001. + Elle a horreur de son prénom, elle le trouve ridicule, et pense qu'il ne lui va pas du tout. C'est sa mère, Lilian, qui l'a choisi. Du coup, elle préfère qu'on l'appelle par son nom de famille, qui par chance, passe plutôt bien en tant que prénom. 002. + Elle sait parfaitement qu'elle représente tout de même une petite déception aux yeux de sa mère. Elle qui voulait la perfection, Sloane n'était apparemment pas décidée à la lui donner. Elle a été une vraie peste pendant l'adolescence, si ce n'est pas toujours le cas, et l'assume. Elle s'est calmée lorsqu'elle avait seize ans, quand sa mère a ramenée sa sœur malade dont elle s'est quasiment aussitôt sentie très proche. Depuis, elle fait tout pour l'aider comme elle le peut. Quand à leur mère, elle ne lui adresse plus la parole depuis qu'elle a osée dire qu'elle n'attendait qu'une chose, Ludmilla crève. Ça, Sloane ne l'a pas apprécié du tout, et lui a dit sa façon de penser, avant de couper les ponts. 003. + Depuis ses douze ans elle sait qu'elle préfère les femmes. Quand elle a réalisé que dans ce film, elle regardait plus Scarlett Jonhson que le mec dont elle déjà oublié le nom.  Elle a prit le temps de tester, mais s'est très vite rendue à l'évidence, cela n'a jamais été un problème pour elle. Cela le fût pour sa famille de républicains, en revanche, lorsqu'elle le clama haut et fort. Mais au fond, cela ne l'a jamais atteint, ils pouvaient penser ce qu'ils voulaient, elle s'en fichait bien. 004. + Elle n'est pas très sportive. Elle aime bouger, mais n'a jamais trouvé attirant le moindre sport, autre que danser dans sa chambre avec son pot de crème glacée dans les bras. Bien qu'elle soit petite et assez fine, elle passe son temps à manger, et puisqu'elle ne prend pas tellement de poids, elle ne se prive pas. Ce n'est pas pour autant qu'elle sous-estime son physique, et elle aime prendre soin d'elle. Très féminine, elle n'a pas peur d'aguicher et de faire tout son possible pour attirer les regards. 005. + Elle n'aime pas le ménage. Tout simplement parce qu'elle n'arrive pas à ranger sans musique, et que lorsqu'elle met de la musique, elle s'amuse plus à faire un strip-tease au balai qu'à enlever la poussière. Donc au final, elle se contente de laisser traîner, cela ne la gêne pas plus que cela. Ou alors, elle pousse tout sous le lit et voilà, c'est rangé. 006. + Elle ne compte plus les fois où elle a finit au poste de police. Faut dire, qu'elle ne tente pas tellement d'y échapper. Elle se défend quand on l'attaque, bien qu'elle soit souvent la première à attaquer. Elle est franche, et en plus, sarcastique, c'est un duo qui plait rarement. Combien de fois a-t-elle finie par se battre dans un bar ou en sortant de boite ? Sloane n'hésite jamais à dire ce que les autres taisent. Elle n'a pas de filtre, et se fou bien de la politesse dans ces moments là. Les seules fois où elle ment, c'est lorsqu'elle y trouve un intérêt. Souvent, elle ment sur son âge, par exemple. 007. + La jeune femme a un chat blanc, nommé Rafiki en hommage au Roi Lion, son dessin-animé préféré. Il n'est pas sociable pour un sou, mais s'entend plutôt bien avec le chien de sa grande-sœur. Curieusement, il devient toujours beaucoup plus affectueux lorsque Sloane secoue la boite de gateaux ... 008. + Vous voyez ces gens qui ne tiennent pas plus de dix minutes dans le silence, dans l'inactivité ? Elle en fait partie. C'est depuis toujours quelqu'un de très active, qui aime bouger, qui aime faire quelque chose. 009. + Elle la mauvaise tendance de pleurer devant les films, séries, et parfois même dessins-animés. Considérant cela comme une faiblesse, elle évite de regarder des films lorsqu'elle n'est pas avec l'un de ses amis les plus proches. 010. + Opposée totale à la routine, elle adore le changement. Pour tout et n'importe quoi. Ses cheveux, ses habits, la décoration de sa chambre, le placement des meubles, ... Même dans ses relations, elle aime l'original, et prône l'originalité, le fait d'être soi-même sans donner d'importance aux pensées des autres. Elle, par exemple, n'a aucun complexe, et s'assume totalement. Si elle veut danser dans la rue avec ses écouteurs, elle le fait. Si elle veut se promener en tee-shirt et en culotte, elle le fait. Et si ça gêne, qu'il viennent le lui dire en face, et ils réglerons cela ensemble.

âge + Quinze ans. Me jugez pas, je suis petite mais les fanfictions et les séries m'ont pris mon innocence depuis longtemps.  disponibilité + Durant les vacances mon programme est un peu hasardeux, mais je tente de passer tous les jours et de Rp autant que je le peux. En période scolaire je suis plus régulière et je passe tous les jours et je rp le mercredi et le weekend.  fuseau horaire + Parisien. personnage + Scénario de Ludmilla Ivanovich. où avez vous connu le forum + Top Site, me demandez pas lequel je sais même plus. qu'en pensez vous + Je le trouve vraiment magnifique et très bien partit, tout ets très bien organisé. J'ai beaucoup de mal à m'intégrer en temps normal sur les forums du coup j'espère que cela va aller.   Et pour l'instant je n'ai pas de questions mais ça va surement venir après ... votre mot de la fin + J'ai du mal avec la chronologie en général, du coup si vous voyez une erreur ou un truc qui colle pas, n'hésitez pas, et désolée j'ai un problème avec tout ce qui est en rapport avec les chiffres depuis toujours. J'ai un petit fétiche (ouai j'suis carrément maniaque en fait ) au niveau de l’esthétique de mes posts à chaque fois. Du coup vous étonnez pas si je met souvent des gifs, des smileys, ou des images.

Ses premières années de vies ? Elles ne furent pas très passionnantes. Elle vivait, riait. A l'époque, elle n'était qu'une gamine consciente de peu de choses, qui pleurait pour voir un Disney et s'amusait d'entendre un gros-mot s'échapper de la bouche de sa mère. Mais les années sont passées et l'innocence et l'insouciance ne sont pas restées si longtemps. Vint l'âge où elle commença à apprendre, à comprendre, les choses qu'autrefois elle se contentait d'ignorer. En entrant au collège, les choses ont vraiment commencer à changer. Elle a commencé à se forger son propre caractère. Son propre groupe d'amis. Mais probablement était-elle toujours trop innocente à cette époque. Mais ça, elle ne le comprit que des années plus tard. Alors qu'elle avait douze ans, elle avait regardé un film. C'était ce qui lui avait fait comprendre son penchant pour les femmes. Par la suite, elle s'est informée, à jouer la curieuse sur internet. Lorsqu'elle a comprit que définitivement, les hommes ne l'attiraient pas plus que cela, elle ne s'en ai jamais cachée. A l'époque, elle était tombée amoureuse d'une des filles de sa classe. La seule personne à être au courant, c'était son meilleur ami. Elle lui accordait toute sa confiance. Sloane, car oui à ce moment, elle avait déjà décidé que Mercy n'était pas un prénom qu'elle appréciait, comptait beaucoup d'amis de confiance, et était de loin moins réservée sur elle-même qu'elle ne l'est maintenant. A l'époque, elle racontait tout de sa vie à tous le monde. Mais son crush, elle n'en avait parlée qu'à son meilleur ami. Et ce dernier s'était empressé de le raconter à toute la classe. Bientôt, elle était la seule à ignorer que tous le monde était au courant. La jeune fille, celle qu'elle aimait, était venue la voir un jour pour lui proposer d'aller à la plage, un mercredi, toutes les deux. Sloane était tellement heureuse qu'elle avait accepté sans même y réfléchir. Et une fois les pieds dans l'eau, sur le sable, elle s'est rendue compte bien trop tard de la mauvaise blague qu'on lui faisait. Elle ne le comprit qu'en voyant la jeune fille rire, avec les autres, alors qu'on lui balançait du sable dans les yeux. Après cela, elle a changé. Elle a beaucoup changé. Pour commencer, elle s'est vengée, comme il faut, et avait d'ailleurs finie dans le bureau du principal avec un renvoi temporaire de trois jours. Et puis, son caractère a évolué. C'est à ce moment là que l'adolescence a débuté. Elle est devenue plus têtue, plus indifférente, plus impétueuse. Les élèves de sa classe ne l'embêtaient plus, ils savaient à quoi s'attendre avec elle. Elle avait un tout petit groupe d'amis, mais de bons amis, et cela lui allait bien. A l'époque, elle traînait plus avec les garçons, et les filles comme elle, préférant les filles. Principalement parce que les autres filles étaient suffisamment stupides pour penser qu'elle aimerait et serait attirer par chacune d'entres-elles juste parce qu'elles sont des filles. Les garçons, en majorité, s'en foutaient. Elle eut beaucoup de changement, à ce moment. Elle perdit sa virginité à l'âge de quinze ans. C'était jeune, et si elle pouvait revenir en arrière, elle le ferait, parce qu'après réflexion, ce n'était vraiment pas un bon coup. Il s'agissait d'une fille plus grande de trois ans, qu'elle avait rencontrée dans une soirée. Oui, elle connut pas mal de changements. Ce fût également l'époque où elle commença à décevoir un peu sa mère.


       

Le 03 Septembre 2013. C'est une date importante pour Mercy, une date qu'elle n'oubliera jamais. Elle avait seize ans. Seize ans lorsqu'elle a découvert que sa mère lui avait toujours caché l'existence d'une sœur. Elle s'était demandée pourquoi le lui avoir caché. Mais finalement, Sloane lui en voulait, déjà. Elle lui en voulait de ne pas la défendre, lorsqu'elle parlait de son homosexualité. Elle lui en voulait de ne pas la défendre, lorsqu'elle se retrouvait dans des mauvaises situations. Et à ce moment, elle pouvait ajouter qu'elle lui en voulait de ne pas lui avoir dit la vérité, de lui avoir toujours cachée l'existence d'une autre enfant. Le courant est aussitôt passé entre les deux jeunes femmes. Mercy l'adorait, elle était gentille. Peut-être un peu trop à ne rien faire à son goût. Mais elles s'entendaient bien. Elle savait pour la maladie de Ludmilla. Une insuffisance cardiaque ... Mais cela n'empêchait pas leur bonne entente. Les deux filles étaient souvent toutes les deux au lycée, et même si elle ne le disait pas évidemment, Sloane surveillait toujours. Après tout, c'était normal entre sœurs. Un jour, elle avait entendu un mec parler mal, très mal, de Ludmilla, et même si elle n'en avait pas parlé à la concernée à l'époque, elle n'avait pas manqué de mettre son poing dans le visage de ce gars, à la sortie du lycée. Et puis, les deux sœurs ont finies par prendre un appartement ensemble. A partir de là, la pauvre Ludmilla a du supporter les allers-retours des conquêtes de Sloane. Il faut dire qu'elle ne se gênait pas pour les inviter, passer du bon temps, et les renvoyer le matin même, voir parfois juste après l'acte. Elle continuait, comme elle le faisait avant. Parfois, elle rentrait à l'appartement après avoir rencontré le bitume et les poings. Elle tentait de cacher son nez en sang ou son arcade abîmée mais avec le temps, il fallait croire que sa sœur s'y était habituée. Alors elle s'asseyait et la laisser s'occuper de nettoyer ça pendant qu'elle racontait comment et pourquoi elle s'était battue une fois de plus. Et puis elles regardaient un film, se moquaient parfois du ridicule de certaines scènes, Sloane faisait l'imbécile à reproduire grossièrement les dialogues, et au final la mauvaise soirée se changeait en bon moment de rigolade. Alors oui, elle l'a mal prit. Elle l'a très mal prit le jour où Lilian, sa mère, a dit ce qu'elle a dit.


       

« Tu sais, je n'attend qu'une chose au fond, c'est qu'elle y passe vite. Ce serait moins dur pour elle. » Oh oui bien sûr. Il était tellement plus simple de feindre une pseudo-compassion pour cacher la méchanceté. Elle l'avait toujours fait. Quand elle engueulait Sloane pour ses préférences, pour ses problèmes, pour toutes les conneries qu'elle faisait. Et là, elle recommençait avec Ludmilla. C'était une chose que Sloane n'a tout simplement pas accepté, pas cette fois. Qu'elle se fasse critiquer, pourquoi pas, c'était sa mère et même si sa rancune la poussait à lui en vouloir elle ne disait trop rien. Mais qu'on s'attaque à sa grande-sœur, non. Elle s'était énervée ce jour là. Parce que ce qu'elle avait dit était tellement inhumain, qu'elle ne pouvait plus jeter l'éponge. Elles s'étaient insultées, menacées même. Avant que finalement, la jeune femme ne finisse par sortir en claquant violemment la porte. Elle n'a plus jamais adressé la parole à sa mère, par la suite. Elle s'est contentée de rentrer et de continuer comme si de rien n'était. Sloane qui faisait les mêmes études que sa sœur, Musicologie, se sentait un peu inutile, malgré tout. Et puis, son meilleur ami est venu la voir pour lui proposer de bosser dans son nouveau bar. Un bar gay nommé « the liberty » qu'il venait d'ouvrir. Elle bosse officiellement comme Co-Gérante et Barmaid, même si en vérité son statut lui permet plus de donner des idées et laisser son meilleur se charger de l'administratif, et son statut de barmaid lui permet plutôt de boire un verre au bar avec les clients. Mais elle est payé et c'est ce qui importe, car entre les cours, l'appart, et ses instruments, son violon et son piano, dont elle joue depuis l'enfance, et qui nécessitent tout de même un minimum de soins, elle avait bien besoin d'argent. Qui plus est, elle souhaitait également pouvoir aider sa sœur, d'une façon ou d'une autre et savait qu'il fallait de l'argent pour cela. Il y a très peu de temps, la maladie de Ludmi a refait des siennes, et sa sœur s'est de nouveau retrouvée entre la vie et la mort. Même si elle fait la forte et fait tout ce qu'elle peut pour trouver à sa sœur le courage d'affronter toutes ces choses, le courage de vivre, au fond Sloane est très inquiète. Elle craint ce que le docteur a annoncé, elle craint de voir sa sœur, la personne la plus importante dans sa vie, mourir. C'est ainsi que la rouquine a finit par bosser pour Novak Darville, un gars avec une plutôt mauvaise réputation en qui elle n'a pas du tout confiance. Oui parce qu'évidemment, le traitement pour soigner la maladie existait, mais était hors de prix. Et il fallait bien trouver une solution. Maintenant, elle en est là. Elle se méfie du nouveau job de Ludmilla et n'hésitera pas à sortir les crocs quitte à retourner une fois de plus au poste de police, si cette raclure fais du mal à sa sœur. Mais ce n'est pas ça qui l'empêche de vivre sa vie, de faire chier leur voisine en mettant la musique à fond, de ramener des filles dans son lit, et de s'amuser comme si le jour à venir était le dernier.