flagrante que ce soir évidemment, mais c’était là, sous tes yeux. T’as rien vu, ou rien voulu voir, parce qu’il t’agaçait à agir comme le dernier des crétins. Que ce soit en étant indifférent à son fils, ou à chercher à tout va à te mettre dans son lit. Mais maintenant, ça te parait évident. Tu omets d’en faire la remarque dans ton explication, ça ne servirait probablement pas à grand-chose, sinon le refaire sortir de ses gonds une nouvelle fois, alors qu’il semble s’être calmé. Tu secoues la tête, t’es pas d’accord avec lui. « Je pense que tu te trompes Lucky. Il y a forcément des gens autour de toi que cela importe. » T’évite de lui dire que tu fais partie sans doute de ces gens, parce qu’il n’est visiblement pas enclin à te croire sur ce point. Tu le vois à son regard sur toi qu’il pense que tu ne fais que le prendre en pitié. Oui, ça t’a fait étrange de le voir dans cet état vulnérable, mais non, t’as pas pitié. Juste une marque d’affection. Il a beau se montrer rentre dedans, parfois odieux, souvent autoritaire, à force de le voir, tu t’es un peu attachée à lui comme tu t’es attachée à son fils. Après tout, l’un comme l’autre font désormais parti de ton quotidien à toi aussi.

Tu soupires en l’entendant reprendre la parole. Ça t’exaspère qu’il s’obstine à essayer de se montrer si sûr de lui, quand clairement ce n’est pas toujours le cas. Surtout que maintenant tu sais que ce n’est qu’une façade et qu’il sait que tu le sais. Tu ne dis rien, tu te retiens avec toute la volonté dont t’es capable de faire preuve. T’as envie de lui crier qu’il doit arrêter de faire ça, mais tu lui parlerais sans doute trop sèchement, plus que tu ne le souhaiterais et tu ne veux pas prendre le risque de réveiller encore Jason. T’es perdue dans ton combat intérieur pour te taire quand la voix de Lucky te ramène à l’instant présent. « Oh euh oui merci. » Tu te lèves du canapé dans l’idée de l’aider, parce que tu n’es pas du genre à attendre qu’on te fasse tout, t’aimes pas ça. Et seulement là, finalement t’oses lui répondre à sa précédente phrase, maintenant que t’es plus dans l’impulsivité du moment. « Pour répondre à ta question, même si j’imagine qu’elle était plus rhétorique qu’autre chose. Tu serais simplement Lucky si tu le faisais et personne ne pourrait te blâmer pour ça. Ce n’est pas parce qu’on a une vie qui donnerait à être par beaucoup, qu’on n’a pas le droit d’avoir d’états d’âme parfois. » Tu as bien fait d’attendre un peu pour répondre, au moins là ça sort calmement et d’une manière qui ne dépasserait pas tes pensées ou qui pourrait être mal interprété. Tu t’étonnes presque toi-même d’avoir réussi à contrôler ton impulsivité. « M’enfin si ça te plait de ne montrer que cette image de toi, c’est ton choix. » Oui c’est son choix, tu ne peux pas l’obliger à changer, t’as pas forcément envie non plus d’essayer de le changer. Toi t’aimerais juste bien qu’il fasse au moins tomber ce foutu masque pour son fils, après pour les autres, tu t’en fiches un peu. Puis maintenant, toi, tu sais. Tu sais qu’il n’est pas aussi « connard » qu’il aime le faire croire.

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bob morley, 64
chris pratt, 15
matt smith, 16
pedro pascal, 7

2008 + Napoleon doute de la sexualité de son meilleur ami Alwin mais garde cette hypothèse pour lui.

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