|
| i can hear your pulse racing from here (jordan). + hot. | |
| |
Auteur | Message |
---|
Invité « Invité » | Sujet: Re: i can hear your pulse racing from here (jordan). + hot. Sam 29 Juil - 19:04 | |
| Callie ne peut s’empêcher de proposer à Jordan de la peindre nue. Il faut dire qu’elle n’a pas réellement envie de la voir se rhabiller avec précipitation pour qu’elle puisse faire un simple portrait. Alors pour profiter de la situation encore quelques instants, mieux vaut faire les choses un peu différemment de ses habitudes. La brune espère ne pas se tromper en lui proposant ce tableau un peu particulier, il faut dire que l’exercice est un peu nouveau pour elle et qu’elle n’aurait pas l’air très maligne si sa toile est ratée. Mais la blondinette lui a donné pas mal d’assurance lors de la soirée et elle se sent un peu pousser des ailes. Elle a vraiment confiance, se sent capable de le faire. « Faudra p’tetre pas trop l’exposer, pas sûr que tes prochaines conquêtes apprécient de voir une nana nue dans ton salon, même si c’est qu’un tableau ! » lui lance Jordan alors qu’elle se lève pour aller chercher une toile. Callie ne peut s’empêcher de rire légèrement avant de lui répondre en lui désignant la toile toujours accrochée au dessus du canapé : « Ce tableau-là accroche déjà tous les regards, à côté, un nu paraitra bien plus agréable ! » Il faut dire que même pour elle, le tableau qu’elle s’apprête à peindre sera plus agréable à voir que cette toile représentant son ex en plein ébat avec son amante. Une scène qui l’a longtemps traumatisée, après qu’elle les ait surprises ensemble. Une scène qui continue de la traumatiser à présent, puisqu’elle se trouve incapable de s’engager avec qui que ce soit. « Wow tu vise pas petit en plus ! » commente Jordan en la voyant revenir avec la toile. Callie lui adresse un clin d’œil complice. Après tout, la blondinette mérite bien une toile à la hauteur du plaisir qu’elle lui a procuré. Et encore, dommage qu’elle n’ait pas une toile plus grande. De toute façon, cela aurait été bizarre de la peindre en encore plus grande. Ce serait donner trop d’importance à une rencontre d’un soir et lui faire peur. Chose que Callie ne veut absolument pas faire. Aussi se contente-t-elle de cette toile. Elle invite Jordan à adopter une position confortable. Si elle ne sait pas combien de temps cela va lui prendre exactement, elle a comme un doute que cela va durer un moment. « Ouh, t’es sexy quand t’es directive comme ça ! » Jordan ne la voit pas rougir puisque déjà, elle s’installe sur le canapé à plat ventre, adoptant une position cambrée assez sexy, il faut le dire. Alors que la brune commence à peindre, elle ne peut que remarquer l’aisance qu’a la blondinette face à elle. A croire qu’elle a posé nue toute sa vie, tellement son aisance est plaisante à voir. Elle n’est pas crispée comme certains de ces modèles qu’elle a déjà pu rencontrer en atelier d’art et qui posaient à contre cœur, pour arrondir des fins de mois difficiles. Jordan a l’aisance d’une personne absolument pas dérangée par ce regard qui se balade entre son corps et la toile, comme si elle prenait goût à ce qu’elle était en train de faire. Callie ne peut s’empêcher de lui faire remarquer, ce qui la fait rire. « Non pourtant c’est la première fois. Mais c’est sans doute parce que je suis pas du tout pudique. Pour moi un corps reste un corps, c’est ce qu’on en fait qui importe. » Jordan sourit et la brune ne peut s’empêcher de lui rendre un sourire en retour. Sa vision des choses est plus qu’intéressante. C’est une mentalité qui plait plutôt bien à Callie, même si elle n’est pas sûre qu’elle aurait la même aisance dans ce genre de situation. Mais bon, il faut dire que toutes les deux se sont déjà vues sous toutes les coutures alors qu’elles ne se connaissaient pas encore il y a quelques heures. Alors pourquoi être gênées par ça ? Cela n’aurait aucun sens. « Ce que tu es sérieuse… j’aime bien, avec tes lunettes et tout, t’es excitante ! » Callie ne peut s’empêcher de rougir face à la remarque de Jordan, et vient se cacher derrière sa toile. Le pinceau toujours à la main, elle tire sur son joint pour dissiper sa gêne. Elle a vraiment cette impression d’être une enfant de seize ans qui découvre le flirt. C’est ridicule. « Te cache pas, c’est un compliment ! » lui lance Jordan, mais la brune ne peut pas s’en empêcher. Elle n’a pas l’habitude de recevoir des compliments, il faut dire. « Tu peins souvent des gens nus comme ça ? » La blondinette bouge un peu, elle a l’air d’avoir besoin d’étendre ses muscles et Callie espère qu’elle ne souffre pas trop de sa position. Elle espère vraiment faire de son mieux pour lui éviter une longue et lente torture. « J’ai déjà fait des nus dans une école d’art, mais en dehors de ça, c’est la première fois que je peins une femme nue dans mon salon, si tu veux tout savoir. Et il faut dire que c’est bien plus sexy comme ça. » Elle lui adresse un clin d’œil avant d’ajouter quelques nouveaux coups de pinceaux. Les formes se précisent et les ombres et lumières aussi. Elle laisse volontairement le décor assez flou, elle sait que son salon ne va pas changer tout de suite, contrairement à Jordan qui risque d’avoir un peu plus de mal à garder sa position. Alors autant se concentrer tout de suite sur le sujet principal de la toile. Elle fignole quelques éclairages au niveau du visage, avant de se détacher de sa toile pour aller reposer le joint dans le cendrier. « Tiens, t’as bien gagné le droit à une fraise. » dit-elle en approchant une fraise de la bouche de Jordan pour qu’elle puisse en manger une sans avoir à bouger. « J’ai fait la plus grosse partie du travail. Il me reste quelques détails à faire, comme le visage, les mains et les pieds, mais ça commence à prendre forme ! Tu seras bientôt libérée de ton supplice. » Elle retourne rapidement à sa toile pour continuer tout ça. Mettre Jordan au courant de ce qu’il lui reste à faire lui apparait comme étant primordiale. La pauvre a bien le droit de se faire une idée sur le temps qu’il va encore lui falloir passer dans cette position. « Si tu veux, après je te ferais un massage, pour te soulager et pour me faire pardonner d’être si longue ! Il parait que j’ai des doigts de fée. » Elle lui adresse un clin d’œil par-dessus sa toile, avant de reprendre son travail. Elle précise le contour du nez de Jordan, trace ses sourcils. La ressemblance commence à se faire à force de coups de pinceaux. |
| | |
Invité « Invité » | Sujet: Re: i can hear your pulse racing from here (jordan). + hot. Lun 31 Juil - 18:01 | |
| La position n’est pas désagréable bien qu’au bout d’un certain temps, ça tire légèrement. Je tente de déconcentrer la peintre plusieurs fois et la voir rougir me plait beaucoup. Si je n’aime pas les filles trop coincées, en revanche, j’adore celles qui ne connaissent pas leur potentiel et leur niveau de charme. Callie est de ces filles qui ignorent à quel point elles sont sexy malgré elles. Je lui pose des questions, sans doute parce que le silence a tendance à m’angoisser légèrement, surtout la voir m’observer de cette façon, c’est bien la première fois qu’une fille me regarde comme ça. « J’ai déjà fait des nus dans une école d’art, mais en dehors de ça, c’est la première fois que je peins une femme nue dans mon salon, si tu veux tout savoir. Et il faut dire que c’est bien plus sexy comme ça. » Je ris un peu et me mordille la lèvre juste pour la faire chavirer un peu plus. « Je me sens flattée. Etre la première fois de quelqu’un, peu importe le domaine, c’est toujours flatteur… » Je la regarde se lever pour déposer son joint dans le cendrier et j’en profite pour détendre légèrement mon dos alors qu’elle arrive avec une fraise. « Tiens, t’as bien gagné le droit à une fraise. » Sourire aux lèvres, je croque dans le fruit non sans avoir passé ma langue sur son doigt au préalable, juste pour le côté sensuel. « Merci, vous êtes trop aimable. » J’avale rapidement le fruit, légèrement frustrée parce que ce genre de chose, on en mange jamais qu’une seule. « J’ai fait la plus grosse partie du travail. Il me reste quelques détails à faire, comme le visage, les mains et les pieds, mais ça commence à prendre forme ! Tu seras bientôt libérée de ton supplice. » Je souris et la regarde retourner derrière sa toile. « Pour le moment ça va, prends le temps qu’il te faudra. » Je reste concentrée, ce n’est pas dans mes habitudes de rester immobile, je suis plutôt du genre intenable en général. Mais là je fais un effort. « Si tu veux, après je te ferais un massage, pour te soulager et pour me faire pardonner d’être si longue ! Il parait que j’ai des doigts de fée. » J’arque un sourcil intéressé, un sourire naissant au coin de mes lèvres. « Tu me fais du charme là ! J’adore les massages ! » Je ris un peu et me mords la lèvre inférieure. « Va pour le massage, je vais pas m’en plaindre ! » Nous restons là encore un bon moment le temps qu’elle termine et lorsqu’elle finit par me dire que c’est bon, je souffle de soulagement et me laisse tomber comme une merde relâchant tous mes muscles. « J’avais jamais compris pourquoi les modèles de nus étaient payés dans les écoles d’art. Maintenant je comprends mieux ! » Je ris un peu et m’étire avant de me lever. « Je peux voir ? » Je m’approche de la jeune femme qui semble stressée de mon verdict et je souris, avant de poser mes yeux sur la toile. « Wow ! » Oui il est sorti du coeur. « Putain mais tu fais pas semblant ! » Je prends un peu de recul et admire le résultat. « Tu m’as rendue plus belle que je ne le suis non ? T’as triché avoue ! » Je ris un peu et viens m’asseoir à califourchon sur elle avant de l’embrasser. « Toi tu mérites ça pour ton talent. Et moi je mérite un massage. » Je ris et me relève pour la laisser aller se laver les mains. Pendant qu’elle est dans la salle de bain, je prends mon portable et photographie la toile, parce que c’est quand même la classe. Une fois fait, je pique une fraise et me laisse tomber à nouveau dans le canapé, attendant que la brune ne soit de retour. |
| | |
Invité « Invité » | Sujet: Re: i can hear your pulse racing from here (jordan). + hot. Mer 2 Aoû - 22:38 | |
| « Je me sens flattée. Etre la première fois de quelqu’un, peu importe le domaine, c’est toujours flatteur… » Elle dit cela avec un sourire équivoque. Et Callie ne peut s’empêcher de penser que la chose la plus flatteuse du monde, c’est de recevoir ce genre de sourire. Celui de quelqu’un à qui l’on fait de l’effet et qui ne semble être rebuté en rien par n’importe quel aspect de sa personnalité. Callie est déjà bien trop souvent tombée sur des connards qui l’insultaient sur sa façon de s’habiller ou des rendez-vous matchmaker qui la repoussaient, sans qu’elle sache trop pourquoi, juste parce qu’elle n’était pas comme ils se l’imaginaient sur les photos. Peut-être trop décontractée. Pas assez pomponnée. Elle n’avait jamais su ce qui avait fait fuir ces femmes à toutes jambes et avait rapidement essayé d’oublier ces personnes, qui lui renvoyaient des images capables de lui encombrer l’esprit de questionnements inutiles, même si elle tentait de ne rien en laisser paraître. Heureusement, avec Jordan, il n’y a rien de tout ça. Au contraire, la blondinette semble être à l’aise dans le salon de Callie. La preuve étant qu’elle pose pour être représentée nue sur une toile, au beau milieu de son logement. D’ailleurs, la peintre ne veut pas trop la faire attendre, alors elle s’empresse de se glisser de nouveau derrière sa toile, continuant à distribuer les coups de pinceaux, avant de proposer à Jordan de lui donner un massage en récompense pour sa patience. La blondinette arque un sourcil, adopte un air intéressé. « Tu me fais du charme là ! J’adore les massages ! » Elle rit un peu et Callie ne peut s’empêcher de sourire, sentant le rouge lui monter aux joues. Elle se sent bête d’être si facilement toucher, mais peu importe. Elle peut laisser aller, ce n’est pas comme si elle allait la revoir plus tard. « Va pour le massage, je vais pas m’en plaindre ! » Les deux jeunes femmes partent donc pour la dernière ligne droite de ce tableau. Il leur faut à peu près une vingtaine de minutes supplémentaires avant de mettre le dernier coup de pinceau. « J’avais jamais compris pourquoi les modèles de nus étaient payés dans les écoles d’art. Maintenant je comprends mieux ! » Elle rit et Callie l’accompagne de bon cœur. Alors que la brune la voit s’étirer, elle lui lance : « Je ne suis pas contre le fait de te payer en nature s’il le faut. » Parce que même si elles ont fait du sport de chambre – ou de salon – durant plusieurs heures déjà, rien ne les empêche de flirter l’une avec l’autre encore un peu. Jusqu’à ce que Jordan parte et ne donne plus jamais de nouvelles. Le schéma classique selon matchmaker. Callie met ses pinceaux de côté et enlève sa blouse de peinture, signe que la toile est réellement terminée pour de bon. « Je peux voir ? » s’empresse de demander la blondinette. La brune hoche la tête en signe d’acquiescement, même si elle a cette sorte de boule au ventre. Cette peur que le nu ne lui plaise pas, qu’elle ne trouve pas ressemblant ou qu’elle juge finalement qu’elle n’a pas adopté la bonne solution. Mais la réaction de Jordan finit par la rassurer. « Wow ! Putain mais tu fais pas semblant ! » Callie ne peut s’empêcher de rougir encore une fois. C’est vraiment une sale habitude. « Tu m’as rendue plus belle que je ne le suis non ? T’as triché avoue ! » Elle rit, visiblement heureuse du rendu. Alors la peintre, soulagée, ne peut pas se retenir de la taquiner. « Arrête, tu vois bien que la toile ne te rend pas honneur ! » Ce n’est pas vraiment une taquinerie, juste la vérité après tout, mais Jordan ne le reconnaîtra sans doute jamais. Il est parfois compliqué d’avoir un avis objectif sur quelque chose qui nous est personnel, surtout quand il s’agit du physique. La blondinette s’approche et vient s’asseoir à califourchon sur elle, avant de lui donner un baiser qui sonne comme des remerciements. « Toi tu mérites ça pour ton talent. Et moi je mérite un massage. » Elle se relève, libérant Callie, qui s’empresse de rejoindre la salle de bain. Elle se lave les mains et en profite pour fouiller dans les placards, en quête du matériel nécessaire pour effectuer un bon massage. Elle finit par revenir dans le salon au bout de quelques minutes, les bras chargés de flacons d’huile de massage. « J’ai pris tout ce qu’il fallait, promis, je ne vais pas te rouler ! Tu vas y avoir droit à ton massage de prestige. » Elle dépose les divers flacons sur le sol avant de bouger la table basse, dégageant le tapis du salon pour qu’elles puissent s’y installer. Ce sera toujours plus pratique que le canapé pour ce genre de chose, même si le sofa a déjà démontré son utilité au cours de la soirée. « Si ça ne vous embête pas, charmante demoiselle, nous allons pouvoir prendre place. » Callie la laisse prendre le temps de s’installer avant de venir prendre place au dessus d’elle. Elle prend le temps de se verser de l’huile de massage dans le creux de ses mains, avant de se mettre à lui masser le dos avec application. Mais alors qu’elles partagent ce nouvel instant de proximité, le regard de Callie accroche la toile suspendue dans son salon. Celle de son ex au lit avec son amante. Un moment qui l’a traumatisée et qui lui a laissé des séquelles. Alors c’est plus fort qu’elle, elle demande : « Est-ce qu’il t’ait arrivé d’avoir envie de te poser avec une de tes rencontres matchmaker, même si vous ne vous étiez flashés que pour une histoire de fesses ? » Des paroles qui peuvent paraître troublantes pour Jordan, aussi s’empresse-t-elle de préciser ses propos. « J’parle pas de nous deux hein, ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit. Mais des fois, je me demande comment ça arrive, les vraies histoires d’amour. » Parce qu’elle ne pouvait pas dire que son ex était une vraie histoire d’amour. C’était surtout une histoire d’amour à sens unique, un passage de sa vie durant lequel elle s’était bien fait rouler dans la farine. Et quelque part, elle ne croit plus à ces choses-là, même si elle en rêve encore la nuit. Foutu subconscient, incapable de comprendre comment fonctionne le monde réel. |
| | |
Invité « Invité » | Sujet: Re: i can hear your pulse racing from here (jordan). + hot. Sam 12 Aoû - 9:38 | |
| Callie a beaucoup de talent, c’est en découvrant le tableau qu’elle a fait de moi que je m’en rends compte, et je ne suis pas avare de compliment. Je ne l’ai jamais été d’ailleurs. Je n’irai pour autant pas compliment quelqu’un qui je pense n’en vaut pas la peine ou ne le mérite pas. Mais je ne perds pas le nord, et la brune m’a proposé un massage, alors je compte bien en profiter. C’est donc sans tarder que je prends place sur le canapé, toujours nue comme un ver, et j’attends qu’elle revienne avec ce qu’elle est visiblement partie chercher. « J’ai pris tout ce qu’il fallait, promis, je ne vais pas te rouler ! Tu vas y avoir droit à ton massage de prestige. » Je lui souris largement, des étoiles dans les yeux en voyant tout ce qu’elle a récupéré dans sa salle de bain. Finalement la brune me propose de prendre place sur le tapis que nous avons déjà inauguré un peu plus tôt dans la soirée. « Si ça ne vous embête pas, charmante demoiselle, nous allons pouvoir prendre place. » Je ne me fais pas prier et m’installe sur le ventre pour la laisser faire, avec un large sourire. Callie s’installe à califourchon au dessus de moi et a peine ses mains placées sur ma peau que je grogne de plaisir. « Est-ce qu’il t’ait arrivé d’avoir envie de te poser avec une de tes rencontres matchmaker, même si vous ne vous étiez flashés que pour une histoire de fesses ? » Mon front auparavant posé sur mes bras repliés, je tourne la tête pour essayer de voir la brune, dubitative quant à sa question. « J’parle pas de nous deux hein, ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit. Mais des fois, je me demande comment ça arrive, les vraies histoires d’amour. » Je soupire un peu. « Putain tu m’as fait peur un peu quand même ! Je sais que je suis irrésistible mais quand même ! » Je ris un peu et me replace, haussant les épaules. « Franchement, j’en sais rien. Je suis tombée amoureuse qu’une fois et j’étais gamine, enfin adolescente quoi. Mais depuis rien, et je me pose encore la question de comment ça pourrait arriver. J’y suis pas fermée mais j’ai du mal à croire que l’amour c’est fait pour moi. » Je gémis un peu quand elle passe dans le creux de mes reins parce que putain ça fait du bien. « Pourquoi tu me demandes ça ? T’as envie de tomber sur ton âme soeur ? » J’ai bien vu le tableau accroché au mur face au canapé, mais je ne me risquerai pas à poser une question à ce propos, c’est sans doute un peu trop délicat. Après tout, on ne se connaît pas.
Je sursaute en entendant mon téléphone sonner. C’est pas normal à cette heure-ci. J’hésite mais finalement, c’est la brune qui me tend mon smarphone posé sur la table basse. Elle a raison on sait jamais. Et quand je vois la photo de Paula s’afficher, je panique un peu. « Je suis désolée faut que je décroche c’est ma coloc. » Je ne perds pas de temps et déverrouille mon téléphone pour décrocher. « Oui ? Non je suis en vadrouille. Dans le Queens pourquoi ? Ok ok, panique pas j’arrive ok ? Je prends un Uber et j’arrive. » Je raccroche et grimace un peu alors que la brune arrête son massage. « J’suis vraiment désolée ma belle… faut vraiment que j’y aille. » Je me contorsionne de manière à me tourner et je me redresse posant mes mains sur les fesses de la brune avec un petit sourire. « C’était un super moment en tout cas. Si un soir tu t’ennuies, tu peux mettre mon profil dans tes favoris ! » Je m’approche pour lui voler un baiser avant qu’elle ne se lève pour me laisser me rhabiller. Je ne perds pas de temps et l’embrasse une dernière fois à la porte avant de filer pour de bon. J’ai passé une super soirée et je ne regrette pas le moins du monde. |
| | |
| Sujet: Re: i can hear your pulse racing from here (jordan). + hot. | |
| |
| | | | i can hear your pulse racing from here (jordan). + hot. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |