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| (malia), you are my lifeline. | |
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Sven Wheeler « Admin + queen of hearts. » pseudo : sweet poison (anaïs).
arrivé(e) le : 02/08/2017
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| Sujet: (malia), you are my lifeline. Mer 7 Mar - 22:23 | |
| i promise you, i'll make it right. Toute cette histoire avec Lissa avait tendance à lui envahir l’esprit à Sven. Il savait que cette histoire n’avait aucun sens et il pouvait dresser toute une liste de raisons qui pouvaient justifiait ça, tellement il passait son temps à y réfléchir. Le truc, c’était qu’il y avait un vrai conflit entre ce que voulait son cœur et ce que lui dictait sa raison et n’importe qui lui dirait que s’il se mettait à n’écouter que son cœur, ça ferait de lui le pauvre gars qui plongeait en plein dans la crise de la cinquantaine. C’était souvent ce dont on parlait, quand on voyait des gens de son âge, avec des femmes comme Lissa. Il passerait pour ce vieux gars qui avait besoin de se taper une jeune parce que c’était la crise de la cinquantaine, on ne pouvait pas lutter. Il ne voulait pas être ce genre d’homme, il n’était pas comme ça de toute façon. S’il avait commencé à fréquenter Lissa, ce n’était pas parce qu’il s’était réveillé un beau matin en se disant qu’il voulait refaire sa vie avec une femme beaucoup plus jeune que lui, parce que c’était la classe à son âge. Non, Lissa, il avait commencé à la fréquenté, parce qu’il avait aimé leurs discussions, il avait aimé sa façon de voir les choses, il avait aimé la personne qu’elle était et ce n’était pas une question d’âge. Mais dans une relation comme la leur, est-ce que ce n’était pas ce qui allait systématiquement revenir dans le jugement des autres ? Il était un type en pleine crise de la cinquantaine et elle, elle était cette pauvre fille mentalement perturbée qui avait besoin de gérer ses ‘daddy issues’ en fréquentant un homme beaucoup plus vieux qu’elle. Il voudrait s’en foutre de ce que pouvait penser les autres de leur relation, mais ça allait bien au-delà de ça. C’était une question de logique, pour son avenir à elle, qui était forcément plus long que le sien, pour ces choses qu’elle pourrait vouloir un jour et dont il ne voulait pas lui. Pour Malia aussi, qu’est-ce qu’elle, elle dirait si elle savait que son père sortait avec sa meilleure amie ? Il était à cet âge où on pouvait tout lui prendre sans que ce ne soit trop grave, il pouvait tout perdre, mais pas Malia.
Elle était sa fille et il l’aimait plus que tout au monde. Elle était ce bébé, tant désiré et issu d’un mariage qui l’avait comblé de bonheur, mais qui s’était terminé de façon tragique. Il l’avait tellement laissée tomber pendant des mois, alors même que son rôle de père, ça avait été de veillé sur elle, que toute une vie passée à essayer de se rattraper, ce ne serait jamais suffisant. Malia, elle passait avant tout le reste. C’était l’évidence qui l’avait poussé à écouté sa raison, plutôt que les caprices de son cœur. C’était aussi ce qui le motivait à continuer comme ça, quand bien même il regrettait de ne plus avoir Lissa dans sa vie. Il passait ses journées et presque ses nuits à essayer de se convaincre qu’il avait pris la bonne décision. Ecrire ses articles était devenu compliqué, tant toute cette histoire n’avait de cesse de revenir occuper ses songes et l’empêcher de se concentrer sur ce qu’il faisait, mais ça allait aller. Au moins, pour aujourd’hui, la perspective de passer un bon moment avec sa fille, l’avait motivé à fermer son esprit à tous les songes parasites, pour pouvoir terminer son article. Enfermé dans son bureau depuis plusieurs heures, il avait promis à sa fille qu’il allait venir l’aider dès qu’il aurait terminé, alors il trouva l’inspiration nécessaire pour rédiger tout ça et l’envoyer à son éditeur avant la date butoir, ça ressemblait presque à un miracle ces derniers temps. Une fois le boulot terminé, son ordinateur éteint pour le reste de la journée, il rejoignit sa fille qui semblait déjà être en train de tout mettre en place dans la cuisine. « Alors, qu’est-ce qu’on prépare ? » Il lui avait promis qu’il l’aiderait, mais il n’avait pas retenu ce qu’elle avait l’intention de faire. Est-ce qu’elle le lui avait seulement dit ? Il ne savait plus trop et il devait bien admettre qu’avec toutes les idées qui avaient l’air de passer dans la tête de sa fille, c’était difficile de tout retenir. Ce n’était pas pour rien qu’il restait celui qui était là pour la pousser à mener ses études jusqu’au bout, en guise d’assurance, si elle-même, elle finissait par se perdre au milieu de tout ce qu’elle avait la volonté d’accomplir. Peut-être que c’était juste qu’il était un peu vieux-jeu qu’il avait l’impression que la quantité d’information était trop importante dès qu’elle parlait de ses histoires de youtube. Il connaissait le site, il regardait des vidéos et en tant que journaliste, il devait bien se tenir informé de tout ce qui pouvait se passer de ce côté-là de la toile médiatique, mais bon, il était loin d’être un expert, même s’il n’avait pas besoin de sa fille pour l’aider à se servir de son ordinateur ou de son téléphone, il avait des fois un peu l’impression d’être dépassé par la façon dont le monde évoluait, comme s’il était trop vieux pour ça. Peut-être une preuve supplémentaire qu’entre lui et Lissa, c’était perdu d’avance, elle était en plein elle, dans ce monde qui le dépassait lui.
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Invité « Invité » | Sujet: Re: (malia), you are my lifeline. Dim 11 Mar - 14:40 | |
| Sa chaine youtube avançait tout doucement, mais la courbe restait croissante – quand on regardait sur une moyenne du mois, mais les vidéos avaient tendance à bien fonctionner une fois postées avant de tomber dans l’oubli, jusqu’à la vidéo suivante. Malia restait donc motivée, se rassurant en se disant qu’au moins, elle ne faisait pas comme ces chaines naissantes qui ne parvenaient pas à faire la moindre vue. Elle arrivait au moins à atteindre les cinq cents vues par vidéo, et si ce n’était pas encore à la hauteur des plus grands, c’était déjà un bon début. De toute façon, il lui fallait encore trouver ce qu’elle voulait faire de cette chaine de façon concrète. Elle avait un peu trop tendance à s’éparpiller dans tous les sens, ce qui pouvait sans aucun doute perdre quelques personnes. Mais à ce moment-là, elle avait grandement besoin d’expérimenter de nouvelles choses, mais aussi de renouer avec le monde réel. Elle sentait que ça n’allait pas fort avec Lissa et que sa meilleure amie s’éloignait, sans qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit pour la retenir. Mais il lui restait son père et quelque part, c’était le plus important pour Malia. Il avait toujours été un pilier de sa vie et elle savait qu’elle ne serait pas la même sans lui. Il avait fait son éducation, l’avait toujours soutenue et lui avait permis d’être la jeune femme qu’elle était devenue. Elle lui devait beaucoup et cela impliquait qu’elle aime passer du temps avec lui. C’est pourquoi, lorsqu’elle lut la recette d’un nouveau gâteau qu’il était possible de réaliser de façon très décorée, elle n’hésita pas un seul instant avant de proposer à son père qu’ils essayent de réaliser cela ensemble. Après tout, elle avait toujours fonctionné comme ça, testant les choses avant de les réaliser face à la caméra. C’était plus simple, moins stressant. Et Malia n’aimait pas stresser, parce que souvent, ça dégénérait bien trop vite, se terminant dans une sorte de panique qu’elle-même n’avait pas vu arriver. Alors elle s’était dit que ça pourrait être une bonne idée de proposer à son père de partager un instant avec elle dans la cuisine, afin de recommencer à préparer quelque chose ensemble, comme quand elle était enfant. Emplir cette pièce de la maison de nouveaux souvenirs, c’était quelque chose qui leur serait bénéfique à tous les deux. Après tout, cette pièce n’était pas celle qui avait abrité leurs plus beaux souvenirs, et le bras droit de Malia pouvait encore en témoigner. Mais cela, ce n’était que du passé sans importance. Ils étaient bien plus forts que ça et pouvaient passer au-dessus sans grande difficulté, comme ils l’avaient toujours fait. Malgré les épreuves qu’ils avaient eu à surmonter, ils étaient toujours parvenus à rester soudés au final, comme aucune famille n’avait dû l’être avant eux. Et c’était une fierté pour Malia que de pouvoir constater cette proximité avec son paternel, de pouvoir remarquer qu’ils partageaient toujours des choses et qu’ils ne s’étaient pas divisés comme ils auraient pu le faire pour de nombreuses raisons.
Elle avait laissé son père travailler dans son bureau et s’était chargée d’aller faire les courses pour trouver tout le matériel qui leur était nécessaire pour cuisiner. Elle pouvait bien lui épargner cette épreuve, qui n’était clairement pas nécessaire pour lui. Malia errait dans les allées du magasin, sa liste de course à la main. Elle était un peu perdue au milieu de tous ces rayonnages, surtout parce qu’elle était effrayée à l’idée d’oublier quoi que ce soit, ce qui ferait sans doute rater toute la recette – et elle n’avait vraiment pas envie de courir au magasin après coup pour aller chercher ce qui leur manquait, au pas de course. En arrivant à la caisse, elle avait de la farine, des œufs, du chocolat, de la pâte à sucre et de nombreux colorants alimentaires dans les bras, entre autre. Elle ne tarda pas à rentrer chez elle une fois le tout payé, ne trainant pas dans la rue. Après tout, il lui fallait encore tout préparer une fois arrivée. Elle ne tardait pas à regagner la cuisine, se mettant tout de suite à nettoyer le plan de travail et la table. Elle était en train de sortir la balance lorsqu’on entra dans la pièce. « Alors, qu’est-ce qu’on prépare ? » lui demanda son père en rentrant finalement dans la cuisine. Malia lui décrocha un grand sourire, heureuse de le voir. Il avait l’air ravi qu’ils puissent faire la cuisine ensemble et ça la comblait de bonheur. Elle avait vraiment besoin de passer un peu de temps avec lui, de se vider la tête. D’arrêter de penser à Lissa quelques instants, en somme. « J’ai trouvé cette recette pour faire un gâteau au chocolat. C’est vraiment un gâteau tout simple, mais le but c’est de l’habiller avec de la pâte à sucre pour lui donner un côté sympa. » Elle fit glisser le bout de papier sur lequel la recette était gribouillée, en direction de son père. Comme ça, il pouvait regarder par lui-même ce qu’ils avaient à faire. Voir que ça n’avait rien de compliqué. De toute façon, c’était le côté artistique de l’habillage du gâteau qui l’intéressait réellement. Elle n’avait jamais été très douée en cuisine autrement, sûrement un traumatisme qui remontait à son accident. « J’avais pensé à tenter un visuel sur le nouveau Tomb Raider qui va sortir. J’ai imprimé une photo pour avoir une référence. » Elle fronçait les sourcils, se demandant où elle avait bien pu abandonner cette photo, avant de se rappeler qu’elle l’avait glissée, pliée en quatre, au fond de sa poche. « Tu penses que ça rendrait bien ? » demanda-t-elle à son père alors qu’elle lui tendait la photo qu’elle venait de tirer de sa poche. |
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Sven Wheeler « Admin + queen of hearts. » pseudo : sweet poison (anaïs).
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| Sujet: Re: (malia), you are my lifeline. Sam 17 Mar - 15:11 | |
| i promise you, i'll make it right. Sven avait toujours aimé passer du temps avec sa fille. Il avait bien conscience de l’avoir laissée tomber après l’accident. Il avait perdu sa femme et son fils et le monde s’était effondré pour lui. Malia elle, elle avait perdu sa mère et son frère et il savait bien qu’elle en avait souffert, mais à l’époque il avait été ce type égoïste qui n’avait pas su tenir le coup. Il avait préféré ce noyer dans l’alcool plutôt que d’affronter la réalité en face. Les premières semaines, ça avait été occasionnel, il avait passé beaucoup de temps à boire, parce que ça faisait du bien, parce que ça permettait d’oublier un peu, de faire le vide et puis une petite cuite de temps en temps, ça ne faisait de mal à personne. Mais ça avait fini par devenir une habitude au fil des semaines qui s’était écoulées après ce tragique événement. Tous les soirs, ça avait été un verre, puis deux, puis trois et toute la bouteille, avec cette envie constante d’oublier toute la peine qui compressait son cœur dans sa poitrine et lui donnait l’impression qu’il ne s’en sortirait jamais. Après, c’était devenu une addiction, l’alcool avait coulé naturellement dans ses veines et sans qu’il ne s’en rendre compte, très vite, il n’avait plus réussi à s’en passer et c’était tous les jours la même chose, il était bourré comme une pelle et finissait soit par gerber dans les chiottes, soit par s’endormir comme un masse sur le canapé en oubliant que quelque part dans cette maison, il y avait sa fille qui avait besoin de lui. Il avait fallu un accident pour qu’il se rende compte de ses erreurs. Malia s’en était bien tirée, on lui avait souvent dit que ce n’était pas si grave que ça, mais pour lui, c’était le pire échec de sa vie. Une erreur qu’il n’avait pas l’intention de commettre à nouveau.
Depuis seize ans, il n’avait plus bu une goutte d’alcool et chaque année, on lui donnait un nouveau badge qui calculait ses années de sobriété et qu’il gardait précieusement, comme pour se souvenir du combat qu’il avait mené pour en arriver là. C’était fini aujourd’hui, il ne regardait plus les bouteilles d’alcool avec envie, il n’avait plus l’impression de devenir fou s’il ne buvait pas, mais il ne voulait pas s’y risquait, y en avait qui disait que peu importait les années, en un verre, il pourrait tout foutre en l’air, alors pour lui, l’alcool, c’était définitivement fini On lui disait aussi qu’il compensait l’alcool par la clope, c’était bien vrai, il avait été fumeur avant son sevrage et il avait augmenté sa consommation depuis cette époque mais bon, la clope tuait à petit feu et ne lui faisait pas perdre la boule au quotidien, alors ça semblait quand même mieux que l’alcool. C’était une addiction aussi, mais ça restait un peu moins dangereux. Ce n’était pas parce qu’il allait fumer qu’il allait oublier sa fille. De toute façon, il en avait grillé une dans son bureau avant de redescendre, maintenant, il était Malia en mode cuisine et il avait bien l’intention de rester concentrer là-dessus. Il était assez doué en cuisine, il avait appris avec sa mère et personne ne serait jamais meilleure qu’elle à ses yeux mais bon. Il espérait avoir réussi à transmettre un peu des compétences de sa mère à sa propre fille. Il regarda la recette que sa fille lui tendit, rien de bien compliqué à première vue, c’était le côté un peu plus artistique de la chose qui tout de suite lui semblait vraiment compliquée à réaliser. « Okay, si j’ai bien compris alors, tu veux reproduire cette photo, sur le gâteau avec de la pâte à sucre ? » Y avait plein de gens qui faisaient des trucs magnifiques sur des gâteaux, il suffisait de regarder les pièces montées des mariages pour se rendre compte que la cuisine pouvait très rapidement se transformer en une véritable œuvre d’art. « Je pense que ça peut rendre bien, mais je suis pas sûr de pouvoir t’aider pour ça. » Il lâcha un léger rire avant de hausser les épaules. « Le seul art qui me réussi, c’est la musique moi et encore. » Il savait jouer du piano et de la guitare, encore un truc qui lui venait de sa mère et qu’il avait essayé de transmettre à sa fille, mais il n’était pas non plus un grand musicien. Au-delà de la musique, mieux valait ne pas lui mettre un crayon dans les mains, il n’était clairement pas doué avec ça, alors il n’était pas sûr d’être efficace pour la décoration du gâteau. Mais il pouvait toujours la soutenir, après tout, ça il savait très bien faire, en tant que père.
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Invité « Invité » | Sujet: Re: (malia), you are my lifeline. Mar 17 Avr - 10:35 | |
| Malia avait tendu la photo de l’image qui devait habiller le gâteau en direction de son père, guettant sa réaction avec un large sourire peint sur le visage. Elle espérait qu’il trouve l’idée bonne, qu’il soit heureux de participer à ça avec elle. Parce qu’au-delà d’une nouvelle idée de vidéo pour sa chaine YouTube, c’était vraiment l’idée de passer du temps avec son père qui motivait la jeune femme. Elle appréciait l’idée qu’ils passent du temps ensemble dans cette cuisine, qui les avait déjà réunis par le passé, comme pouvait en témoigner la légère cicatrice sur l’avant-bras de Malia. « Okay, si j’ai bien compris alors, tu veux reproduire cette photo, sur le gâteau avec de la pâte à sucre ? » Les yeux de la blonde s’éclairèrent tandis qu’elle hochait la tête de haut en bas. C’était exactement ça. Elle appréciait de voir le sourire qui étendait les lèvres de son père, signe qu’il approuvait l’idée. Parce qu’au fond, c’était tout ce qui comptait : qu’ils puissent passer un bon moment ensemble, autour d’une activité qui leur plaisait à tous les deux. « Je pense que ça peut rendre bien, mais je suis pas sûr de pouvoir t’aider pour ça. » Il partit dans un léger rire et Malia fit semblant de lever les yeux au ciel. Elle était convaincue qu’il serait très doué et qu’il se sous-estimait. Après tout, il avait toujours été son super papa non ? Ça allait bien se passer, c’était obligé. « Le seul art qui me réussi, c’est la musique moi et encore. » Il était beaucoup trop modeste. Malia adorait l’entendre jouer. Cela ne manquait jamais de ramener un sourire sur les lèvres et de lui insuffler de la joie dans le cœur. C’était ce qui comptait avec la musique. Que ça véhicule des émotions. Et il y parvenait très bien. « Alors tu préfères jouer de la guitare en me regardant cuisiner ? C’est ça que t’essayes de me dire ? » Elle fit semblant de prendre un air déçu. Mais elle ne parvint pas à tenir ce visage trop longtemps. Au bout de quelques secondes, elle se laissait déjà aller à éclater de rire. « Allez, je suis certaine qu’on va se débrouiller comme des chefs. Tu te sous-estimes forcément. » Elle lui adressait un clin d’œil avant de se tourner vers les ingrédients disposés sur la table. Ils n’attendaient qu’eux. « J’ai regardé des vidéos et ça n’a pas l’air si compliqué que ça… Il suffit de retracer l’image sur un pochoir, puis de couper la pâte à sucre à la bonne taille. Puis, il faut mettre des colorants alimentaires pour parfaire le truc, et ça devient parfait. » Oui, en théorie ça avait l’air simple, mais elle n’était clairement pas une as de la cuisine ou du dessin. Seulement, ça avait l’air si facile quand c’était les autres qui s’en chargeaient, qu’elle ne pouvait que croire en ses capacités et en celles de son père. Elle haussait les épaules. « Et au pire, on aura toujours passé un bon moment ? » Elle lui adressait un sourire. C’était triste de partir défaitiste, mais elle ne voulait pas qu’il se mette la pression inutilement alors que le but premier était de passer du temps ensemble. La chaine YouTube de Malia ne passait qu’ensuite. Elle savait faire la part des choses. - Spoiler:
désolée du retard, j'avais oublié de surveiller le sujet
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| Sujet: Re: (malia), you are my lifeline. | |
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