001. + comme tous les êtres humains, leoftan white est complexe et souvent contradictoire, à la fois dans sa personnalité et dans ses attitudes. d'apparence quelque peu flegmatique, c'est un homme calme et distant qui incarne le charisme, l'élégance et la sagesse. scientifique, parfois jusqu'à l'insensibilité, il mène un combat perpétuel contre ses sentiments, préférant mettre le raisonnement de la pensée en avant. assurément, il est réfléchi et profond et se révèle aussi être un fin manipulateur. leoftan adore les motifs et, pour lui, le repérage des contradictions entre les déclarations pourrait presque s’appeler un hobby, ce qui fait que lui mentir est une mauvaise idée. ironiquement, sa parole devrait toujours être prise avec un grain de sel. ce n’est pas qu’il soit consciemment malhonnête -quoique-, mais il a tendance à partager des pensées qui ne sont pas entièrement développées, à essayer des idées et des théories sur les autres dans le cadre d’un débat contre lui-même plutôt qu’à considérer les autres comme de vrais partenaires de conversation. solitaire, il n'estime pas nécessairement les autres, il peine à imaginer qu'il soit encore possible de l'étonner, d'attirer son attention d'une quelconque manière que ce soit. alors il feint simplement l'ennui et le désintérêt total, hurlant sur tous les toits, ou presque, qu'il préfère grandement sa propre compagnie à celle de n'importe qui. 002. + les yeux sont les miroirs de l'âme, parait-il. alors l'âme de cet homme est opaque, insondable. leo ne donne l'impression d'attacher d'importance à rien, ni à personne, mais ce ne sont pas ses actes, ou ses paroles qui le dépeignent comme un égoïste. c’est son regard. il glisse sur vous comme si vous n’existiez pas, comme si la moindre parcelle de votre être n’était que futilité. et pourtant, il scrute, il regarde, il observe et il analyse. on ne peut pas lui enlever cette qualité. cette absence de volonté, cette envie inexistante de connaître ses pairs fait de lui un piètre interlocuteur. cependant, si on creuse un peu on peut se rendre compte qu'il s'agit, en partie, d'une carapace. son existence même n'a été jonchée que de déceptions et d'échecs. par conséquent, s'il ne semble atteler que peu d'importance aux personnes, c'est parce qu'il est rarement impressionné par ces dernières, leurs desseins étant à chaque fois similaires selon lui. 003. + leoftan est un homme bien plus désordonné qu'on ne se laisserait le croire. son bureau, lieu sacré, mais surtout le plus bordélique de sa demeure, en est bien la preuve. selon lui, tout est parfaitement à sa place... oui, enfin, parfaitement mal rangé, quoi. des feuilles sont éparpillées au sol aux quatre coins de la pièce, des dossiers non-désirés sont balancés dans une corbeille en bois remplie à ras-bord, des figurines de toutes sortes n'attendent que le premier arrivant pour blesser ses pauvres pieds innocents et des cartes et autres jeux brillent sur l'étagère prêt de la fenêtre, faisant languir d'envie l'homme désordonné pris d'ennui, des instruments scientifiques de tout type, notamment d'astronomie, trainent un peu partout. seule la bibliothèque emplie d'innombrable ouvrages semble être un temps soit peu en ordre. 004. + il possède un chaton depuis peu, edgar. prénom royal anglais par excellence... sérieusement ? qui se serait douté du contraire ? n'empêche qu'il aurait sans doute penser à lui donner un nom d'étoile, si la p'tite bête ne s'endormait pas chaque fois que les étoiles s'éveillent... bref. l'animal, il ne l'a ni acheté, ni trouvé, disons que c'est lui qui est venu de lui même à l'homme torturé. nan, mais, quelle idée ! au début, il ne faisait que le croiser en rentrant chez lui, et surtout que d'ignorer ses miaulements incessants. finalement, il a cédé (bien plus rapidement qu'il n'osera jamais l'admettre), le félin s'est avéré être plus gluant que prévu, et leo n'a pas eu d'autre choix que de le garder, ce petit paillasson blanc. 005. + en tant que fervent représentant britannique, on pourrait facilement l'imaginer une tasse de thé à la main à écouter la bbc à la radio. seulement c'est la caféine qui retient son attention. des cafés, il en boit des tasses et des tasses par jour... par nuit, aussi. au delà du goût, c'est surtout l'effet qu'il recherche. 006. + insomniaque depuis sa naissance, semble-t-il. ses nombreuses doses de caféines n'aident en rien à améliorer son état, mais cela n'a pas l'air de le freiner, bien au contraire. il tente de repousser la fatigue par tous les moyens, il ne pense jamais pouvoir un jour connaitre le repos, s'est déjà fait à l'idée. 007. + la drogue est souvent assimilée à 
la dépendance. pourtant les drogués ont choisi librement de se mettre à consommer. et c’est pour rester libres qu’ils décident un jour de s’en sortir. choix qu'a fait leoftan il y a quelques années de cela, sans grande conviction d'ailleurs. cette cure de désintoxication, il ne l'a faite que pour faire plaisir à sa sœur, clairement, c'est ce qu'il prétend. 008. + leoftan n'a jamais connu son père biologique, et n'a jamais chercher à le connaitre. il était l'enfant unique d’une jeune maman célibataire aux revenus difficiles. cette dernière faisait tout en son pouvoir pour subvenir aux besoins de son fils tant chéri. elle ne manquait pas une journée sans lui souffler des mots doux et des promesses aux creux de l'oreille. sa maman, il l'aimait de tout son petit cœur d'enfant, si fragile, et tellement innocent. il vécu auprès d'elle neuf longues années de bienveillance et d'amour maternel. puis le jour de ses dix ans, son petit rêve se transforma en un terrible cauchemar. sa mère l'abandonna, emportant son amour et ses promesses mensongères avec elle. lui, son propre fils, celui qu'elle prétendait tant aimer, elle l'avait si aisément laissé. il fut bien rapidement envoyé en orphelinat où il vécu une bonne partie de son adolescence. puis, finalement, à ses quatorze ans, il se fit adopter par un britannique veuf et rejoint sa famille aux côtés de sa fille qui devint sa sœur et actuellement la seule femme en qui il repose une confiance aveugle. 009. + l'homme a perdu sa femme, c'est un fait. seulement le plus surprenant c'est de voir à quel point il semble en parler sans la moindre once de douleur dans la voix ou le regard. s'en moquerait-il complétement ? ça en deviendrait choquant. pourtant, loin de là, c'est simplement une image faussée, un mirage parmi tant d'autres. 010. + cela fait cinq années exactement que l'anglais a quitté sa terre sacrée pour rejoindre le nouveau monde et sa grande promesse risible. tout ça, c'est grâce (ou à cause) de sa sœur, une fois de plus, à qui il ne peut décidément jamais rien refuser. c'est qu'elle peut tout lui faire faire, ça l'agace, mais il n'y peut pas grand chose. en revanche, malgré les années, impossible de passer à côté de ce... détail : le roastbeef n'a de cesse d'avoir le mal du pays.

âge + un âge certain   disponiblité + un peu tous les jours because j'suis comme ça moi, je fais des promesses de fou   fuseau horaire + celui de paname uesh personnage + inventé. où avez vous connu le forum + c'est grave si je vous dis que j'ai déjà oublié ?    nan mais sérieusement en plus, lauuul. qu'en pensez vous + il m'a l'air fort sympathique   votre mot de la fin + pouet pouet    

« Dis, Leo, tu me promets que tu n’arrêtera jamais de rêver ? » L'esquisse d'un sourire amusé fleurit doucement sur les lèvres du garçon qui observait avec minutie chaque détails qu'il pouvait dépeindre du visage rayonnant de la fillette aux cheveux d'or, malgré la pénombre qui les enveloppaient. Cela faisait quelques années que Leo avait été laissé là, derrière, peut être plus, ou moins, il ne comptait plus les jours et s'était fait une raison. Solitaire, il passait le plus clair de son temps dans un coin, à lire et penser, éloigné des autres enfants, bien trop jeunes et naïfs pour attiser son intérêt d'une quelconque manière. Les soirs, comme celui-ci, où les étoiles daignaient danser sous ses yeux, Leo rêvait, beaucoup... Peut être trop. Il marchait jusqu'en haut d'une colline et s'étalait piteusement sur le dos dans l'herbe fraiche afin de laisser ces quelques larmes perlant son visage si dur lui rappeler cruellement la peine infini qui ne cesserait jamais de hanter ses nuits. Mais lorsqu’elle sortait de sa cachette, aussi gracieuse et éblouissante que ses étoiles dont il était si fou d'amour, lorsqu'elle l'abordait, lui, le méchant garçon au regard froid que tout le monde évitait d'importuner, avec ce sourire magnifique et cette voix pétillante de malice, tout était alors bien différent. Toute la nuit durant, Leo lui narra le cosmos, les galaxies, les extraterrestres. Elle l'écoutait, s'esclaffant par moment, le regard plongé dans ses deux galaxies bleues qu'il rivait vers les étoiles. Ils se sentaient seuls au monde. Ils étaient en harmonie complète. Du haut de ses dix ans, elle lui parla une autre nuit de ses propres rêves, lui racontant son amour pour les romans et les gens, et plus particulièrement son affection pour les personnages tristes et abimés, lesquels, étrangement, elle n'avait de cesse de vouloir aider et protéger. Là reposait leur seule et unique mésentente ; selon Leo, elle ne pouvait prétendre à une telle chose, c'était stupide, mais selon la fillette, le bonheur était à la portée de tous... C'était stupide ! Puis les années se sont écoulées, deux exactement, et la fillette aux nuits étoilées s'en est allée vivre loin de lui auprès d'une famille aimante qu'il espérait la protégerait coûte que coûte des ombres. Elle s'appelait Melody, celle du bonheur. Une étoile parmi tant d'autre. Son étoile qu'il n'oublierait pas. « Je te le promets. »


« Joyeux anniversaire, filston ! » Le sourire plaqué sur les lèvres du père adoptif rayonnait de fierté, d'amour paternel, de joie, de sincérité. Bien avant que l'esprit de Leoftan ne tente de trouver une porte de sortie pour ne pas faiblir devant tant de bienveillance qu'il a toujours reçu avec beaucoup de mal, des bras féminins s'emparèrent de son cou et le visage de sa petite sœur à la chevelure ébouriffée vint se plaquer fermement contre son torse, l’empêchant d'entreprendre une quelconque tentative d’évasion. « Joyeux anniversaire, grand frère ! » Décidément, il ne s'habituait pas à tout ça et ne s'y ferait probablement jamais. Même après toutes ces années, il avait eu tellement de chance de les trouver tous les deux. Mais, cette ambiance familiale et chaleureuse, ces sourires sincères et ces yeux emplis d'étoiles, ce n'était pas ce qu'il lui fallait. Il ne se sentait pas chez lui, il ne se sentait pas digne de leur affection. « Merci. »



Depuis les premières heures du jour, la pluie n’avait cessé de tomber, pourtant Leoftan se tenait toujours dehors, droit et crispé sous le parapluie transparent qu'il tenait au dessus de sa tête. Il était, depuis ce qu’il semblait être une éternité, muré dans un silence qui paraissait à la fois accablé et menaçant. Il ne prêtait aucune attention aux personnes qui évoluaient autour de lui, se moquant de leurs regards insistants ou de leurs murmures bienveillants. Devant lui se tenait une tombe grise où le prénom de sa femme était gravé, accompagné du nom de sa famille et de son propre nom, celui même qu'il lui avait légué une fois les promesses scellées, ce beau jour où tout semblait encore leur être possible. Il ne parvenait pas à en détacher son regard. C'était tout ce qu'il voyait. De la poudre de perlimpinpin aux yeux. Plus rien. Abandon. Il se le répétait en boucle, comme un mantra, debout sous la pluie. Un véritable cliché. Il aurait détesté se voir ainsi, incapable de bouger, mais en cet instant, il avait à peine la force de reprendre son souffle. Elle l'avait abandonné, elle aussi. C'était comme un Leitmotiv. Peut être que si il se le répétait assez souvent, l'information allait enfin lui sembler réelle et ainsi il pourrait la haïr, elle aussi. Elle était morte. Ça avait été si soudain, si inattendu. Une visite d'un de ses coéquipiers policier en pleure, un soir et tout s'était écroulé. Son métier de criminologue qu'elle prenait très à cœur avait toujours fait planer une menace, mais jamais Leoftan ne se serait attendu à perdre sa bien aimée en un instant. Elle l'avait abandonné. Le choc l'avait laissé sans voix, lui avait coupé le souffle et broyé le cœur. L'amour avait toujours été une notion abstraite chez l'orphelin distant pour qui exigence, froideur et maîtrise étaient les maîtres mots, mais ça ne l'empêchait pas, à sa manière si peu perceptible, d'aimer. Elle l'avait abandonné. Et maintenant, il était trop tard. Les larmes qui avaient coulées dans le plus grand des silences depuis l'annonce s'étaient taries, laissant au jeune veuf des yeux rougis et des joues marquées qui ressortaient vivement sur le teint pâle de sa peau. Même dans son deuil, il se montrait digne et intouchable, comme sa femme avait l’habitude de le voir. Pourtant au fonds de lui les sentiments faisaient rage et il avait du mal à discerner ce qu'il ressentait exactement. La douleur et la rage se mêlaient dans une valse qui lui donnait le tournis. Une partie de lui voulait se recroqueviller à même le sol pour ne plus en bouger tandis qu'une autre part réclamait une rancune terrible. Puisqu'elle l'avait abandonné, elle aussi.


Névrosé. Perdu. Faible. Leoftan était assis sur le canapé, sa tête entre ses mains et ses coudes appuyés contre ses genoux. Abandonné. L'aiguille était couchée sur la table basse devant lui, le défiant de ne serait-ce que la frôler, ne serait-ce que d'y penser une seule seconde. Il la fixa un instant seulement, qui sembla durer une éternité, et inconsciemment, se mit à frotter nerveusement le creux de son avant-bras ou les vieilles cicatrices des injections précédentes se dessinaient encore clairement. « C'est comme ça que tu comptes avancer, Leo ?! » La voix de la raison, celle de sa petite sœur. Ses yeux se fermaient doucement alors que son esprit, assaillit de monstruosités le faisait douter de tout, d'un rien, de lui, d'elle, de tous. Son regard demeurait absent, brouillé par un voile de déni, de peine et de haine camouflée sous un chagrin infini. « Vas t'en, laisse moi... J'y suis habitué. » Un rire froid et amer s'extirpa non sans mal des lèvres rougies de Leoftan. Pourtant, il le savait, elle ne le laisserait pas ce soir. Mais pour combien de temps ?


Silencieux et concentré, Leoftan repensait à cette lettre étrange qu'il avait reçu il y a de cela quelques jours. Anonyme, elle sollicitait ses qualités de détective pour enquêter sur la disparition mystérieuse d'une française, à Manhattan. Méfiant, bien qu'intrigué, il l'avait simplement jetée aux oubliettes. Si l'on ne venait même plus directement à sa rencontre pour lui poser clairement les faits, il n'allait surement pas se donner la peine d'y prêter un quelconque intérêt. Pourtant, le fait était là; son esprit curieux avait été piqué d’intérêt, et il était trop tard pour prétendre le contraire.

L'appel sourd de la sonnette retentit dans la pièce, lui décrochant un grognement de mécontentement. Qui que ce puisse être, il était certain que cette personne passerait un sale moment. Ces derniers jours, l'anglais avait le mal du pays et les nerfs particulièrement à vif. Lorsqu'il ouvrit d'un geste brusque la porte d'entrée, il fit face à... Un gamin. Enfin, c'était assez réducteur, mais l'écrivain était agacé, ceci expliquant son manque d'objectivité. Les yeux plissés, il le considéra alors plus minutieusement, mais, rien à faire, même en mettant sa mauvaise humeur de côté, le jeune homme se tenant face à lui n'était et ne resterait qu'un gamin à ses yeux. Il ne devait pas même avoir la trentaine. Assez petit, brun aux yeux tout aussi foncés, hagards, aisément comparable à ceux d'un pitoyable chiot abandonné. La silhouette et les traits particulièrement fins, gracieux, féminins. Mmh... Contre toute attente, il se surprit à voir bien vite ses pensées divaguer, laissant place au doute, à la curiosité, l'intérêt. Il avait peut être quelque chose de spécial, finalement, ce gamin. « Bon... Bonjour monsieur White, j'espère que je ne vous dérange pas... Euhm, avez-vous reçu une lettre ? Je... J'ignorais comment m'y prendre, en réalité je ne sais pas trop comment vous procédez... » Le détective retira immédiatement ce qu'il avait bien pu penser quelques secondes auparavant du jeune homme. Il n'avait rien de spécial, ou plutôt, si, il était spécialement énervant, mais rien de bien glorifiant. De plus, à en juger par son petit accent agaçant, il était français. Ce jeune idiot n'était autre que L'idiot en titre qui avait osé occuper son esprit insatiable ses derniers temps, avec sa maudite lettre, sa maudite enquête et maintenant sa maudite présence indésirable... Les sourcils froncés, Leo fusillait littéralement le jeune inconnu du regard, s'il lui était possible de s'enfoncer dans le béton pour ne plus jamais en ressortir et ne plus devoir affronter un tel regard, nul doute que le gamin l'aurait fait sans broncher. Relevant le menton, plus haut encore si ce n'était possible, Leoftan ne montra pas la moindre once d’intérêt face à ses explications, ou plutôt, ses bafouillements et se contenta de les ignorer. « Et vous êtes ? » Sa voix claqua, froide et sans appelle. Tout penaud et rouge de honte, le jeune français mis ses mains derrière son dos et afficha un maigre sourire timide avant de lancer, sur un ton qui se voulait chaleureux alors qu'il clamait son manque évidant d'assurance. « Ohh... Oui, je ne me suis pas présenté, je suis vraiment désolé ! Je m'appelle Roméo, Roméo Faucigny et la jeune femme que je recherche est ma grande sœur. Pensez-vous pouvoir m'aider, vous savez, j'ai de quoi vous payer et... » Leo roula des yeux et leva simplement la main en signe de protestation. Pause. Ce français juvénile jouait dangereusement avec ses nerfs, sans même le savoir et ni même penser à mal. « Eh bien ! monsieur Roméo Faucigny, je pense en tout cas pouvoir vous conseiller de ne plus m'envoyer de telles lettres, de rentrer bien sagement chez vous et de m'oublier. Je vous souhaite une bonne journée. » La dernière phrase avait été énoncée dans un français parfait, ou presque. Un petit sourire caustique vint se faufiler sur ses lèvres durant quelques secondes, puis, sans un mot ni un regard de plus, il referma la porte. Avant de partir, déçu et ébranlé, Roméo avait attendu quelques secondes au pas de la porte, puis avait glissé sous cette dernière une carte avec son numéro inscrit dessus. Qui sait ? Peut être changerait-il d'avis ?