001. + t'es le deuxième enfant de la fratrie Sartier, le premier garçon et par conséquent le digne héritier de l'empire. t'as le cul posé sur des milliards, et tu le sais. alors t'as pas vraiment la tête sur les épaules. tu ne dois rien à personne mais le monde te doit tout.  002. + ta famille est à la tête d'un véritable empire, banquier de père en fils depuis des générations, tes parents ont pu se diversifier et investir dans tes entreprises florissantes, notamment une chaîne d'hôtels de luxes réservant leurs services au plus offrants. 003. + comme tout les enfants Sartier tu as été élevé sans véritable amour, parents souvent absents, ce sont les domestiques qui s'occupaient de vous pour leur plus grand malheur. 004. + t'as toujours été un gosse turbulent, et t'es devenu un adulte dérangeant. les convenances sont de mises, en toutes circonstances, mais les excès font ta personne. 005. + tes sourires ne sont qu'hypocrisie, tes rires ne sont que ricanement cynique. tu montres les crocs. ta mère a fait de toi le pire des requins. 006. + les femmes tu les collectionnes, et ce depuis le premier jour où tu as compris ce qu'elles pouvaient t'apporter. tu es un prédateur, le pire de tous. tu joues jusqu'à épuisement total de la proie. l'attachement est un mot que tu ne connais pas et ne comprends pas. certaines disent pourtant qu'elles ont senti ton cœur battre au fond de ta poitrine. 007. + écrire ici une info à savoir sur votre personnage. 008. + écrire ici une info à savoir sur votre personnage. 009. + écrire ici une info à savoir sur votre personnage. 010. + écrire ici une info à savoir sur votre personnage.

âge + écrire ici. disponiblité + écrire ici. fuseau horaire + indiquez ici, pour les décalages horaires. personnage + dire s'il est inventé où s'il s'agit d'un scénario et préciser le créateur. où avez vous connu le forum + écrire ici. qu'en pensez vous + écrire ici, si vous avez des suggestions, ou des questions c'est le moment. votre mot de la fin + écrire ici.

(Saint-Tropez - 1998 - huit ans.) Dans la Range Rover de ta mère t'es assis à l'avant, les fenêtres sont fermées et la clim est à son maximum. Tes yeux bleus gris sont rivés sur la route qui défile, vous êtes à Saint Tropez et il est l'heure pour Madame Sartier de se rendre à un de ces brunchs. Ces repas que tu exècres déjà à ton âge. A l'arrière il y a Claire, ta jumelle et Gauthier calé dans son siège auto. Eeva votre mère est au téléphone, tenant d'une seule main robuste le volant en cuir noir. Vous vous ressemblez, ses sourcils sont froncés comme les tiens, vos regards sont aussi froids l'un que l'autre et ça n'a rien de normal pour un gamin. Y'a Claire qui se met à frapper contre ton siège avec ses pieds, une fois, deux fois. Un soupir. arrête. t'es glacial. l'enfant continue, un peu plus fort. la voilà qui se fou à rire tout en chantonnant. arrête Claire ! Ta sœur qui s'acharne, et ta patience qui se fait de plus en plus limité. T'as les joues qui deviennent rouges et une veine qui gonfle sur le front. mère ! elle te lance un regard assassin alors qu'elle appuie sur l'accélérateur. Tu détaches ta ceinture, tu bondis littéralement sur la banquette arrière. Un cri, celui de Claire qui te regarde avec stupeur. Tu empoignes ses cheveux blonds nacrés avant de la secouer comme un prunier tout en lui hurlant dessus. JE T'AI DIS D'ARRÊTER ! MAMAAAAAN ! chouine-t-elle alors qu'elle mime des fausses larmes qui ne font que t'enrager. Gauthier agrippe une des longue mèches de cheveux de votre soeur et tire avec force dessus, t'as un regard complice pour le gosse alors que tu ne t'arrêtes pas d'en faire voir de toutes les couleurs à Claire. La voiture freine brutalement. Tu te retrouves la tête la première sur la moquette de la bagnole, ta jumelle un sourire ravie jusqu'aux oreilles alors que tu entends la porte côté conducteur claquée. Quand celle de l'arrière s'ouvre, t'es extirpé de l'habitacle avec vivacité. qu'est ce que je t'ai dit en partant ?! à l'aide de son index et de son pouce elle tient avec fermeté ton menton pour que tu ne scilles pas. Tu hoches la tête grimaçant. La gifle tu t'y étais préparé, c'est pour cette raison que tu ne bouges pas d'un pouce. Y'a Claire qui sort de la voiture, défroisse sa robe baby Dior alors que ta mère libère le mioche de son siège auto. Elle s'approche de toi, arrange tes cheveux sans le moindre sourire, te tire une nouvelle fois par le col de ton polo à trois cent dollars avant de te donner une tape derrière le crâne. allez, et ne me faite pas honte. surtout toi jean, je ne veux pas une seule esclandre, pas une seule grimace. tu entends ? ... regard sévère pour toi, sourire enjoué pour Claire qui vient s'accrocher à ton bras. tu es parfaite ma chérie, parfaite !


(de nos jours) ta sœur te toise, assise telle une reine sur le fauteuil en cuir, verre de vin entre ses doigts fins -un grand cru des plus français. une roturière jean ? vraiment ? et le ton de sa voix est condescendant, un rictus se dessine au coin de ses lèvres. qu'est-ce que ça peut bien te foutre claire ? je ne compte pas l'épouser, et tu le sais. que tu réponds en avalant une gorgée de bourbon. une histoire d'amour pour faire taire l'esprit perturbé de ta mère. claire ricane, parce que claire te connait mieux que personne. elle est ton double, la jumelle, le reflet dans le miroir.  vous vous ressemblez plus que de raison, vos réactions sont les mêmes, de vos coups de sang jusqu’à vos larmes. j'espère qu'au moins elle sait te satisfaire. lance-t-elle avec un dégoût certain, et tu n'as pas le temps de répondre que barbara fait son apparition, tes yeux clairs se posent sur elle, tu la détailles un long moment et un sourire forcé se dessine sur ton visage.