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Invité « Invité » | Sujet: Re: + le ctrl+v. Sam 15 Juil - 16:36 | |
| - Code:
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Evelyn (15/07) Mdr ♥ |
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Evelyn Blake « Admin + queen of hearts. » pseudo : sweet poison (anaïs).
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| Sujet: Re: + le ctrl+v. Sam 15 Juil - 16:37 | |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: + le ctrl+v. Sam 15 Juil - 16:44 | |
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Evelyn Blake « Admin + queen of hearts. » pseudo : sweet poison (anaïs).
arrivé(e) le : 23/06/2017
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| Sujet: Re: + le ctrl+v. Sam 15 Juil - 16:56 | |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: + le ctrl+v. Sam 15 Juil - 17:14 | |
| - Citation :
- est-ce que c’est méchant ?
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Jonah Reeve « Admin + queen of hearts. » pseudo : MARY-W. /marie.
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| Sujet: Re: + le ctrl+v. Sam 15 Juil - 20:53 | |
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Asteria Drake « Admin + queen of hearts. » pseudo : sweet poison (anaïs).
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| Sujet: Re: + le ctrl+v. Sam 15 Juil - 21:34 | |
| - Citation :
- Il ne pouvait pas savoir de quoi serait fait le futur Aodren. Même les prochaines heures, elles lui paraissaient bien floues, alors qu’il ne savait pas vraiment tout ce que les baisers qu’ils avaient échangés voulaient dire, pour Tessa. Il aurait pu demander, parler d’autre chose que de leurs estomacs, de churros et de bière, entrer directement dans le vif du sujet pour savoir ce que Tessa pensait de tout ça. Il n’en avait pas envie, pas maintenant. Pour l’heure, il pouvait se dire que ces baisers, ça voulait dire qu’ils étaient sur la même longueur d’onde, et ça lui faisait du bien. Plus tard, peut-être que ce ne serait plus le cas, peut-être qu’elle lui ferait comprendre qu’elle ne ressentait rien pour lui, rien de plus que ce qui faisait de lui son meilleur ami. Il n’en savait rien, mais il n’avait pas envie d’y penser. Il n’en était pas non plus à s’imaginer le bonheur parfait au point de décider, dans un coin de ses pensées, la date de leur mariage et les prénoms de leurs enfants. Quoi qu’ils soient, ils avaient le temps d’en parler, ils avaient le temps de préparer leur avenir, d’enchainer les étapes à leur rythme. Il ne savait pas trop ce qu’il attendait de l’avenir de toute façon. Une vie simple sans doute, rien d’extravagant, de préférence, rien de trop déprimant, ça changerait, pour une fois. Tessa, il semblait bien qu’elle lui avait fait comprendre, quelques instants plus tôt, qu’elle voulait des enfants, mais c’était pas franchement le truc à prévoir après un premier baiser, c’était pas non plus la discussion sérieuse à avoir dès le début d’une histoire. L’avenir, il serait comme il serait, il n’avait pas envie de trop y penser, pas maintenant, pas tout de suite. Au pire, ils pouvaient toujours commencer par prévoir leurs vacances ensemble, parce que l’offre qu’il lui avait faite, elle tenait encore évidemment, à condition sans doute que les réponses aux questions qu’il se posaient ne vienne pas tout gâcher entre eux.
Il avait besoin de savoir dans le fond, mais il n’était pas sûr d’être prêt à affronter la réalité, si celle-là ne devait pas correspondre à tous les rêves qu’il pouvait avoir dans un coin de sa tête. C’était pour ça que ça avait été si compliqué de parler ou qu’il avait eu l’impression d’avoir besoin de tout le courage du monde pour revenir vers elle et l’embrasser comme ça. Y avait toujours un risque et il n’avait pas envie d’y être confronté. Peut-être qu’ils étaient particulièrement doués pour prendre la fuite alors, tous les deux. Ça leur faisait un point commun alors et y en avait plein qui disaient des trucs du genre ‘qui se ressemble, s’assemble’ alors c’était plutôt bon signe pour eux. Y en avait d’autres, des bons signes. Ils savaient vivre ensemble parce qu’ils le faisaient depuis un moment. Ils se connaissaient bien, ils connaissaient les goûts de l’autre et même sexuellement, ils en connaissaient déjà un rayon l’un sur l’autre alors, y avait pas de raison, si Tessa voulait bien de lui, ils devaient pouvoir réussir à construire quelque chose, tous les deux, à leur rythme. « C’est toi qui a ramené ma faim sur le tapis en premier. » C’était elle qui avait commencé avec les réplique post-baiser parlant de bouffe, il n’avait fait que la suivre lui. Qu’est-ce qu’il aurait voulu dire de toute façon ? Il n’en savait rien dans le fond. « Ça me toucherait, que tu te préoccupe de mon estomac. » Comme si ça pouvait ressembler à une grande déclaration d’amour, il attrapa sa main, celle qu’elle avait eu tout près de son torse, dans la sienne. « Bha écoute, si tu veux y aller, vas-y. » Puisqu’elle semblait insister pour lui prouver qu’elle pouvait marcher, alors qu’il lui proposait bien gentiment d’y aller, elle pouvait le faire, ou alors, ce serait à celui des deux qui aurait le courage de s’éloigner en premier, ça semblait être compliqué quand même, de se révéler et de s’éloigner de Tessa. « Bha oui et après, faudrait que je vienne payer ta caution, parce que tu te serais faite arrêter pour vol de churros, tu te rends compte de la gravité du crime quand même ? » Même s’il rigolait, un vol, c’était un vol dans le fond, alors, même s’il avait très faim, il préférerait que Tessa n’ait jamais rien à voler pour lui. « J’avais de l’argent dans la poche quand je suis allé chercher les bières et maintenant j’ai … » Il plongea sa main dans la poche de son jean pour en sortir quelques pièces, y avait probablement même pas un dollar là-dedans. « Pas assez pour acheter des churros. » Pas assez pour que dalle. Il remit quand même les pièces dans sa poche, histoire de ne pas laisser trainer sa fortune n’importe où. » Je me battrai pour toi alors. » Evidemment qu’il le ferait, si jamais ses amants n’étaient pas fictifs. « Celui qui embrasse le mieux alors … » Il lâcha finalement sa main, pour pouvoir la replacer contre sa joue, la deuxième prenant place contre sa hanche avant qu’il ne vienne l’embrasser à nouveau. Y avait vraiment de quoi devenir vite accroc aux baisers avec Tessa. Il y mettait les formes, pour que ce soit un beau vrai baiser, qui en valait la peine, c’était une compétition qu’il avant l’intention de gagner, après tout. |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: + le ctrl+v. Sam 15 Juil - 22:47 | |
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Rafe Hollins « Admin + queen of hearts. » pseudo : MARY-W./marie.
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| Sujet: Re: + le ctrl+v. Dim 16 Juil - 0:10 | |
| - Citation :
- Généralement en plein Central Park, durant des événements publics qui rameutaient plein de gens comme ça, la nourriture et toute boisson un tant soit peu fraiche étaient toujours hors de prix. Force de l’habitude, la blonde avait fini par parfois, embarquer avec elle de quoi n’pas crever de faim ou finir asséchée au milieu des jardins verdoyants de cet endroit - ouais, elle était radine comme ça, Tessa. Ou économe, elle dirait, elle; quelque-chose qu’elle avait appris de ses parents, et qui n’avait jamais été un avantage non-négligeable. La bière, ça n’faisait pas de mal, et c’était Aodren qui avait proposé; et sûrement même qu’elle se serait elle-même levée à un autre moment pour lui proposer quelque-chose aussi, parce que c’était comme ça quand on venait à deux, on n’faisait pas le radin avec ses propres trucs, en se moquant de l’autre qui n’avait rien prévu. Non, évidemment que non, la blonde n’était pas radine quand c’était avec l’Adkins; elle n’était pas radine avec qui que ce soit, à vrai dire. Tessa était réputée pour être une amie généreuse, qui n’comptait ni les efforts, ni les attentions, ni les cadeaux et l’argent qu’elle dépensait pour les autres. Mais s’faire enfler à payer dix dollars deux verres de bière alors qu’on pourrait acheter tout un pack au même prix au supermarché, très peu pour elle - y’avait une différence entre être généreux, et être un pigeon. Et Tessa, être un pigeon, elle voulait bien le faire une ou deux fois par an, à la limite, pour les grandes occasions. Quoiqu’il en soit, techniquement, la jeune femme n’était pas en train de mourir de faim, de soif ni même d’ivresse en plein milieu des jardins de Central Park - elle savait évidemment, que même juste en tant qu’ami, Aodren s’assurerait de son bien être, tout comme elle s’assurerait du sien. Elle l’avait déjà consolé avec une bonne soupe quand il avait été malade, quand bien même il n’avait rien demandé; et il l’avait, lui aussi, consolée avec des mixtures bizarres, un excès de nourriture dramatique, ou juste de la glace, selon les occasions, si elle avait eu des crampes d’estomac, le coeur brisé, ou n’importe quelle frustration au travail. Ils partageaient beaucoup de choses, Aodren et elle, tout le temps, constamment, peut-être même que c’était devenu si habituel et normal pour eux, qu’ils n’s’en rendaient même plus compte désormais: quand ils mangeaient ensemble, qu’elle larguait ses jambes par-dessus ses genoux à lui pour mieux se vautrer sur le canapé, quand ils parlaient de choses et d’autres avec une facilité déconcertante; et tout ça allait jusqu’à des gestes de tendresse tout à fait anodins, qui feraient effet d’alerte rouge, dans certaines autres relations d’amis. Il lui avait déjà caressé la joue, Aodren, après tout; parfois, ç’avait même été si gentil et si réconfortant, qu’elle s’était endormie dans ses bras, et qu’il avait été récompensé par une belle trace de bave sur ses vêtements. Glamour. Au moins, elle n’avait plus aucun mythe à faire subsister en quoique ce soit avec Aodren, quand bien même, si près de lui, la blonde s’retrouvait déjà à regretter d’avoir les cheveux comme ça, un fin voile de sueur sur le front à cause de la chaleur étouffante de l’été, et d’avoir choisi les vêtements qu’elle portait. Non, elle n’s’était certainement pas préparée à lui faire une grande déclaration d’amour en plein coeur de la Gay Pride à Central Park. Et de toute manière, elle n’avait pas fait de déclaration d’amour, hein? Hein? Parce qu’elle n’voulait pas. Enfin, pas comme ça. Et pas maintenant. Et pas... et pas quoi? Comme une conne, Tessa était bien contente qu’ils n’soient pas en train de parler, de s’regarder dans le blanc des yeux comme deux adultes responsables qui savaient qu’ils devaient être sérieux - et pourtant, elle en avait envie tout autant, à chaque battement précipité de son coeur contre ses côtes.
Peut-être que ça aussi, c’était comme les pansements, fallait le faire vite et bien; et peut-être alors qu’elle saurait quoi faire de ces baisers, dont elle était persuadée d’encore sentir l’empreinte, comme inscrite au fer rouge dans sa mémoire. Un songe qui la pourchasserait, pour toute la journée encore, toute la nuit; peut-être n’devait-elle pas tenter le diable à essayer d’faire en sorte qu’il l’embrasse encore, parce qu’elle était sure qu’elle allait finir par en perdre la tête, Tessa. Et pourtant, à force d’en partager, à force d’en connaître des plus ou moins symboliques, Tess s’était crue rodée aux premiers baisers - mais ça faisait belle lurette, sans l’ombre d’un doute, que les lèvres d’un homme, d’une femme, de n’importe qui, n’lui avait pas fait ressentir autant de choses. Des mots qu’elle n’pouvait pas dire, des mots qu’elle n’saurait même pas dire, peut-être parce qu’elle n’était pas poète, et même pas capable de décemment choisir les phrases qu’elle lâchait. Elle n’avait certainement pas réfléchi avant de revenir sur cette fameuse histoire de portefeuille - comme quoi, peut-être qu’elle était un peu radine, à penser au fric au beau milieu d’un baiser avec son meilleur ami. Son quoi? Soudainement, elle n’savait plus comment le nommer, Aodren; parce que meilleur ami, ça faisait bizarre - il l’avait pourtant embrassée à bien d’autres endroits, beaucoup plus intimes, sous le statut de ‘meilleur ami’ . Mais, mais, c’était pas pareil. Du moins, elle l’espérait, intérieurement, secrètement, avec des mots qu’elle n’mettait pas en voix, comme si elle s’attendait à ce qu’Aodren le devine - bordel, allaient-ils être coincés à nouveau, juste avec les bonus des baisers ici et là, en plus du reste? Comme quoi, il semblait que pour eux, le physique c’était plus facile que tout le reste - et pourquoi, hein? Tessa, ouais, elle savait qu’on pouvait coucher avec un mec sans avoir de sentiments pour lui - et même avec une nana, on pouvait faire ça. Elle savait qu’on pouvait même faire des trucs un peu fantaisistes, sans que ça n’signifie la fin du monde. Elle avait déjà couché avec des hommes et des femmes, sans que ça n’signifie rien, des gens à qui elle avait même offert un dernier baiser le matin pour dire au revoir, avant de passer à autre chose, le plus facilement du monde. Mais elle n’voulait pas coucher avec Aodren. Enfin, pas comme ça. Et peut-être pas maintenant, et peut-être pas dans ces circonstances-là, et puis... et puis merde, elle n’voulait juste pas qu’Aodren soit dans ces gens-là, qu’il veuille être dans ces gens-là, et qu’il s’en ‘contente’, comme il l’avait dit. Ouais, peut-être qu’elle n’voulait pas non plus changer tout d’suite son statut facebook, crier sur les toits, que les choses avaient changé - qu’est-ce qui avait changé? - entre Aodren et elle. Pas aujourd’hui, pas sur un baiser. Et quand? Elle-même n’avait pas la réponse, presque terrifiée de sortir du chemin bien défini de la discussion sur les churros, tiens - ils allaient finir par parler de churros pour le restant de la journée. Ils auraient l’air bien cons, avec ça. « J’suppose que je me préoccupe de ton estomac, alors... » répondit-elle dans un sourire, une main glissant naturellement vers ses côtes à lui - elle n’y connaissait rien en anatomie, mais il avait compris l’idée, hein, avec son air tendre à Tessa, ses yeux brillants. Elle se préoccupait de lui aussi, et au-delà des blagues évidemment, et au-delà des churros hors de prix d’ici. Et elle espérait qu’il le savait. Et pourtant, tout autant qu’elle s’en préoccupait - et c’était vrai, hein - elle ne bougea pas pour autant; lui non plus il n’avait pas bougé jusque-là, quand bien même à parler de sandwiches, de hot dogs et de churros, elle allait vraiment faire crise d'hypoglycémie. Genre un truc psychosomatique, ou elle n’savait quoi. « J’serais jamais arrêtée, j’cours très vite tu sais... » juste pour garder contenance en s’imaginant s’faire courir après par tout le parc pour des churros, Tessa dut se mordiller la lèvre - ça, c’était vraiment la leçon de morale dont elle avait eu besoin, tiens. « Au moins je sais déjà que tu paierais la caution. » puisqu’il venait de le dire, et elle en était bien contente, du bout de ses doigts égarant une caresse le long de son bras, qu’elle connaissait aussi pour être bien musclé, et pour lequel elle s’autorisa enfin, à avoir quelques pensées pas forcément possibles à dire à voix haute. Le truc totalement hors sujet, mais qui faisait largement passer les churros au second plan. Enfin bon, peut-être bien qu’Aodren était l’genre d’homme qui faisait beaucoup de promesses, mais ne concrétisait pas beaucoup - un petit sarcasme qui lui vint à elle-même, quand elle vit ce que ses poches contenaient, et qu’elle en rit; « Même pas d’quoi payer ma caution. » apparemment si elle volait des churros alors, elle resterait en prison. Ça éviterait qu’ils passent la soirée à philosopher sur des sujets qui ne l’intéressaient qu’à moitié, Tessa, parce qu’Aodren et elle n’étaient que deux trouillards, aux regards languissants mais aux mots fuyants. Bientôt, elle allait aller les chercher ces fameux faux amants, cueillant des hommes dans la rue, juste pour poursuivre la mascarade plus longtemps. Bientôt, ils allaient-... L’acerbe chemin de pensée de Tessa, critique envers elle-même tout autant qu’envers le brun, évidemment, fut bien vite interrompu lorsqu’elle le vit revenir vers elle. Ou peut-être fut-ce elle qui vint vers lui, tout autant, hissée par ses mains fortes, ou peut-être par son propre élan à elle. Impossible de savoir, quand son cerveau semblait battre si fort contre sa boite crânienne, au même rythme frénétique que son corps tout entier. Elle avait entendu parler, dans une série, de la fameuse théorie du pied en l’air; que si, pendant un baiser, le pied se levait de lui-même, alors c’était l’homme idéal, l’homme parfait, et le baiser sans pareil. Recroquevillée contre Aodren qu’elle était, Tessa le sentit, pourtant, le frisson électrique courir jusqu’au bout de son pied, une chaleur doucereuse faisant se crisper même le bout de ses orteils. Fondue contre les lèvres d’Aodren, perdue dans le baiser - jamais deux sans trois - qu’il lui offrit, Tessa s’en laissa presque portée, collée contre lui, agglutinée à lui comme si elle cherchait à se fondre sous sa peau, un de ses bras s’enroulant autour de sa nuque, ses doigts caressant les mèches bouclées qu’elle avait dessinées quelques minutes plus tôt. Elle se souvenait, à une époque, avoir haï ces couples qui restaient accrochés l’un à l’autre comme des aimants; elle les détesterait, Aodren et Tessa, alors. Parce que bordel, elle put jurer au moment de reprendre de l’air, que ce baiser avait duré jusqu’à la nuit tombée, les étoiles dansant devant ses yeux, son coeur battant à toute allure comme s’il avait manqué d’oxygène pendant des heures et des heures. Il n’était vraiment plus question de churros, là, même plus question de faire une petite blague - elle n’avait plus aucune contenance à sauvegarder, Tessa, soudainement fragile et à nue juste sous les yeux d’Aodren, si près de lui qu’ils respiraient le même air. Là, elle pouvait vraiment les voir, ses tâches de rousseur; « Tu sais... j’suis pas vraiment la plus grosse fan de churros qui soit. » la blonde en haussa les épaules, à peine, vaguement, une tentative ridicule alors que son coeur était juste au bord de ses lèvres, et qu’elle avait encore l’impression d’être en apnée. Les churros, ils pouvaient passer sur des petites pattes, gratuits, juste devant elle, qu’elle n’en aurait rien à foutre; elle était perdue à c’point, Tessa - perdue dans Aodren, évidemment. |
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Invité « Invité » | Sujet: Re: + le ctrl+v. Dim 16 Juil - 12:38 | |
| - Citation :
- Bienvenuuuuuuuuuuuuue Et bon courage pour ta fiche
OUAIS JE SUIS UNE FLEMASSE ! |
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| Sujet: Re: + le ctrl+v. | |
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