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| la gueule dans les graviers | |
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Invité « Invité » | Sujet: la gueule dans les graviers Lun 31 Juil - 21:04 | |
| akim fowler nom : Fowler prénom : Akim âge : Vingt ans date et lieu de naissance : Quinze Septembre 1997, dans le Bronx emploi :Étudiant, en histoire ancienne situation civile : En recherche d'un corps, puisqu'on ne peut avoir les cœurs. orientation sexuelle : Homosexuel, curieux groupe : Tinderly yours. avatar : Yuri Pleskun. crédits : HYLÊKTOS | | 001. + il est beau le temps de l'enfance, révolu ton bon temps dans l'innocence. il est loin ce moment tranquille et serein, la gueule dans les problèmes, mais la vie de ton côté. quitter l'enfance et débuter l'errance, il est rendu loin l'moment d'entendre tard le soir, les pas trainants d'une catin que t'appelais encore maman. 002. + à la mauvais gueule de l'emploi y'a la vie qui se glisse. t'as pas la gueule du gentil garnement t'as celle de celui qui ment. voleur, dealeur, crevard. l’œil au beurre noir d'une galère que t'as pas su éviter. tu cours toujours pour fuir les erreurs et pourtant tu plonges toujours dedans. t'aimerais juste tout mettre sur pause, prendre un inspiration, sortir la tête hors de l'eau. sortir tout court, faut pas croire c'qu'on dit, faut pas croire tout c'qu'on voit. 003. + c'est un toc que t'aimerais oublier, le matin t'en aller et ps penser à vérifier que dans l'fond de ta poche y'a bien ton paquet et ton briquet. c'est devenu invasif, ce besoin de tabac, le matin, le soir, avant de dormir, après le sexe, avant le sexe, avant le petit déj, après une rupture en grande quantité. le tabac c'est ta drogue par accoutumer. le reste tu n'aimes pas trop y toucher, par moment mais rien de bien habituel. tu préfères boire et consommer un cachet quand t'es survolté, juste pour le rire, juste pour le sourire... mais ne pas y être coutumier. le tabac, le plus gros vice. 004. + le Bronx est bien loin, le Bronx est passé. tu as beau te le dire et te le répéter, tu préfères juste ta petite chambre d'étudiant tout juste boursier. un job de temps en temps, histoire de pas trop en crever, et tu y restes, dans tes 10m² adorés. sentiment de liberté, sentiment de sécurité, tu l'apprécies... enfin ça le serait encore plus si tu pouvais juste changer le voisin de palier. pour ta tranquillité d'esprit, pour ton calme intellectuel, pour aussi un brin de survie. 005. + tu t'es tatoué. t'as laissé finalement l'encre couler, piquer, s'encrer en toi profondément. pour des broutilles, pour des mots dessiné à l'arraché, comme si tu les avais volé. des choses que personnes comprendra. un mot sur chaque bras, quelques lettres et puis s'en va. tu trouves ça beau, tu trouves ça simple, ces traits noirs qui apparaissent sur ton corps sans ordre logique. c'est juste que c'est comme ça, parfois. tu as eut besoin de le marquer sur ton corps, rien de très grave, mais juste de le marquer ce corps étranger. l’apprivoiser. te le privatiser. 006. + t'es pédé. c'est dur de le cracher, c'est dégoulinant de provocation mais c'est la stricte vérité. t'es pas un gay refoulé, t'es pas un d'ceux qui sont fier de l'affirmer. t'es juste attiré par les gars, t'es comme ça. les courbes féminines te fascinent, mais t'arrives pas à passer le cap. avec un gars c'est automatique, c'est direct, c'est... bordel ça devient très très "biblique". tu sais pas si tu voudrais le crier sur les toits, où juste le hurler entre tes draps. t'es juste comme ça, pas de ceux qui s'affichent devant tout le monde. tu contrôles rien, t'es de ceux qui agissent sous impulsions, un baiser volé avant de filer. t'es pas de ceux qui ont besoin de l'affirmer en allant le hurler. t'es pédé, c'est ta vie, ton intimité. 007. + t'es de ceux qui veulent pas s'attacher mais qui font pas autrement. de ceux qui se retrouvent toujours la gueule piétinée. peut-être parce qu'on fait pas attention, peut-être parce qu'on se dit qu'avec ta gueule t'es un dur. t'encaisseras. tu frapperas. mais t'es pas comme ça. t'encaisses avec difficulté, t'encaisses sans oublier. t'es de ceux qui oublient que parfois l'humanité semble s'oublier. 008. + t'es foutrement pas con. t'es foutrement brillant quand tu passes un nuit entière sur un devoir à rendre avec du retard. t'es plutôt doué dans ce que tu fais, quand tu t'y mets... tu le sais. et tu as plus le choix, tu peux pas reculer. tu compteras pas sur l'argent de papa et maman pour rattraper ton année. toi une année de foirer, c'est des problèmes et des papiers à renvoyer par millier pour conserver tes bourses durement gagnées. tu peux pas t'permettre de foirer. le Bronx, le deal, l'horreur et l'effroi, tu veux pas y retourner. 009. + tu sais pas bien comment c'est arrivé, t'as rien fait pour le mériter mais... elle t'est tombé dessus comme ça. sans crier gare. sans signaux annonciateur de tempête et terreur. Anca elle a atterrit dans ta vie comme ça, elle ne s'est pas glissé entre les lignes avec le temps, non Anca elle a juste mit les deux pieds dedans. juste comme ça. un beau matin. ou plus précisément le jour même de ton arrivée à Colombia, un brin paumé, un plan de l'université, un programme et un planning en main et t'étais largué dans cette marée humaine. et Anca c'est l'électron un peu taré qui est venu t'accrocher. la fille sur qui tout le monde s'retourne, la fille un peu trop populaire, un peu trop mesquine et créatrice de tonnerre. et dans le tourbillon de ses amis, entre parties folles et sororité qui donne le tournis elle a commencer à s'incruster. comme ça, l'air de rien. tu comprends pas bien pourquoi, ses sourires, ses propositions. parfois t'es pas bien sur qu'Anca elle sait que t'aimes les gars, alors t'as la bouche prête à lui dire... mais elle a les yeux immenses, elle a le sourire doux et un visage plus vrai que nature et tu oublies. stupidement. 010. + t'sais pas bien ce que tu veux faire plus tard. peut-être prof, ou juste continuer les études, faire des rerchers toute ta vie, ou ouvrir une librairie. tu sais pas bien quoi faire de tes dix doigts et de ton destin, et parfois ça t'effraie. t'ouvres les yeux dans l'noir et tu sais plus bien respirer. tu t'dis que toi aussi tu vas finir par crever, comme elle, la gueule cassée, l'corps déglingué... alors tu respires lentement, tu t'forces à relativiser, à t'dire que t'as encore milel choix et que t'as encore trop de possibilités. et tu reprends ta vie, jusqu'à la prochaine revelation nocturne. 011. + avec ta gueule d'gars trop fracassé, on t'imagine froid on t'imagines taré. et ça ne saurait se contredire mais taré tu l'es pour t'éclater, le sourire aux coins des lèvres, la blagues à deux balles pour un public bien trié. tes potes c'est un peu ton nouveau monde bien doré, juste trois quatre, pas de quoi jalouser. rien de fou, pas de gros dealeurs, pas de gros dragueur... juste vous, des skates, des bières, et souvent des blagues bien débiles. des envies de jouer au minigolf bourré, de s'incruster dans une fraternité pas trop guindée. ils sont souvent bien plus sociable, bien plus vite dragué, et tu t'retrouve souvent le verre dans la main, l'loup solitaire... le marrant de service, mais t'as les compétences qui s'emmêlent. une tête de taulard qui refoulent les plus calme, un humour à la con pour celle qui veulent jouer avec le feu. et ça merde toujours, et quand tu merdes tu bois et quand tu bois... tu t'retrouves toujours sous les draps avec un gars rencontré au hasard, un gars qui t'apportera rien dès le lendemain. triste boucle infernal. t'aimerais être un crevard, mais t'es trop flemmard pour t'y mettre vraiment. l'avis de votre personnage sur le site de rencontre matchmaker.MatchMaker, ou l'gene de truc que tu oublies la plus part du temps. c'est pas par volonté, peut-être plus par manque de ponctualité. un tour dans ton adresse mail pour retrouver tes identifiants, et te voilà de nouveau à cliquer et faire défiler te prenant au jeu pour quelques semaines avant de finir par t'en lasser. faut pas s'faire de faux espoir, si l'amour à crever sur le trottoir la bouche ouverte au vingt et unième siècle, t'as encore du mal à imaginer comment il pourrait se retrouver sur internet. rencontre factuels, identité cachés et vérité déformée... t'es de ceux qui préfère se bercer encore d'illusions. alors tu compteras pas sur ça pour te prouver que l'amour existe encore, mais ça te sert à trouver des nouvelles potes, à faire des rencontres et souvent finir tes soirées trop alcoolisé avec un match nouvellement trouvé. mais dans l'fond on arrivera pas à t'faire gober que cette application marche pour les vraies relations. alors tu t'en lasses, alors tu l'effaces, tu retournes au quotidien... avant d'y retomber un dimanche matin. hunt.thing âge + vingt-quatre ans. disponiblité + très très souvent. fuseau horaire + Paris. personnage + Personnage inventé où avez vous connu le forum + Bazzart qu'en pensez vous + Il est vraiment vraiment cool, enfin il a l'air aha. Petite suggestion, préciser quelque part qu'il s'agit de New-York, parce que je ne l'ai trouvé nul part et j'ai du le déduire par les catégorie... votre mot de la fin +bonjour ?
Dernière édition par Akim Fowler le Mar 1 Aoû - 0:29, édité 5 fois |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: la gueule dans les graviers Lun 31 Juil - 21:05 | |
| the story of love. 23 juin, 2009 ▹ t'as l'ventre un peu trop malmené par tes sprints à répétitions. la chaleur, le soleil, et le sport sont des infos qui viennent renforcer ton état de fatigue avancée. vestiaire pour tout l'monde douche froide et rires sur tout et rien. conversations mélangées, l'uniformes tombent les différences reviennent. enfants de partout qui viennent se mélanger, option magique à l'école pour votre âge. la seule chose qu'on t'offre pour ta gueule des quartiers. y'a pas que des tee-shirt bien repassés, il y a aussi des garçons qui sont pas dans l'excès, qui sont juste comme ça.. mais déjà pas comme toi. réalité. vous sortez en vous poussant, virilités stupides quand on a douze ans. puis les voitures s'éloignent, parents présents, ou chauffeurs en attentes... puis il y a toi et Chace, l'sac sur l'épaule à s'éloigner du terrain pour des bus en attentes. ce soir il n'y aura pas de dîner préparé, ce soir t'auras peut-être la chance d'avoir d'quoi faire autres choses que des pâtes. d'toute manières elle ne sera pas là, alors t'iras chez Chace, parce que tu as déjà fini tes devoirs. mais c'est pas grave, les mercredi ce sont toujours les meilleurs moments avant le weekend. le foot et sortir du quartier. 12 décembre, 2010▹ les jours passent et y'a toujours aucun signe de lui. y'a ton cerveau qui a finalement commencé à s'allumer. à s'inquiéter. à imaginer des choses et autres qui auraient pu se passer. deux semaines qu'il a pas posé un pied au foot, deux semaines entières que tes messages restent sans réponse. que seule sa messagerie répond à tes appels. t'voulais qu'il vienne faire une partie avec les gars et toi samedi. puis mardi tu t'emmerdais alors t'aurais bien zoné avec sa gueule de gars trop bien zappé. pas de réponse. rien et silence. et ta tête se met à s'actionner, pas souvent pour ton âge c'est vrai. mais y'a l'autre soir qui te revient dans les pensées. la voix dure de son père, les bruits étouffés de dualité. t'as rien dit parce que Malo tu l'connais, son regard quand il revenu te disait qu'il voulait tout cacher. t'as pas compris, mais t'as rien. et maintenant ton cerveau il imagine de sales tableaux. sale tableaux qui s'effacent subitement en l'aperçevant de l'autre côté de la rue. tout propre, tout... lui. Malo !!! tu croises son regard contournant une voiture pour le rejoindre. surprise et stupeur, y'a ni retour ni attente, juste son dos que tu vois disparaitre dans une boutique avec portier qui te laissera jamais rentrer. t'es là en arrêt, sourcils froncé, sans capter du haut d'tes treize ans pourquoi l'un d'tes meilleurs potes file et t'évites. tu prends ton téléphones dans ton sac de foot trop abimé "il s'passe quoi mec ?" mais t'auras pas d'réponse... et Malo il restera qu'un pote "souvenir", qu'un pote du passé qui vous a tous délaissé. surtout ta gueule, t'as jamais vraiment compris puis t'as finis par grandir. Malo et ses richesse, Malo et ses autres ivresses. enterré le pote de foot, enterré l'amitié. 25 mars, 2012 ▹ ton cerveau il a dit au revoir au reste du monde. tu sais plus si c'est à cause du bruit des sirènes ou bien les lumières violentes des camions. la scène dans ton salon ou encore toutes ces horribles questions. tu sais plus vraiment la date ni l'heure, ni s'il fait nuit ou jour. tu pensais pas avoir de réaction mais la vue du corps semblent avoir bien bousculer toutes tes pseudos convictions. elle était là si calme. si froide. et ses yeux qui n'arrêtaient pas de te fixer. avec cet air d'absences, avec cet air d'errance. tu sais plus pourquoi ni comment t'as finis par t'asseoir à l'observer. ils allaient arrivé ils ont dit alors tu t'es assis dans cette autre réalité. ses yeux trop bleus ont arrêté leurs battements qui t'énervaient auparavant, elle n'avait pas cette voix cassée, ni ces gestes de maman inquiète et défoncée. plus jamais inquiète à présent. finit les défonces, finit les tourments. et le légiste il a finit par tirer ses paupières, et t'as du dire adieu à ta mère. juste comme ça. alors tu sais pas. tu sais plus quoi faire, tu sais pas trop comment bouger. c'est un peu étrange de voir son monde bousculé. tu deviens quoi ? tu deviens qui ? 27 mars, 2012 ▹ heu.. Akim ? ... je suis désolé pour ta mère. t'as l'esprit embrouillé par le sommeil, et pourtant t'es encore incapable d'fermer vraiment les yeux. et il est là, le gars un peu con, l'inconnu qui maintenant t'sert de frère dans ta famille d'accueil. de frère, t'en as jamais eut, et t'es pas sur d'en vouloir un seul dans ta vie. t'as plus de famille. t'as plus personne, c'est un fait qui n'arrive pas encore à vraiment trouver pied dans la réalité. tu restes à l'fixer ce gars qui a même pas un an de plus que toi... il a l'air tellement... propre sur lui comparé à ta gueule fatiguée et qui garde encore les traces d'une bagarre au lycée. tu hoches la tête, tu sais pas bien ce que t'es sensé répondre à ça. "merci ?" "pas d'problème" ? c'est pas tellement logique ce qui arrive. c'est pas qu'elle te manque déjà... ta mère tu la voyais pas pendant des jours parfois... c'est juste que c'est plus ta maison, y'a plus que tes affaires et toi seul... et t'es là, dans une famille qui n'est pas la tienne... mais qui le sera jusqu'à tes vingt et un ans... paumé. perdu. pauvre gosse mal tombé. cool... sympa.. paumé va ! 06 février, 2017 ▹ deux années, deux enfers scolaires. une bourse, et tes années payées à l'université. boursier, pas le meilleur mais tu l'as quand même décroché. tu peux enfin respirer, un peu. terminé de marcher en terre inconnue dans une famille qui semble bien trop t'étouffer. terminé de croiser Peter au levé du lit avec ses abdos trop dessinés et son cerveau oublié. tu dis pas que c'était une mauvaise période, mais l'idée de vivre dans ta propre chambre, dans ton propre univers c'est bien mieux que le reste. et ça dure depuis des mois, tu apprécies au final encore plus cette famille d'accueil en les ayant sur le dos qu'en vacances. trop d'amour, t'es pas habitué. qu'on s'inquiète quand t'es pas là à une heure du matin... c'est une nouveauté que même à 13 ans tu connaissais pas. 04 septembre, 2017 ▹ esprit trop embrumé, hier soir tu n'aurais pas du sortir si tard. ça ne fait qu'une semaine que les cours ont reprit mais tu ferais mieux de pas recommencer à sortir autant que cet été si tu veux tenir tes notes. mais c'était bien trop difficile de résister aux gars... surtout parce que tu t'es fait embarquer, Hector et sa carrure style Hercule demi dieu a réussit à t'choper part les jambes et t'as finit comme une vieille poupée à te faire trainer hors du bâtiment. c'est pas comme si t'étais frêle et sans réplique mais... de un ils t'ont pris par surprise, de deux contre Hector de toute manière même ta capacité à cogner te servirait à rien. et les choses en amenant une autre, l'alcool est rentrée dans l'équation. le résultat ? un réveil vaseux, des yeux qui veulent rester clos et toi cherchant à tâtons un jean propre. mmh d'abord un caleçon ça serait mieux. puis t'attrapes ton sac de cours et une chemise. Merci Grant pour l'réveil. faut vraiment que tu connaisses bien ton colocataire depuis un an et demi pour reconnaître que c'est un grognement humain qui sort de sous les draps. tu termines de fermer ta chemise à carreau en sortant d'la chambre grommelant un truc que t'arrives même pas à trop comprendre. juste l'temps de finir le dernier bouton avec ton sac sur ton épaule, que ton regard croise celui d'ton nouveau voisin d'palier. et quand l'nouveau sent l'ancien, le passé bien éloigné ça t'fait buguer. six ans ça transforment pas l'visage au point d'être un inconnu au détour d'un couloir. et l'temps que tu captes le prénom t'as déjà fait trois pas en avant avant d'revenir un arrière. Malo ?? Malo Pearson ? ... t'es... tu.. tu es vivant ? tu habites ici ? tu es encore dans cette ville ? trop de question qui restent bloquées dans ta tête mal réveillée. mais si les questions se perdent dans ton esprit... en face y'a un regard qui se refroidi, qui se durcit. et la voix qui sort a certes muée mais c'est surtout la dureté qui te met l'esprit à l'envers. On s'connait ? pas le temps de répondre que c'est à son dos que tu as affaire... et il s'éloigne sans un regard de plus. et toi, tu restes comme un con, à moitié encore pas bien habillé, la gueule pas réveillée, une chemise mal assemblée, et l'sac qui à ce moment pèse une tonne avec la claque que tu viens d'te prendre. alors ça s'oublie si vite les anciens potes chez les riches ? et ba bordel. l'corps a bien évolué, l'esprit lui a déraillé. crevard de bourgeois. il vient d'te gâcher la journée... et sans l'savoir c'est ton année qui va vite s'embrumer.
Dernière édition par Akim Fowler le Sam 5 Aoû - 18:43, édité 8 fois |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: la gueule dans les graviers Lun 31 Juil - 22:05 | |
| j'adore le pseudo, bienvenue par ici et bon courage pour ta fiche |
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Invité « Invité » | | | |
Invité « Invité » | Sujet: Re: la gueule dans les graviers Lun 31 Juil - 23:04 | |
| Bienvenue |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: la gueule dans les graviers Mar 1 Aoû - 0:10 | |
| Bienvenue jeune homme! Bon courage pour la suite! |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: la gueule dans les graviers Mar 1 Aoû - 0:15 | |
| merci beaucoup pour l'accueil vous deux ! |
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Asteria Drake « Admin + queen of hearts. » pseudo : sweet poison (anaïs).
arrivé(e) le : 19/06/2017
Messages : 10553
avatar : eliza taylor.
crédits : sweet poison (avatar).
Points : 1745
âge du perso : vingt-sept ans.
| Sujet: Re: la gueule dans les graviers Mar 1 Aoû - 0:22 | |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: la gueule dans les graviers Mar 1 Aoû - 0:30 | |
| hello bobi', t'es bô dis donc pardon pardon, c'est salement moche de draguer le boss mais t'as vu ta gueule aussi ? merci pour l'accueil et pas de problèmes pour les question !! |
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Rafe Hollins « Admin + queen of hearts. » pseudo : MARY-W./marie.
arrivé(e) le : 19/06/2017
Messages : 11161
avatar : bob morley, le parfait.
crédits : @my love (avatar), tumblr (gifs) + uc (quote).
Points : 383
âge du perso : trente-deux ans.
| Sujet: Re: la gueule dans les graviers Mar 1 Aoû - 0:35 | |
| bienvenuuuuue bonne chance pour ta fiche Si tu as des questions, n'hésite pas |
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| Sujet: Re: la gueule dans les graviers | |
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| | | | la gueule dans les graviers | |
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