(maryline) peu m'importe les saveurs du paradis.

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maryline keirman

no tinderness

NOM : Keirman Pour venir ponctuer cette identité intrigante, un nom qui laisse un sentiment d'inachevé sur le coeur.

PRÉNOM(S) : Son doux nom pénètre l’air lorsque des lèvres tremblantes le murmurent. Maryline. Comme une caresse pleine de charme. Son patronyme s'incruste sur les bouches électrisantes, tel un magnétisme incontrôlable.

ÂGE : Les années filent avec une mélancolie déconcertante. Vingt-trois années à craindre que le malin ne l'emporte. Une vie bien trop riche, bien trop subversive pour que le ciel ne la laisse en paix. Son père lui a souvent répété qu'elle n'atteindrait jamais la majorité avec un rythme de vie si endiablée. Mais, justement, c'est bien avec le diable qu'elle veut pousser ses derniers soupirs.

DATE ET LIEU DE NAISSANCE : C'est l'Amérique qui l'a vue naître un certain onze janvier, alors que son père était en voyage au paraguay. Il a fallu du temps et des cris pour que la belle prenne vie entre les jambes -puis les bras- de sa tendre mère. Son sang constitue un mélange surprenant entre le français bordant le coeur de son père, et le rêve américain instauré des voeux maternels.

EMPLOI : Elle se voit tirant les ficelles du théâtre, de l'opéra, de ce lieu renfermant des artistes en tout genre. Cependant, son âge n'aidant pas, et sa timidité la faisant recluse, elle n'en est qu'au stade de Stagiaire dans un théâtre. Fille d'art, la poésie et le bon goût lui font vriller les sens. Mais le soir, ses membres se tordent en une danse fiévreuse, alors qu'elle s'effeuille. Jamais nue, elle refuse. L'atmosphère se fait plein de fougue, et ses lèvres s'entrouvrent pour engloutir le monde. Danseuse, elle y est une fleur empoisonnée. Pas par besoin, ni par obligation, mais par plaisir de devenir une autre -de tout contrôler- le temps d'une danse.

SITUATION CIVILE : Il est sur terre des entités ne pouvant se résoudre à la fidélité. Maryline en est. Et si le célibat lui colle à la peau, elle ne reste jamais seule bien longtemps durant la nuit. Ses défauts font fuir les moins courageux, et ses qualités la rendent que plus effrayante encore.

ORIENTATION SEXUELLE : Si vous lui posiez la question, elle vous répondrait qu'il faut apprendre à s'accommoder de toutes les saveurs du monde. Mâle ou Femelle, la chair reste tendre et savoureuse. C'est donc dans la bisexualité qu'elle extrait son plus grand plaisir.

FEAT : giza lagarce.

capricieuse ✤ mélancolique ✤ rancunière ✤ susceptible ✤ hypersensible ✤ réservée ✤ séductrice ✤ mortelle ✤ appartenant à son propre monde ✤ franche

une citation de ton choix

001. + il lui faut son café noisette tous les matins, sans quoi elle se révèle être d'une humeur massacrante. 002. + il lui arrive de chanter à tue tête les meilleurs morceaux de années 80, sans se soucier du monde qui l'entoure. ça lui plaît, point. 003. + vivant dans sa bulle, elle peut rester plusieurs heures à ne pas parler, juste rester concentrée sur son être. 004. + elle travaille dans un cabaret, et a eu de gros problèmes avec son patron lorsqu'elle a refusé de se déshabiller. elle veut seulement danser, point. 005. + malgré les apparence, elle est très sensible et peut pleurer à tout bout de champ pour un oui, ou un non. elle est d'ailleurs une fontaine devant certains films. 006. + c'est une femme entière qui ne fera jamais de rondement de jambe pour se sortir d'affaire. elle préfère être franche, quitte à blesser. 007. + elle adore le théâtre, et la littérature en général. incollable sur bien des sujets, elle a une culture remarquable. 008. + elle voulait être vétérinaire étant petite, comme beaucoup d'enfant. mais, elle refusait de voir mourir des animaux. elle possède plusieurs chats, et quelques poissons rouges. 009. + son tuteur ne lui laisse que des rôles qui ne lui conviennent pas. elle a des rapports très houleux avec lui. 010. + elle adore nager, ça lui permet de s'évader, et de ne plus penser à tout le reste.

l'avis de votre personnage sur le site de rencontre matchmaker.

Elle ne voit pas l'intérêt de prostituer son image à travers des conversations stériles. Les sites de rencontres n'ont pour elle qu'un intérêt bien superficiel. Si elle veut rencontrer des habitants avérés, elle sait se faire remarquer dans des bars ou autres lieux où elle est susceptible de s'amouracher. Elle ne méprise pas pour autant tous ces pseudos qui défilent le long des écran. Comme si le ciel en avait craché les plus téméraires afin de les aligner dans une arène électronique. La course à celui qui pourra trouver l'amour, ou choper de la meuf -comme disent les plus beaufs d'entre eux. Presque la larme à l'oeil, elle se souvient du temps de ses ancêtre, lorsqu'il fallait embrasser avec langueur une personne au hasard dans la rue, pour rencontrer l'âme soeur.

ton prénom + ton pseudo

âge + vingt-et-un ans. disponiblité + le plus souvent possible. fuseau horaire + bleu blanc rouge. personnage + totalement inventé, j'espère qu'elle vous plaira. où avez vous connu le forum + merci bazzart. qu'en pensez vous + il est vraiment très mignon. votre mot de la fin + c'est une bonne situation, ça, scribe ?

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hate is foolish. and love is always wise.

Le moindre bruit raisonne entre les murs sonores de la bâtisse. Aucun pas ne peut passer inaperçu, l’intrus fût-il un esprit ou une quelconque entité. Au milieu de ces mètres de vide, Maryline se sent comme dans un autre élément. Le silence se fait aussi assourdissant qu’une fanfare en délire. Les sièges sont vides, à attendre qu’un postérieur princier vienne frôler son velours rouge. Ces bizarreries sont presque trop chics pour le public concerné -des hommes puissants accompagnés de leurs vénales femmes. Chaque soir, la jeune stagiaire, cachée derrière des rideaux de soie, scrute les visages presque inanimés des spectateurs. Elle en reconnaît certains, plus fades que d’autres, parfois d’une pâleur anormalement mortelle. Certains faciès lui donnent régulièrement des frissons, ils sont tels des masques de cire, d’une souplesse inexistante. Des lèvres tordues pas le rire, parfois, lorsque le spectacle l’exige. Des lèvres tordues par la tristesse, souvent, lorsque la tragédie prend fin dans le sang. Maryline, elle, se complait dans les histoires d’amour sordides, de celles devant lesquelles l’on cachait les yeux des plus jeunes. Elle adorait fermer les yeux, et écouter la respiration des plus fragiles -dans la salle- se modifier pour devenir haletante.
En cette soirée endormie, elle se devait de quitter les lieux pour aller prendre son service. Enfin, elle pourrait changer de visage, et arborer les traits d’une femme sûre d’elle, se défeuillant devant des visages inconnus. Célèbre fleur de l’établissement attirant bien des clients plus différents les uns que les autres.

Pour l’heure, elle quitte les coulisses dans lesquels elle passe bien trop de temps à son goût.

Vous me dégoûtez tous, avec votre bonheur ! Avec votre vie qu’il faut aimer coûte que coûte. On dirait des chiens qui lèchent tout ce qu’ils trouvent. Et cette petite chance pour tous les jours, si on n’est pas trop exigeant. Moi, je veux tout, tout de suite, -et que ce soit entier- ou alors je refuse ! Je ne veux pas être modeste, moi, et me contenter d’un petit morceau si j’ai été bien sage. Je veux être sûre de tout aujourd’hui et que cela soit aussi beau que quand j’étais petite -ou mourir.

u.c