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(sahar) subterranean homesick alien.

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MessageSujet: (sahar) subterranean homesick alien. (sahar) subterranean homesick alien. EmptyLun 22 Jan - 15:24

sahar esfahani


tinderly yours

NOM : Esfahani. il est né de l'union d'un père marocain et tunisien, et d'une mère anglaise, de descendance perse d'après l'arbre généalogique fait avec soin par sa grand-mère, et est de nationalité anglaise.
PRÉNOM(S) : Sahar (سحر en arabe) qui veut dire « aube » pour son premier prénom, Javed (جاود en arabe) qui veut dire éternel pour le second.
ÂGE : vingt-six ans, entré dans sa vingt-septième année de vie.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 8 juillet 1991 à Bristol (Angleterre), sous le signe du cancer.
EMPLOI : il a fait ses études à la London Film Academy, a travaillé pendant plusieurs années en tant que bruiteur aux Bristol Studios, avant de se faire débaucher par HBO studios pour venir travaille comme sound technician ici-même, à New York.  Sahar touche en moyenne $5 000/mois, et donc $60 000/an, lui offrant la possibilité d'une vie plutôt confortable quand, à Bristol, il gagnait l'équivalent de 1000€ de moins.
SITUATION CIVILE : actuellement célibataire, Sahar a eu du mal à se remettre de sa dernière rupture, qui date d'il y a quelques années. mais, de plus en plus, il a du mal à détourner le regard de son meilleur ami, sans vouloir se l'admettre pour autant.
ORIENTATION SEXUELLE : homosexuel, Sahar en a pris conscience à l'adolescence, où il a commencé à ressentir ses premières attirances pour le sexe fort. dans l'impossibilité de l'assumer, il en a fait un secret pour sa famille et n'a eu qu'une poignée d'amants, à la fois pour ne pas prendre le risque d'être dévoilé sans le vouloir, mais aussi par pudeur. (malgré une sex-tape faite avec son meilleur ami et qui est sortie au grand jour lorsque ce dernier a participé à une émission de téléréalité).
FEAT : zayn malik.
discret (il ne se confie pas, ou très peu, et uniquement dans un réel climat de confiance), silencieux, nerveux (il fait partie de ces « faux calmes », garde pour lui toute la nervosité qu'il ressent, et la rejette par petite dose pour ne jamais craquer ; ses dents sont souvent serrés, et son expression fermée), renfermé (dès qu'il se sent menacé, il s'abrite derrière sa carapace), sarcastique (voire un brin caustique), pudique, sociable (surtout pour des relations superficielles), aussi généreux qu'égoïste, a besoin d'attachement et de sécurité, besoin d'être rassuré et de savoir ses proches près de lui, sensible (très), tendre, compréhensif, à l'écoute, sait consoler les gens (plus par les gestes et sa présence que par, réellement, la parole), n'aime pas tellement être touché, naturellement attentif, peut se montrer virulent voire vexant par moment, a peur du ridicule (d'où le fait qu'il ne soit pas franchement assertif), pèse ses mots, ne se met pas en avant, charmant, fidèle, loyal, honnête et franc (parfois un peu trop cash), peut se montrer très admiratif de ses proches, subjugué, et a dans ce cas tendance à vouloir les suivre jusqu'au bout du monde, romantique (plus au sens propre du terme que dans les grandes déclarations d'amour), créatif, peut paraître froid au premier abord, intuitif / instinctif, observateur, anxieux, casanier, attachant, pragmatique, perspicace, prudent, cultivé, méfiant, un brin moralisateur (parfois sans même le réaliser lui-même), peut se montrer quelque peu insolent, légèrement rancunier, grognon le matin, débrouillard, peut être assez possessif et jaloux.
he wants to rip his clothes apart and tear his heart out and see what’s wrong with it.

(1 - family tree : the roots) Sahar est le troisième enfant du couple Esfahani, Yaser et Nima, issus d'une classe sociale de la moyenne-haute, à la limite de la bourgeoisie. Né d'un métissage tunisien, marocain et anglais, il a grandi pourtant dans une culture principalement orientale, au cœur de la religion musulmane. À vingt-six ans, Sahar se sent complètement à l'écart de son frère, Naseem, trente-quatre ans, marié avec un enfant et à la vie stable, construite et heureuse, et de sa sœur, Arya, trente-et-un ans, elle aussi mariée et avec deux enfants, avec une vie tout aussi idyllique que leur aîné. Mais cet écart, s'il s'est creusé au fil des années qui se sont écoulées, a toujours été présent d'une certaine façon. Naseem et Arya n'ont jamais eu aucun mal à trouver leur place au cœur du foyer, chacun trouvant son compte dans le rôle qui lui est confié et créé sur mesure pour eux. Leurs premières années de vie se sont montrées presque parfaites, sans encombres notables ou insurmontables, et il ne manquait alors au tableau que la présence d'un dernier enfant venant parfaire l'image de la famille Esfahani. Alors que Arya venait de fêter sa cinquième bougie, Sahar pointa le bout de son né le 8 juillet 1991, si tôt que ses parents décidèrent de le nommer « aube » en arabe. S'il a toujours été un enfant discret et qui semblait se mêler à l'ambiance de la famille, il a pourtant toujours ressenti un drôle de décalage dont il n'a jamais voulu parler à personne, préférant se dire que, de toute façon, ça finirait sûrement par passer, quand pourtant les seules choses qui le faisaient n'étaient autres que les années durant lesquelles son sentiment étrange continua de s'intensifier de plus en plus. Quand bien même il n'est possible d'émettre quelconque doute quant à l'amour qu'il porte à ses proches, Sahar a du mal à rester près d'eux très longtemps sans que l'idée de ne pas vraiment faire partie intégrante de sa famille ne revienne lui trotter en tête et lui nouer le ventre. Dès lors, il préfère s'éloigner un peu et retourner là où, plus ou moins – plus souvent moins que plus malgré tout –, il se sent à son aise. (2 - scolarship) Élève discret et plutôt pas mauvais, dans la moyenne haute de la classe, Sahar ne s'est jamais, ô grand jamais fait remarqué en cours, préférant de loin se cacher derrière ses bouquins et ses classeurs pour s'offrir l'opportunité de rêvasser dès lors que son intérêt pour les histoires racontées dans les salles de classe diminuait. Grâce à ses bonnes bases et ses capacités, Sahar n'a pourtant jamais connu quelconque retard dans ses cours – à part peut-être en sport, où il faisait preuve d'une flemme assez intense dès qu'il était question de se mettre à courir, grimper, sauter, ou quoi que ce soit dans ce genre-là. Meilleur dans les matière littéraires que scientifiques, il est entré, après avoir terminé son lycée, à la London Film Academy, où il a suivi un cursus dans le but de devenir bruiteur – un de ses rêves de gamins était de bosser au cinéma, en tant qu'acteur, mais sa timidité et son manque d'ouverture aux autres le lui a empêché malgré les cours de théâtre qu'il a pris plus jeune –, qu'il a terminé parmi les meilleurs élèves de sa promotion, parvenant à passer outre ses quelques difficultés dans les matières plus scientifiques et se perfectionnant ainsi dans celles-ci pour réussir ses examens de fin d'années. (3 - losing my religion) Dans la famille Esfahani, la religion a toujours eu une place particulière, centrale. Élevés en suivant les traditions religieuses de leurs ancêtres, les enfants de Yaser et Nima apprirent très tôt les préceptes de l'Islam, les coutumes qui en découlaient, les valeurs et leur façon d'influencer la vie qu'ils mèneront, dans leur présent mais aussi et surtout dans leur futur. Grâce à l'éducation apportée par ses parents, Sahar porte aujourd'hui à la religion un grand respect sur lequel il n'irait jamais cracher, quand bien même il ne la suit pas strictement : s'il fait le ramadan, ne mange pas de porc, et est circoncit comme mentionné dans plusieurs hadiths, il s'est permis d'assouplir un peu les règles qu'il trouvait, à notre époque, désuètes comparées aux autres, et s'autorise malgré tout à boire de l'alcool et à se tatouer, pour se réapproprier un corps, un physique avec lequel il n'a pas toujours connu une grande entente. C'est à cause d'une question religieuse, également, qu'il sait que son homosexualité ne serait certainement pas acceptée par ses parents, et c'est en grande partie à cause de ce point qu'il se refuse, consciemment ou non d'ailleurs, de respecter à la règle une culture, une croyance qui l'empêcherait alors d'être lui-même. (4 - feel everything) C'est à l'adolescence que Sahar a pris conscience de son orientation sexuelle, et de son attirance pour les hommes. À l'âge où l'on se trouve à faire face aux premiers émois, aux changements, à l'incompréhension qui entoure tout ça, il s'est retrouvé confronté à cette différence par rapport à ses amis qui, peu à peu, tombaient dans les bras des filles dont les cils ne manquaient pas de papillonner devant eux, bien souvent suivis de quelques gloussements. Si certaines ont bien essayé une approche avec Sahar, toutes se sont retrouvées à se cogner contre le mur qu'il devenait, compensé par la froideur naturelle qui se dégage de lui quand on tente de sociabiliser avec lui – il ne répond le plus souvent pas, par exemple. Poussé dans ses retranchements à mesure qu'il comprenait l'allégeance que portait son cœur au sexe fort, Sahar s'est d'autant plus renfermé à cette époque, cherchant d'abord à rejeter cette partie de lui-même pour ne pas avoir à se confronter à la réaction de ses parents, de sa famille, s'ils venaient à apprendre la nouvelle. Si, aujourd'hui, Sahar a accepté son homosexualité et la vit par le biais de relations éparses et irrégulières depuis sa dernière rupture (il n'aime pas le principe des coups d'un soir ou des booty calls, ne se retrouvant pas dedans et ne parvenant pas à combler ses besoins avec), sa famille n'est, elle, toujours pas au courant du visage qui a réussi à faire battre la chamade à son cœur, à provoquer cette drôle de sensation dans le creux de son ventre, tout comme ils ignoreront toujours celui qui, aujourd'hui, parvient à lui donner l'envie de crouler entre ses bras et de nicher sa tête dans le creux de son cou pour trouver le réconfort et la tendresse dont il a besoin auprès de lui, de sentir sa peau contre la sienne et le contact de leurs lèvres. (5 - secret love song) Certaines personnes semblent porter dans le creux de leurs mains l'univers entier, dès lors qu'on les rencontre et qu'on se retrouve charmés par ce qui se dégage d'elles, cette sensation qu'elles nous laissent. Et parfois, c'est notre premier amour qui laisse cette impression-là. Le sien, Sahar l'a connu alors même qu'il n'était pas encore majeur, sur les bancs de son lycée. Il a connu l'envol, cette sensation de légèreté étrangement lourde à porter, qui pèse sur un cœur en même temps qu'elle le fait s'envoler. Scott était dans sa classe, partageait parfois sa table, faisait vaciller sa concentration. Et tout aurait pu s'arrêter là, tout semblait y être destiné dans l'esprit de Sahar, jusqu'à ce qu'ils s'embrassent pour la première des centaines, des milliers de fois qui ont suivi. Leur relation s'est construite dans un secret qu'ils gardaient pudiquement pour eux, poussés par l'incapacité de Sahar de glisser sa main dans la sienne en pleine rue. Trois ans. C'est le temps qu'ils ont tenus, comme ça, à ne vivre leur histoire qu'à l'abri des regards, jusqu'à ce que ça devienne trop pour Scott et son besoin de ne pas s'enfermer comme ça dans une situation qu'il pensait avoir dépassée en faisant son coming-out. Malgré les sentiments qu'ils avaient encore l'un pour l'autre, il mit fin à leur relation à l'aube de leurs vingt ans, laissant à Sahar la solitude nécessaire pour parvenir à passer au-dessus. (6 - professional career) Après avoir terminé ses études à la London Film Academy, un cursus de trois ans durant lequel il se spécialisa en tant que bruiteur de cinéma, Sahar enchaîna plusieurs mois de stages pour tenter de trouver un endroit où se raccrocher et commencer sa carrière. S'il fréquenta des studios londoniens pendant un temps, c'est finalement aux Bristol Studios qu'il trouva son premier véritable emploi, où il occupa pendant des années un poste qui, étonnamment, lui allait parfaitement malgré ses rêves de gamins qu'il gardait encore dans un coin de sa tête. S'amusant avec ce qu'on lui mettait sous la main, trouvant son compte dans la nécessité de se vider la tête pour pouvoir se concentrer plusieurs heures durant. Pourtant, il y a quelques mois, il reçut une proposition d'emploi qui le fit non seulement douter de la situation dans laquelle il était, mais qui le poussa également à l'accepter, pour déménager ensuite à New York et travailler dans les studios de HBO comme ingénieur du son – cursus étudié en parallèle durant ses trois ans à la LFA. Et à côté de ça, il tient une chaîne YouTube de vlogs avec son meilleur ami, où ils réalisent des défis, des pranks, et dévoilent un peu de leur quotidien, le plus souvent en direct. (7 - secret love song pt. II) Et parmi ces personnes qui ont donné à Sahar l'impression de tenir tout un monde autour d'elles, qui ont pris une importance telle qu'il ne l'aurait pas imaginé en les rencontrant, on trouve Orion. À cette place un peu bâtarde, entre deux idées qui se battent dans la tête de Sahar, mais surtout dans son cœur. Des années qu'ils se connaissent, maintenant, se comprennent sans avoir besoin de se parler, s'accordent et se ressemblent autant qu'ils se complètent. Que Sahar retrouve chez Orion ce qu'il n'a pas chez lui, et qu'il tente de lui offrir ce que le français n'a pas non plus, et qu'ils se retrouvent, tous les deux, ensemble bien plus souvent que séparés. Et c'est ensemble, aussi, qu'ils se retrouvent incapables de faire la nique aux clichés qu'on nous rabâche souvent sur l'amitié et l'attirance qui peut en découler. Si Orion parvient à faire naître un sourire sur le visage de Sahar quand personne d'autre que lui n'aurait pu en être capable, il a aussi réussi, sans le savoir, à malmener son cœur et faire naître quelques larmes au bord de ses yeux. Parce qu'au-delà de l'amitié, de la complicité qui les unissent, c'est aussi l'amour qui se trame du côté de Sahar et qui le fait se sentir tellement con dès lors que ça rentre en compte. Ce genre d'amour qui le pousse à être plus tactile avec lui qu'avec le reste de la Terre, à chercher auprès de lui une tendresse qu'il n'accepterait pas d'autres, à ressentir une jalousie aussi sourde qu'elle peut être douloureuse lorsqu'il le voit avec d'autres. Ce même genre d'amour qui l'a poussé, si souvent dernièrement, à venir poser ses lèvres sur les siennes, perdre son corps contre le sien, perdu entre ce qu'il ressent et ce qu'il pense être ressenti par Orion, entre le sexe sans sentiments et la véritable envie qui le tiraille depuis bien trop longtemps maintenant. Quoi qu'il en soit, leur amitié est telle qu'il est, depuis sa naissance, le parrain de Teddy, le fils d'Orion et de son ex. (8 - gotdamn) Dans les mauvaises habitudes de Sahar, notez la consommation de weed qui, en plus de le faire se marrer comme un con le temps des effets, débride sa libido et ses pratiques sexuelles, et lui fait prendre des décisions sacrément connes. Le tout ajouté les uns aux autres donnent la sextape réalisée en 2014 avec Orion, et postée sur internet par ce dernier juste après. S'ils se sont bien marrés sur le coup, s'ils ont fini par l'oublier un peu et ne plus trop y prêter attention – ça n'était qu'une vidéo parmi tant d'autres vidéos amateurs sur le net, après tout –, ils se sont repris leur connerie en pleine figure quelques années plus tard, à l'occasion de la participation d'Orion à une téléréalité : les internautes se sont fait le plaisir d'aller faire quelques recherches à son sujet et ont fini par faire ressortir la vidéo mise en ligne sur un site pornographique à l'époque, information rapidement relayée par les tabloïds qui ont diffusés des captures écrans. Sahar n'ayant toujours pas fait son coming-out, il s'est retrouvé à affronter ça seul avec ses amis pendant qu'Orion était toujours en jeu, et a finalement été confronté à sa sœur lorsque cette dernière est tombée sur les magazines. Forcé de lui avouer son homosexualité, elle a fini par lui promettre de ne pas en parler à leur parents ou à leur frère, pour le protéger. Aujourd'hui encore, Sahar lui en est reconnaissant. Quant à la sextape, Orion s'est chargé de la faire disparaître une fois sorti du jeu. (9 - moving on) C'est suite à l'offre d'emploi d'HBO que Sahar a pris la décision de quitter Bristol et ce qu'elle représentait pour venir s'installer de l'autre côté de l'Atlantique, sur la côte Est. Là où il était constamment dans la retenue face à ce qu'il était, où la plus grande partie de lui restait cloîtrée dans un secret qu'il se savait incapable d'avouer à sa famille, Sahar a trouvé en cette offre d'emploi l'occasion d'une liberté nouvelle et, disons-le, salvatrice. S'il porte à sa famille un amour indéniable, la nécessité de s'en éloigner pour se sentir mieux dans sa vie et dans sa peau fut plus forte que l'attachement qu'il a pour elle, pour eux tous, et qu'il ne pensait de toute façon pas capable de s'étioler à mesure que les kilomètres se rajouteraient entre eux. Ce qui a, pourtant, poussé réellement son départ, c'est la certitude de savoir qu'à New York, il ne serait pas seul, et qu'il retrouverait toujours, à ses côtés, le visage rassurant d'Orion. (10 - little things) Sahar sait parler espagnol grâce à ses cours au collège et au lycée, mais également l'arabe maghrébin, principalement le Darija (l'arabe marocain). Il a appris avec son père et ses grands-parents paternels alors qu'il était encore petit, l'arabe ayant été parlé quotidiennement à la maison (quand bien même sa mère ne le comprend pas toujours, il fait alors office de traducteur quand son père n'a pas envie de le faire). Il a appris à faire du piano pendant une dizaine d'années, inscrit par ses parents, et sait également faire de la guitare, plutôt doué dans les deux instruments même s'il n'a jamais eu l'idée de faire carrière un jour. Il a une jolie voix, mais ne lui fait pas suffisamment confiance pour la faire sérieusement entendre aux autres, et n'a ainsi pas l'habitude de chanter devant des gens – seuls Orion et une de ses amies ont eu l'occasion de réellement l'entendre. Un peu à cause d'une petite peur qu'il se traîne depuis des années, Sahar n'aime pas tellement les chiens, quand bien même une bonne partie d'entre eux semble plutôt bien l'apprécier. Il est plus du genre à se complaire en la compagnie et se faire apprécier des chats, quand bien même il n'a jamais eu aucun animal de compagnie. Il passe tous les ans plusieurs semaines au Maroc, habitude qu'il a depuis qu'il est petit et qu'il perpétue encore aujourd'hui en proposant à ses amis de l'accompagner – il compte encore le faire, même si le budget transport est beaucoup plus important maintenant qu'il est aux USA.  (11 - tattooed heart) Il possède énormément de tatouage, pas tous faits avec beaucoup de goût : élevé dans une famille musulmane, les tatouages peuvent être mal vus dans sa communauté religieuse. Pourtant, pour laisser un peu de lest à leurs enfants, les parents de Sahar ont accepté de leur offrir l'opportunité de se tatouer. Vu par leur fils comme une nouvelle liberté, il a commencé très fort en se faisant tatouer plusieurs pièces en l'espace d'un an, et en regrette quelques unes. Si certaines ont depuis été recouvertes, d'autres restent malgré tout encore bien visibles. Parmi ses pièces préférées, un motif dans la tradition du henné sur le dessus de son poignet gauche et un mandala en continuité de ce dernier, une fleur de lotus réaliste un peu plus haut sur le même bras (sous laquelle il a, tatoué, un drapeau à damiers). Il a les phalanges de sa main gauches tatouées de motifs un peu abstraits qu'il s'est fait lui-même, l'outline d'un homme qui fume sur la jambe gauche, un tigre sur l'épaule gauche, un ancien revolver sur sa hanche gauche, des formes géométriques aléatoires sur le bras droit, à côté d'un singe spationaute, un serpent sur tout le dessus de son épaule droite, l'outline d'un éclair sur l'extérieur du bras droit, « it’s a pirate’s life for me » sur son flanc droit, juste en dessous d'une carte à jouer à l'effigie d'un roi, un crâne sur le devant de chacune de ses épaules : celui de gauche a un chapeau haut de forme et fume tandis que celui de droite surmonte deux os croisés, des lèvres au milieu de sa poitrine, au-dessus du sternum, entourées d'ailes en nuances de gris, elles-mêmes surmontées d'un crâne de vache longhorn. Il a « friday ? » sur le devant de son épaule droite, un motif façon henné qui fait le lien entre son épaule gauche et sa poitrine, tatoué autour d'une citation en arabe : « be true to who you are ». Sur sa jambe droite, il possède plusieurs portraits de héros de comics : le Joker de chez DC, Hulk et Deadpool. Un bandana sur son coude droit, un autre crâne tatoué sur ce même bras en complément d'une manche un peu fouilli, « don’t think i won’t » sur son aine gauche, un coeur noir sur son aine droite et, comme derniers ajouts, l'outline d'une hirondelle sur sa main droite, « love » en écriture cursive sur le dessus de la même main, et une autre hirondelle sur son cou. Il a deux piercings au lobe de son oreille droite, un à celui de l'oreille gauche, un industriel à la même oreille, un piercing au niveau de sa narine gauche (tantôt un anneau, tantôt un clou), un piercing au téton gauche, et un piercing à la langue, qu'il a tendance à enlever et remettre assez régulièrement. (12 - tastes) On retrouve dans la playlist de Sahar du Bruce Springsteen comme du Kendrick Lamar, Linkin Park fréquente Rita Ora, voisine de G-Eazy et de Machine Gun Kelly, de Camila Cabello ou de Selena Gomez, d'Eminem ou de Ed Sheeran, de Pharrell Williams et de N.E.R.D. S'incrustent souvent des chansons de vieux rock des années 80/90, des groupes comme Scorpions, Led Zepelin, Police, AC/DC ou U2. Ils y côtoient, plus récents, d'autres groupes tels que The Fray, Nada Surf ou Keane. Des genres musicaux totalement hétéroclites, dépendant de son humeur ou de son envie sur le coup. Côté cinéma, là aussi on retrouve de tout. S'il a toujours été un grand fan de Scarface et de Taxi Driver, son pêché mignon se trouve sans doute dans Guardians of the Galaxy (Volumes 1 et 2, tant qu'à faire) et les films des franchises Marvel et DC de manière générale. Pour ce qui est des séries, on reste sur ce qu'il considère comme des classiques : The Walking Dead – qu'il suit depuis le début – et Breaking Bad pour les deux principales. Flash, Narcos, Bates Motel, et Sons of Anarchy se rajoutent dans la suite du classement. Quant à son livre préféré, ça a probablement toujours été le Petit Prince de Saint-Exupéry.


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Dernière édition par Sahar Esfahani le Mer 21 Fév - 0:08, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (sahar) subterranean homesick alien. (sahar) subterranean homesick alien. EmptyLun 22 Jan - 15:24



orion leroy, 27 ans, tinder sex
so if I love you a little more than I should, please forgive me, i know not what I do + Orion et Sahar, c'est une histoire qui dure depuis des années, et qui a connu peut-être bien trop de rebondissements. Neuf ans après leur rencontre, les choses ont autant évolué qu'elles sont restées inchangées sur certains points : si l'amitié entre eux est revendiquée et loin d'être à prouver encore, d'autres points restent encore en suspens depuis si longtemps que l'espoir que les choses changent n'est plus vraiment là. Rapidement se sont mêlés à l'amitié des sentiments amoureux, toujours contrecarrés par des événements extérieurs venant mettre leur grain de sel dans la possibilité de vivre quelque chose à deux, de bien vouloir admettre leurs sentiments, de se les avouer. Des histoires de couples qui finissent toujours par capoter, des idées que l'on se fait et qui, bien que fausses, suivent leur chemin dans un coin de notre tête quant au fait que, de toute façon, les sentiments que l'on ressent ne sont sans doute pas partagés et qu'il vaut mieux les taire, ça donne ça : neuf ans à se connaître, et neuf ans perdus à ne pas vivre ce qu'ils pourraient vivre ensemble.


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Dernière édition par Sahar Esfahani le Mar 23 Jan - 11:16, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: (sahar) subterranean homesick alien. (sahar) subterranean homesick alien. EmptyLun 22 Jan - 15:25



rox blake, 24 ans, tinderly yours
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Dernière édition par Sahar Esfahani le Mar 23 Jan - 12:45, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: (sahar) subterranean homesick alien. (sahar) subterranean homesick alien. EmptyLun 22 Jan - 15:25

la gestion des rp's


les rp's en cours
when we were 18 +ft. orion.
in the dark +ft. lissa
dancing in the dark +ft. cody


les rp's terminés
you get me so high +ft. orion
titre du rp +ft. joueur
titre du rp +ft. joueur


les rp's en attente
+ joueur
+ joueur
+ joueur


Dernière édition par Sahar Esfahani le Lun 12 Mar - 13:43, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: (sahar) subterranean homesick alien. (sahar) subterranean homesick alien. EmptyLun 22 Jan - 17:10

:smiile: :smiile: :smiile:
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MessageSujet: Re: (sahar) subterranean homesick alien. (sahar) subterranean homesick alien. EmptyLun 19 Fév - 14:48

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