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not today, satan.

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MessageSujet: not today, satan. not today, satan. EmptyLun 19 Mar - 14:17

jesse corrigan


tinder sex

NOM : Corrigan, nom du pur produit irlandais qu'était son père (ou est, aucune idée), quand les origines qui coulent dans le sang du fils sont légèrement plus bâtardes : un mélange des pays celtes (Irlande, Pays de Galles, Ecosse) et d'Allemagne.  Bâtardes, on vous l'avez bien dit.
PRÉNOM(S) : Jesse, qui lui a valu à peu près tous les surnoms du monde car associé à des noms de familles bien connus (Pinkman, le plus souvent). Arthur de son deuxième prénom, que peu de gens connaissent vraiment.
ÂGE : Trente-et-un ans, et presque autant d'errance derrière lui. Si certains se prennent un coup sur la gueule au moment de souffler leurs bougies, Jesse s'est plutôt retourné la sienne en faisant l'une des plus grosses fêtes qu'il ait jamais organisé.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 4 novembre 1986 dans le Bronx (New York, USA), monsieur est du signe du scorpion.
EMPLOI : Photographe : Jesse est un total autodidacte, il a apprit tout seul et s'est perfectionné avec les années, faisant de lui l'un des photographes les plus en vogue dans le milieu de la nuit et des drag queens (sa spécialité) à New York. Il possède son studio à Brooklyn, qui est adjacent à son appartement, mais bosse majoritairement dans les boîtes de nuits et les salles de concerts.
SITUATION CIVILE : Actuellement célibataire.
ORIENTATION SEXUELLE : Who gives a fuck? Aucune étiquette n'est collé sur lui, il prend ce qui l'intéresse.
FEAT : Luke Grimes.
perfectionniste (presque despotique), en recherche constante d'approbation et de reconnaissance (même s'il ne le montrera ou ne l'admettra jamais), travailleur, ambitieux, méticuleux, refuse l'échec, ne se laisse pas aller (du moins dans sa vision des choses), très drôle, excentrique, bruyant (il aime prendre de la place dans une pièce, qu'on le remarque), pessimiste (ce qui le pousse dans des phases plus sombres, dépressives), émotif, assez fragile (encore une fois : il sait très bien le cacher), très bon comédien (il s'est forgé une carapace grâce à ça), possède une confiance en lui qui fait souvent les montagnes russes – même si elle reste le plus souvent en haut, cherche à être aimé et valoriser, physique, sensuel, loyal envers ses proches (uniquement), possède un sang-froid en dents de scie (il peut dramatiser dans des situations complètement futiles mais se montrer efficace et forts dans les moments de crise réelle), ne sait pas très bien contrôler ses émotions, peut se montrer ombrageux, boudeur et rancunier, cherchera à racheter ses erreurs auprès des personnes qui lui sont proches (pas les autres), déteste révéler ses failles ou perdre le contrôle, cherche à se protéger avant tout, créatif (il a une imagination sans bornes et sait comment utiliser ce qui l'entoure, ce qui est très pratique pour faire de la photo), professionnel, séducteur/charmeur, peut se montrer un peu arrogant parfois, sarcastique, combatif, sociable, instinctif (il a toujours cherché à suivre son instinct avant le reste), extrêmement franc.
You are not most people. You are like fire; you will burn wherever you go.

001. + À la loterie de la vie, Jesse n'a probablement pas été foutu de tirer les bons numéros dès le départ. Ça n'a pas bien commencé pour lui, à débouler en bel accident dans la vie de ses parents, pas franchement prêts à assumer un bébé aussi jeunes et dans une situation précaire comme celle dans laquelle ils étaient. Pourtant, Callagh et Mina n'ont jamais manqué d'amour pour leur fils, puis pour leur fille qui suivit quelques années plus tard. Mais comme depuis le début de notre histoire, la suite n'a été qu'une désastreuse série d'infortunes qui s'est abattu sur eux. Si Callagh avait dans le cœur la fierté irlandaise qui le poussait à croire qu'ils s'en sortiraient qu'importent les coups du sort qui s'abattraient sur eux, les services sociaux, eux, n'ont pas porté le même œil sur la question en venant frapper dans l'appartement ridiculement petit qu'ils parvenaient à peine à se payer tous les mois. Alertés par l'école de Jesse face à la dégaine qu'il se traînait en classe, Callagh et Mina se sont vu retirer leur fils, alors leur premier enfant, qui commença à six ans une nouvelle vie forcée loin de ses parents. 002. + Suite à sa séparation d'avec ses parents, Jesse a été placée dans au Children's Aid – Next Generation Center, dans le Bronx, et envoyé dans une nouvelle école, là où les autres enfants du foyer allaient également. En venant le chercher dans sa famille, on avait promis au gamin qu'il était que tout irait mieux, qu'il aurait l'impression d'être dans une sorte de colonie de vacances à l'année, et qu'il serait heureux, là-bas, ne manquant de rien. Si on lui avait décrit l'enfer à la place, probablement se serait-il sentit bien moins floué après quelques jours passés là-bas. Les enfants étaient bien traités oui. On prenait soin d'eux, on veillait à ce qu'ils ne manquent de rien. Rien d'autre que de leurs parents. Trop jeune à l'époque pour supporter une séparation sans trop de dégâts, Jesse a mis des mois à arrêter de pleurer la nuit parce qu'il voulait rentrer chez lui, bien plus longtemps encore à stopper ses crises de colère quotidiennes quand on essayait de le discipliner, où il hurlait alors que les éducateurs n'étaient pas son père. Mêlé à une foule de gamins parfois dans le même état que lui, parfois mieux, parfois pires, Jesse faisait vivre un enfer aux gens qui venaient s'occuper d'eux. Il n'en a laissé approcher qu'un seul, dont il se souvient encore aujourd'hui et qui, durant cinq années, était la seule personne capable de tarir ses larmes et d'éteindre le feu de colère qui brûlait en lui. Puis tout à vriller à nouveau quand il a dû partir, remercié à cause de problèmes financiers qui ne permettaient pas de le garder : il était parmi les derniers arrivés au CANGC, et c'est comme ça qu'ils opéraient leurs coupes dans l'effectif. 003. + Le licenciement de son éducateur en plein dans le début de la préadolescence a créé chez Jesse un raz-de-marée dont on n'est pas sûrs, aujourd'hui encore, que les ravages aient cessé. Incontrôlable à cette époque et jusqu'à son départ du foyer, il s'est tantôt amusé à faire tourner les éducateurs encore présents en bourrique, a tantôt lancé des appels à l'aide noyés sous son comportement de petit con. Régulièrement en fugue, s'il se faisait prendre en un rien de temps au début, il se perfectionna dans la matière et parvint à passer quelques nuits dehors, à tenter de retrouver les chemins jusqu'à l'appartement de ses parents et à rejoindre l'adresse laissée sur les lettres qu'ils lui envoyaient, le tenant au courant de comment les choses se déroulaient. S'imaginant que s'il parvenait à rejoindre leur appartement il aurait la possibilité de retourner avec eux, il finit par abandonner cette idée aux alentours de ses quatorze ans, résigné bien avant l'âge, et commença à profiter de ses fugues pour... prendre l'air. Respirer, s'éloigner de l'univers du foyer. Envoyé vers cet âge-là dans des familles d'accueil pour tenter une réinsertion, Jesse ne se calma en rien et continua ses fugues régulières, peu importe chez qui il atterrissait, tant elles avaient pris ce goût d'échappatoire pour lui. Si son adolescence a rapidement pris une allure d'âge adulte arrivé prématurément, où il apprit à se démerder tout seul, c'est aussi la période où il commença à déconner sérieusement. Rencontrant des gens plus vieux que lui au cours de ses vagabondages nocturnes (voire diurnes, il lui arrivait aussi de sécher les cours régulièrement) dont l'influence était tout à fait relative, Jesse commença la clope à quatorze ans, la beuh et sa première cuite à quinze, et sniffa sa première ligne de coke à dix-sept. 004. + Très loin d'être fait pour les cours, Jesse décida de laisser tomber à dix-sept ans et commença des petits boulots çà et là qui lui permirent de devenir un peu plus autonome et indépendant. Tafant tantôt dans des restaurants, des fast-foods, des magasins de vêtements (il avait réussi à chopper un CDD chez Abercrombie&Fitch, trois mois d'été durant lesquels il devait vendre des maillots de bains, vêtements et sous-vêtements en tenue de plage pour attirer clients et clientes), des boulots de gardiennage dans des hôtels loin de l'image luxueuse que l'on peut avoir de ceux de Times Square ou de Manhattan en général. Veillant à épargner toujours au moins la moitié de ses gains car pas tout à fait inconscient de sa situation, Jesse dépensa l'autre dans toutes les conneries qu'il connaissait de ses fréquentations qui allaient et venaient, tapant parfois dedans pour se payer de la weed, de la coke, de l'alcool (merci la fausse carte d'identité, qu'il a gardée en souvenirs) pour les soirées où il était invité. Il resta au foyer jusqu'à ses dix-huit ans et prit ensuite ses cliques et ses claques pour aller s'installer dans l'appartement de quelques amis. Après ça, il a su se démerder suffisamment bien pour toujours avoir un toit au-dessus de sa tête et un endroit où dormir pour éviter de finir à même le sol. 005. + On a tous quelque chose capable de nous sauver. Nous sortir la tête de l'eau ou, au pire, nous permettre de ne pas nous prendre un mur en pleine gueule, fatalement. Pour Jesse, c'est la photographie. Certains tombent dans leur passion quand ils sont tout petit, lui a dû attendre sa dix-huitième année d'existence pour toucher son premier appareil photo et se prendre petit à petit d'amour pour l'art que ça représente. C'était peut-être la première fois de sa vie qu'il prenait quelque chose au sérieux, et qu'il aimait surtout une activité à ce point. Dans l'année qui a suivi, il a claqué une énorme partie de ses économies pour s'offrir son premier réflexe et pour se mettre plus sérieusement à tout ça, shootant ses amis et postant tout ça sur Facebook. Ça n'a pas été l'apogée directement, la révélation. C'est lentement qu'il a commencé à amener des gens sur sa page, continuant à bosser çà et là pour pouvoir subvenir à ses besoins à côté des séances photos qu'il organisait avec ses proches. Complètement autodidacte, c'est tout seul qu'il apprit les techniques et les aléas du système D quand les moyens ne suivent pas les besoins. À 23 ans, il décrocha son premier contrat professionnel pour shooter une petite campagne de pub, qui lui confirma que c'était ça qu'il voulait faire. 006. + Ça fait maintenant quelques années que Jesse parvient à vivre de sa passion. Si au début joindre les deux bouts était assez difficile pour lui, il peut aujourd'hui se targuer de gagner une somme rondouillarde lorsqu'il signe un contrat – ponctuel ou non d'ailleurs –, et parvient à se mettre dans la poche une somme suffisante pour se permettre de vivre une vie qu'il n'aurait clairement pas pensé pouvoir expérimenter un jour. Loin de la situation financière de ses parents (avec qui il n'a aujourd'hui plus de contact : il s'est senti trahi quand il a su qu'ils avaient eu un deuxième enfant, sa petite sœur, et qu'elle n'avait pas grandi en foyer), il peut se permettre de se payer un petit loft à Brooklyn, aménagé partiellement en studio pour certains shoots, et avec dedans un matos assez impressionnant qui ne manque pas de faire sa fierté. 007. + Jesse est dépressif. Triste constat que celui-ci à dresser, mais bien réel. Le genre de dépression, assez salope pour ne rien laisser transparaître. On met ses coups de déprime sur le dos de son caractère pouvant être assez lunatique ou sur les descentes qui suivent toujours les moments où on plane. Oh, Jesse a bien vu des médecins pour ça. On lui a filé des antidépresseurs, des anxiolytiques, et toute la liste de copains qui vont avec ça. Mais les médocs de ce genre et les antipsychotiques n'étaient pas franchement le genre de choses avec laquelle il aimait se défoncer alors.. il a tout jeté. À côté de ça, il n'est pas rare du tout par contre de le voir avec les yeux rouges, un joint au coin des lèvres, le bout du nez encore poudreux, ou l'haleine avinée. Ça, par contre, il n'arrive clairement pas à laisser de côté. 008. + Ça fait quatre ans qu'officiellement, Jesse vit seul. Officiellement seulement. Parce qu'en vérité, son appartement est tellement souvent rempli de personnes qu'il connaît (plus ou moins) qu'il a plus l'impression de vivre en colocation avec tout le quartier plutôt que de vivre seul. Ne sont pas rares les moments où il retrouve au réveil des gens en train de dormir sur son canapé ou de se servir un café, beaucoup plus sont ceux où il se rappelle de fermer la porte à clefs après être rentré chez lui. Au moins, ça donne toujours de l'animation. 009. + C'est après être passé par photographe de mode (kinda, il bossait pour les agences de mannequinats, faisait les polaroids des modèles et quelques shoots plus professionnels ensuite) puis photographe dans des salles de spectacle sur Broadway qu'il a atterri là où il est aujourd'hui, dans l'univers des drags queens. Si ça lui était avant totalement inconnu comme monde, lui paraissait même un peu bizarre, il a rapidement pris le pli et se sent totalement à sa place au milieu des perruques, du maquillage et des talons hauts qui ne manquent jamais de booster son imagination et son inspiration. Les explosions de couleurs, de matières, de paillettes et de maquillages lui permettent de mettre à profit tout ce qu'il a appris au cours de ses années d'expérience, de tester de nouvelles choses, et de rencontrer des gens qui doivent être, de loin, ceux qu'il préfère. 010. + En vrac : ses inspirations musicales sont diverses, et on retrouve dans sa playlist aussi bien du vieux rock/hard rock que de l'électro que l'on entend le plus souvent dans les boîtes, clubs, salles où il travaille, en passant par de la musique « de nana » et par d'autres artistes encore – il n'a aucun animal de compagnie : ne sachant déjà pas s'occuper de lui-même, il a au moins la présence d'esprit de ne pas prendre le risque de faire mal finir une bestiole innocente ; par contre, il les aime beaucoup – il n'est pas rare de le trouver en train de danser chez lui, que ça soit quand il est seul ou en plein photoshoot dans la partie studio : il s'avère qu'il sait très bien bouger les hanches, n'est-ce pas – l'arrogance dont il peut  faire preuve ne va pas jusqu'à le pousser à raconter à qui veut l'entendre la liste des personnes célèbres avec qui il a pu travailler, même si elles sont assez nombreuses – il aime le sexe, c'est indéniable, et ne porte aucune importance au genre de la personne qui partage son lit, mais plutôt aux sensations qu'elle lui fait ressentir – s'il a été quelques rares fois en couple dans sa vie, il n'a pourtant jamais été amoureux jusqu'à présent, et n'est même pas sûr qu'il en reconnaîtrait les symptômes s'il venait à les éprouver à un moment donné – c'est un bon ami, vraiment, mais ne vous avisez pas de l'abandonner ou il ne le pardonnera pas, ayant déjà très mal vécu son histoire familiale – histoire familiale dont il ne parle d'ailleurs jamais, donc n'essayez pas de savoir d'où il vient : à l'heure actuelle, il n'en a discuté qu'avec son éducateur, au foyer, et s'est ensuite montré fermé à ça.


l'avis de votre personnage sur le site de rencontre matchmaker.
Oh, oui, Jesse possède un compte sur MatchMaker. Si c'est parce qu'il espère y trouver l'amour ? Certainement pas. Il n'a jamais cru en l'informatique pour ce genre de truc, et à moins de tomber amoureux comme on claquerait des doigts, selon lui personne ne pourrait trouver l'amour dessus. En utilisateur régulier, il se serre surtout de l'application quand il n'a pas envie de sortir pour draguer et s'envoyer en l'air. La seule bonne utilisation pour lui, c'est le but de trouver un one night stand et, dans le meilleur des cas, un plan cul au cas où le feeling passerait avec la personne rencontrée. En dehors de ça... ouais, non, c'est pas franchement pour lui. D'autant plus, il pourrait totalement s'imaginer se passer de ça, loin d'y être accro ou quoi que ce soit du genre. Aussi, il s'est montré très cash sur son profil pour ne pas se retrouver coincé dans des histoires faussement dramatiques qui l'ennuieraient plus qu'autre chose.


Faustine

âge + 22 ans. disponiblité + comme sous Sahar. fuseau horaire + français. personnage + totalement sorti de ma caboche. où avez vous connu le forum + j'y suis déjà.  :creep:  qu'en pensez vous + tellement on est mal accueillis, j'ai eu envie de me dédoubler dessus.  :uu: en vrai, vous savez déjà que je l'aime, c'est clairement pas une surprise. I love you votre mot de la fin + partyyyyy.


Dernière édition par Jesse Corrigan le Mar 20 Mar - 12:06, édité 24 fois
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MessageSujet: Re: not today, satan. not today, satan. EmptyLun 19 Mar - 14:17

hate is foolish. and love is always wise.

la fiche chronologique
4 novembre 1986 + Naissance de Jesse Arthur Corrigan, fils de Callagh et Mina, dans le Bronx à New-York. Premier enfant du couple, arrivé par accident et dans la surprise la plus totale (sa mère avait fait un déni de grossesse), dans une situation assez précaire mais sans manquer d'amour. février 1991 + Les services sociaux débarquent chez les Corrigan, alertés par l'école de Jesse qui s'inquiétait de le voir venir dans des habits ne convenant pas à son âge ou de mauvaise qualité, et de constater qu'il s'endormait régulièrement en classe. Jesse est alors placé en foyer, où les premiers mois se passent particulièrement mal. Il ne peut voir ses parents qu'occasionnellement, sous surveillance d'un éducateur, et commence les crises de larmes et de colère. 1993 + Naissance de la petite sœur de Jesse, Violet, qui aura l'opportunité de rester avec leurs parents en grandissant, leurs conditions s'étant légèrement améliorer et permettant à la petite fille de grandir dans des conditions un peu meilleures que celles de son frère à l'époque. Jesse vivra mal cette nouvelle, se sentant d'autant plus abandonné. 1995/96 + Jesse se monte d'autant plus la tête en étant au foyer et commence à fuguer de plus en plus régulièrement. D'abord rapidement ramené là-bas, il apprendra à se faire suffisamment discret pour pouvoir passer de plus en plus de temps à l'extérieur, parfois même des nuits entières. Si les éducateurs ne le voit pas de cet œil, ça a un côté assez fédérateur pour lui de sortir de l'enceinte du foyer. 2000/02 + Jesse commence à fréquenter des personnes plus vieilles que lui dont l'influence est discutable. Il fume sa première cigarette, se prend sa première cuite, tire sur son premier joint, et commence à s'incruster aux soirées où il n'aurait pas été convié normalement à cause de son jeune âge. C'est aussi à cette période qu'il fait sa première fois en matière de sexe, avec une fille alors un peu plus âgée que lui, qu'il croise encore parfois aujourd'hui. 2003 + Jesse laisse tomber les cours, le lycée, et tout ce qui s'en suit pour commencer à travailler et à enchaîner les contrats à durée déterminée – et souvent courte –, économise en se faisant loger par ses amis la plupart du temps, passant quelques semaines là et quelques autres ici. À côté de ça, il continue de nourrir son côté extrêmement fêtard et prend de plus en plus l'habitude de se défoncer. 2004 + L'année où il tombe amoureux de la photographie, après qu'on lui ait collé totalement par hasard un appareil photo dans les mains. C'est le coup de foudre, l'amour passionné qu'il nourrit encore aujourd'hui et qui lui permet de sortir la tête de l'eau quand il en a besoin. La même année, il s'achète son premier réflexe, qu'il garde encore aujourd'hui comme une relique, même s'il ne s'en sert plus vraiment ; c'est probablement l'objet avec la plus grosse valeur sentimentale qu'il puisse avoir en sa possession. 2009 + Repéré par une agence de pub grâce à sa page Facebook qui aura pris un peu d'ampleur au cours des cinq dernières années, Jesse décroche son premier contrat professionnel en tant que photographe et se retrouve à shooter une publicité pour des couches culottes de bambins. Un petit cachet, un projet qui n'est pas extrêmement stimulant pour lui, mais qui lui permet de mettre un pied dans le milieu et de commencer sa quête d'avancement, poussé par une ambition sans failles quant à l'idée d'aller plus loin. 2012/2014 + Jesse est officiellement diagnostiqué comme étant une personne dépressive par son médecin, qui commence à lui donner des antidépresseurs, anxiolytiques, et anti-psychotiques pour tenter de l'aider à s'en sortir (officiellement, d'après Jesse, c'était surtout pour l'assommer et l'empêcher de ressentir quoi que ce soit). Au bout de deux ans à prendre des médicaments, Jesse décide de laisser tomber et de se laisser porter par ce qui pourrait bien lui arriver, les hauts et les bas, parce qu'il ne supporte plus la moyenne constante morale dans laquelle il se trouve, et a envie de se sentir bien comme il pouvait le faire avant, qu'importe si les mauvaises phases sont d'autant plus fortes. 2014 + Il abandonne l'idée de vivre en colocation, se jugeant assez responsable (point à remettre cependant en question) pour vivre seule plutôt qu'avec d'autres personnes. Il s'installe dans un petit loft à Brooklyn et y aménage par la même occasion un studio photo. 2015 + Il décroche son premier contrat à Broadway ! Commence à photographier les musicals et autres pièces qui s'y jouent tous les soirs, se spécialise grâce à ça dans le monde du spectacle, sous le charme duquel il tombe immanquablement. 2016 + Commence à bosser dans les clubs gays et les spectacles de drag queens, se laisse totalement porter par cet univers où il se trouve étrangement à sa place. C'est de loin le taf qu'il a préféré avoir dans sa vie jusqu'à présent, raison pour laquelle il ne l'a jamais lâché et ne compte pas le faire.


Dernière édition par Jesse Corrigan le Mar 20 Mar - 14:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: not today, satan. not today, satan. EmptyLun 19 Mar - 15:04

Rebienvenue I love you
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Rafe Hollins
Rafe Hollins
« Admin + queen of hearts. »

pseudo : MARY-W./marie.
arrivé(e) le : 19/06/2017
Messages : 11161
avatar : bob morley, le parfait.
crédits : @my love (avatar), tumblr (gifs) + uc (quote).
Points : 383
âge du perso : trente-deux ans.
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MessageSujet: Re: not today, satan. not today, satan. EmptyLun 19 Mar - 15:19

rebienvenue iciiiii :aw: :tongue: :tongue:
bonne chance pour cette fiche :héé: :ange:
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MessageSujet: Re: not today, satan. not today, satan. EmptyLun 19 Mar - 17:21

merci à vous, j'espère que Jesse vous plaira. :héhé:
hésitez pas si vous voulez des liens d'ailleurs. :hihi:
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MessageSujet: Re: not today, satan. not today, satan. EmptyLun 19 Mar - 18:03

Rebienvenueeeeeeeee :waii: J'adore sa petite bouille à ce photographe qui je suis sûre pète la classe ! Courage pour le reste de ta fiche
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MessageSujet: Re: not today, satan. not today, satan. EmptyLun 19 Mar - 21:02

Rebienvenue (:
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MessageSujet: Re: not today, satan. not today, satan. EmptyLun 19 Mar - 21:39

baby. :luvu: :luvu: :luvu:
dépêche-toi de finir cette fiche pour qu'on fasse des bêtises partout, partout, partout. :hihi: :a: :a:
kisses on your ass :tongue:
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MessageSujet: Re: not today, satan. not today, satan. EmptyMar 20 Mar - 11:07

oH OUI UN AUTRE PERSONNAGE A SUIVRE :gaa: /me désactive le mode fangirl Arrow rebienvenuuuuue :cutie: et bon courage pour cette nouvelle fiche qu'on a tout·e·s hâte de lire :lilheart:
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Anonymous
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MessageSujet: Re: not today, satan. not today, satan. EmptyMar 20 Mar - 14:48

merci à vous. :smiile:

@aaron whikes hello beauty queen. :aw: :blaase:

@anna goldsmith beaucoup trop mignonne, pour les peines je veux que tu me réserves un lien avec jesse aussi. :luvu:
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