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Theodule Williamson

tinderly yours

NOM : Williamson

PRÉNOM(S) : Theodule

ÂGE : 25 ans

DATE ET LIEU DE NAISSANCE :14 Février à New York

EMPLOI :Etudiant en droit

SITUATION CIVILE : En couple

ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel

FEAT : Neels Visser i

Intelligent✤ blagueur ✤ Attentif ✤ Romantique ✤ Désinvolte ✤ Tête en l'air ✤ Jovial✤ Hyperactif

une citation de ton choix

ENERGY +Il y a deux manière de voir la chose, lorsqu'autrui pense que je suis infatigable. La première, la plus pessimiste, et lorsque l'on préfèrerait que je n'existe pas. Que je sois ailleurs, afin d'emmerder quelqu'un d'autre pour pouvoir se reposer, ou lambiner sur un canapé tel un Couch Potato. Puis, il y a la deuxième version, plus positive, que je préfère d'ailleurs. L'infatigable type qui bouge, qui fait rire, qui régale. Le genre de mec qu'on aime avoir à ses côtés, pour rire, sortir, toujours prêt à tout donner, et ce, jusqu'à l'épuisement total. LOVE +Je ne suis tombé que rarement amoureux. Probablement parce que je n'ai jamais pris le temps de connaître la personne avec qui j'étais. Trop occupé à vouloir profiter de la jeunesse au lieu de vouloir me poser. Se poser... C'est pas comme si j'avais quarante ans et un prêt immobilier à rembourser, je suis encore jeune, et jusqu'à présent, me poser, ça résonnait un peu comme un gros mot. MUSIC +Je suis un acharné de la musique. J'adore ça. Dans la voiture, dans la rue, dans l'appart, j'écoute de la musique. Des sons qui font bouger. Pas du rap, parce que je n'apprécie pas cette façon de chanter. Le plus souvent, comme si je cherchais à m'enjailler plus que je ne le suis déjà, j'écoute du Azealia Banks en boucle. JEAN + Je n'ai jamais aimé porter de jogging. Je trouve ça bien trop étrange. Comme si l'on pouvait aimer se promener à l'extérieur vêtu comme si on allait au sport ou dormir ? Un jean, ou un pantalon plus classe, c'est quand même vachement mieux, non ? LAW + Mon père est juge, et j'ai toujours été impressionné par ce qu'il faisait dans la vie. Et bien que je sois un jeune garçon plein de répondant, et pleins de connerie, j'aimerai dédié ma vie à la justice, non pas en tant que juge, mais en tant qu'avocat. Je suis d'ailleurs, en dernière année de Master Droit. ROOMMATES + Je vis en colocation avec quatre potes, filles et garçons, nous nous entendons à merveille, à croire qu'on était faits pour vivre ensemble. Chacun ayant son rôle à jouer, chacun sa personnalité, chacun ses défauts qu'on accepte ou pas, chacun ses qualités qu'on adore ou qu'on ne peut s'empêcher je trouver énervant, ou même navrant. La vie en communauté. SAMSUNG + Je suis quelqu'un de très connecté, Facebook, Twitter, Snapchat, Instagram, tout y passe ! Je suis un acharné du réseau social. Mon Samsung Galaxy peut en attesté. Mon meilleur ami, mon fidèle ami. Aujourd'hui, je serais perdu sans lui. C'est fou, mais c'est ainsi. I PHONE + Je ne fais pas parti des personnes qui adulent la pomme croquée. Mais tout de même, l'I phone, pour sa vie professionnelle, c'est la meilleure. Ainsi, j'ai deux forfaits, deux téléphones, tout va bien dans le meilleur des mondes. MONEY + Faut pas s'mentir. J'ai une belle vie, avec un père et une mère qui ne m'ont donné que le meilleur. je n'ai jamais réellement été malheureux, ça peut énerver des gens, maisla vie est ainsi faite. J'ai grandi dans l'argent, j'ai grandi dans l'émerveillement de ne manquer de rien. Je ne sais pas vraiment ce que c'est de ne pas avoir de quoi, alors tout ce que je peux faire, c'est essayer d'imaginer de partager, et d'offrir. Darling + Cela fait deux ans que je suis avec ma copine, deux ans d'amour passionné sans que jamais je n'ai envie de me poser. Mais là, depuis un certain temps, j'y ai réfléchi. Une bague planquée dans mon tiroir à sous-vêtements. Je pense, qu'elle y restera... car elle est là, elle est partout.

l'avis de votre personnage sur le site de rencontre matchmaker.

Je ne pourrais jamais dire que je suis contre le site de rencontre de MatchMaker. Au contraire, étant quelqu'un de très connecté, comme dit plus haut, je ne serais sans doute rien, sans ce genre de site. C'est comme si les réseaux sociaux étaient devenus le prolongement de mon être. Mon téléphone, l'étendue de mon bras. Et j'imagine mal, les gens d'aujourd'hui rencontrer d'autres gens sans l'aide des réseaux sociaux, la plupart du temps, étant donné que nous ne sommes même plus capable de communiquer sans l'aide du téléphone.

Myu + Noodle

âge + 24 ans disponiblité + Autant que possible fuseau horaire + celui de Paris personnage +Inventé où avez vous connu le forum + Facebook qu'en pensez vous + Il est cool !votre mot de la fin + Tâtez mon string :slip:

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Invité « Invité »

hate is foolish. and love is always wise.

La vie mon chéri, ce n'est pas simple, l'argent, il n'y a que ça qui fait que tu es un Homme ou non. C'est cette phrase je crois, qui m'avait conforté dans ma décision de devenir avocat. Ma mère avait toujours été une femme vénale, mais avait toujours pris la peine de m'expliquer pourquoi. Ses raisons, plus ou moins louables, me semblaient plutôt justes, en sachant comment la société fonctionnait aujourd'hui. Elle avait souhaité le meilleur pour ses enfants, prendre un bon parti pour un avenir sans pauvreté, sans difficulté financière qui pourrie la vie. Être amoureuse, était essentiel, un jeune homme d'une beauté certaine, un bonus. Vivre d'amour et d'eau fraîche c'est bien joli, mais c'est pas ça qui paye les factures. Elle disait. Et quelque part, même si ce n'était pas la bonne manière de dire. Elle n'en avait pas moins raison.

Et mon père, lui, depuis petit, m'avait toujours inculqué les valeurs de la justice. Enfant, je défendais les plus faibles, et développais un charisme certain. C'était comme si, j'étais né pour devenir un blablateur de la justice. Ainsi, toute ma vie, j'ai travaillé dur. Mais parce que j'étais intelligent, j'avais tout de même réussi à me construire une vie extérieure, des plus satisfaisante...

Nous sommes cinq, et ce, depuis toujours. Cinq amis traversant les âges et le temps. Mon meilleur ami, le tombeur arrogant, fanatique de Tinder, POF, Badoo, Lovoo et MatchMaker. Celui dont on se demande comment il a fait pour ne pas encore avoir vu ses couilles tomber. Le bridé, celui qu'on martyrisait à l'école sans vraiment comprendre que c'était méchant, qui était pourtant notre ami, et qui l'est encore. Le gars à la fois cool, calme, et marrant, probablement fourbe aussi, vu ses yeux scintillants. C'est le gars un peu à l'ouest, un fou de technologie. Y'a la poupée, cette fille aux yeux clairs qui fait chavirer les coeurs, mais qui, d'une certaine manière, est encore trop enfant dans sa tête. Et il y elle que j'avais toujours espéré conquérir, celle qui animait mon flamboyant, réveillait mon palpitant. Elle avait toujours été belle, intéressante. Folle aussi. Nous étions cinq, à l'infini.

Nous nous sommes mis tout les cinq dans un loft spacieux du Bronx. Quartier de folie, adéquat à notre système de vie. Quatre chambres, deux salles de bains, grand pièce à vivre, mini véranda où pousse régulièrement mini Jeanne, plante adorée de mon meilleur ami et du bridé. Moi, je l'avais elle, ma belle, avec qui, peu à peu, je m'imaginais finir ma vie.

Et puis nous nous sommes rencontrés, un soir dans un bar, à l'abri des lumières indiscrètes, obscurité bienvenue. Elle était belle dans sa robe noire qui épousait ses formes délicates. Elle semblait seule, las, une bague au doigt, sans pour autant sembler sereine quant à cet anneau de pouvoir. Je m'étais approché, seul moi aussi, un coup dans le nez probablement. Elle s'était mise à sourire, comme intéressée par un échange productif, jeune garçon amical que j'étais. Et je n'ai rien cherché, quelque part. C'est elle qui m'a trouvé, en première, probablement sans le vouloir, certainement, en y pensant. Et moi, abruti de jeune adulte raté, je m'étais laissé me prendre dans ce jeu où l'amour semblait oublié. De son côté, de mon côté, de tout les deux. Je l'avais emmené dans cet hôtel grand luxe, comme si elle avait valu la lune. Je m'étais abandonné à elle, elle pour qui demain, je n'existerais plus...

Le lendemain, j'avais regagné la coloc, quelque part coupable, quelque part heureux. Je ne m'étais jamais senti aussi vivant d'avoir fauté, je ne m'étais jamais senti plus vivant qu'à l'instant où, pour la première fois de ma vie, j'avais osé sortir du droit chemin. Et je l'ai revu, cette fille. Je l'ai revu à plusieurs reprises, elle m'avait voulu, je l'avais désiré, nous nous possédions, une fois, puis deux, jusqu'à toujours recommencer. Je lui apportais l'attention, l'affection, qu'elle ne recevait pas de celui qui devrait. Et puis un matin, j'ai pensé à elle, et j'ai su. J'ai su que j'étais foutu. Je l'aimais. Cette femme aux yeux sombres. Je le lui ai dit, elle m'a repoussé. Mais je sentais, quelque part, et elle aussi, savait, que ce n'était pas réellement le cas. Qu'il y avait une part en elle, qui suppliait, qui disait oui, alors qu'elle prétendait tout le contraire, en en étant parfaitement convaincue. Elle n'a plus voulu me voir, mais elle m'a rappelé. Et moi, je voulais tout quitter... elle m'en empêchait.

C'est une torture, avec cette fille qui ne veut rien, et qui en même temps veut tout sans vraiment le vouloir, parce qu'elle aime collectionner ou je ne sais quoi, qu'elle est mariée et qu'elle convoite. Et moi qui avant de rencontrer Diana, souhaitait demander à ma copine de m'épouser, sans que je ne puisse le faire à présent, parce que je l'ai en tête en permanence.