En t'installant sur le canapé et après avoir inviter la jeune blonde a partir de nouveau sauf si elle souhaitait autant que cela de rester, bien que tu ne serais pas contre à l'idée qu'elle prenne soin de Jay a ta place, tu as fermé les yeux. Tu voulais chercher un minimum de sommeil, pourtant ton esprit était bien décidé a te torturer de toute les façons possibles. Que ce soit pour te renvoyer les images de cette garce ou de t'empêcher de trouver le repos en pensant ensuite a ton fils. Puis viens le tour de ta famille, tu sais bien ce qu'ils pensent de toi. Ce que tout le monde pense de toi sur le sujet de ton gamin. Ils ont raison, du moins c'est ce que tu as finis par croire. Tu te souviens des mots de ta mère lorsque Féline l'a déposé dans les premières semaines. Elle t'avait injurier de toutes les sortent avant de te faire comprendre que quoi qu'il arrive tu serais un parfait incapable de prendre soin de l'enfant. Tu avais sans doute finis par accepter intérieurement les mots de toutes cette personne, puis au fond, ta mère était bien contente que la situation soit tourner ainsi. Elle prend un malin plaisir a te rappeler ta connerie un peu plus chaque jour. Bref, tout est bien plus compliqué derrière le masque de connard que tu laisses paraître à tout le monde. Pourtant tu n'es pas une si mauvaise personne quand tu le veux réellement. Les yeux fermés tu sens la présence de la babysitter s'infiltrer encore un peu plus, au point où elle en vient même à s'installer à côté de toi et que sa main se pose sur ton bras. Tu rouvres les yeux en tournant ton regard sur cette dernière l'écoutant attentivement. Tu détestes ses mots. Tu détestes tout ça. Tu sais qu'elle ne le pense pas et si elle veut rester ici c'est sans doute par pitié parce qu'elle te prend clairement pour un incapable. Tu l'as assez compris, mais tu n'as pas envie non plis de te battre. Te redressant pour appuyer tes coudes sur tes genoux, ton menton dans ta main, tu tournes de nouveau la tête vers elle. Un sourire en coin sur le visage lorsqu'elle lâche un petit rire.

« Tu es bien mignonne April. Je te remercie bien de prendre soin de mon fils, mais en ce qui me concerne je t'assure que je n'ai besoin de personne. Puis mes états d'âmes ou je ne sais comment tu veux les appelés, importe bien qui que ce soit. »

Tu te lèves du sofa en venant ouvrir la baie vitré pour prendre un peu l'air, avant a ton tour de lâché un rire presque mesquin, mais plus présent par la fatigue tu lâches une fois encore, un peu amère dans tes paroles.

« Puis franchement. Qui serais-je pour fissurer mon image de connard en venant me lamenter de ma vie. Je n'ai aucune raison de m'apitoyer sur ce qui m'arrive, je suis bien le dernier en avoir ce droit. »

Et ça tu le penses. Tu sais que tu as de l'argent, tu sais que tu as surtout beaucoup de chance d'être dans un monde comme celui-ci, tout le monde n'a pas cette chance. Certains crèvent la dalle dans les rues ou dans les autres pays. Toi tu as et tu as toujours eus ce que tu voulais. Tu n'as pas le droit de te plaindre pour une simple histoire d'ex. Bref, tu regardes l'extérieur. Les lumières de la ville qui danse doucement au son de klaxons des voitures et des taxis New Yorkais.

« Si tu tiens tellement a rester ce soir, je vais allez te préparer une chambre. Est-ce que tu as faim ? »

Peut-être con et arrogant, mais pas ignoble avec tes invités.

En lui parlant le plus sincèrement du monde, même si t’as bien conscience qu’il doit penser le contraire, tu te rends compte que ça fait un moment que tu sais qu’il n’est pas aussi dur qu’il cherche à le paraitre. A faire partie en quelque sorte de son quotidien depuis deux ans, tu as pu t’en apercevoir. Jamais de façon aussi flagrante que ce soir évidemment, mais c’était là, sous tes yeux. T’as rien vu, ou rien voulu voir, parce qu’il t’agaçait à agir comme le dernier des crétins. Que ce soit en étant indifférent à son fils, ou à chercher à tout va à te mettre dans son lit. Mais maintenant, ça te parait évident. Tu omets d’en faire la remarque dans ton explication, ça ne servirait probablement pas à grand-chose, sinon le refaire sortir de ses gonds une nouvelle fois, alors qu’il semble s’être calmé. Tu secoues la tête, t’es pas d’accord avec lui. « Je pense que tu te trompes Lucky. Il y a forcément des gens autour de toi que cela importe. » T’évite de lui dire que tu fais partie sans doute de ces gens, parce qu’il n’est visiblement pas enclin à te croire sur ce point. Tu le vois à son regard sur toi qu’il pense que tu ne fais que le prendre en pitié. Oui, ça t’a fait étrange de le voir dans cet état vulnérable, mais non, t’as pas pitié. Juste une marque d’affection. Il a beau se montrer rentre dedans, parfois odieux, souvent autoritaire, à force de le voir, tu t’es un peu attachée à lui comme tu t’es attachée à son fils. Après tout, l’un comme l’autre font désormais parti de ton quotidien à toi aussi.

Tu soupires en l’entendant reprendre la parole. Ça t’exaspère qu’il s’obstine à essayer de se montrer si sûr de lui, quand clairement ce n’est pas toujours le cas. Surtout que maintenant tu sais que ce n’est qu’une façade et qu’il sait que tu le sais. Tu ne dis rien, tu te retiens avec toute la volonté dont t’es capable de faire preuve. T’as envie de lui crier qu’il doit arrêter de faire ça, mais tu lui parlerais sans doute trop sèchement, plus que tu ne le souhaiterais et tu ne veux pas prendre le risque de réveiller encore Jason. T’es perdue dans ton combat intérieur pour te taire quand la voix de Lucky te ramène à l’instant présent. « Oh euh oui merci. » Tu te lèves du canapé dans l’idée de l’aider, parce que tu n’es pas du genre à attendre qu’on te fasse tout, t’aimes pas ça. Et seulement là, finalement t’oses lui répondre à sa précédente phrase, maintenant que t’es plus dans l’impulsivité du moment. « Pour répondre à ta question, même si j’imagine qu’elle était plus rhétorique qu’autre chose. Tu serais simplement Lucky si tu le faisais et personne ne pourrait te blâmer pour ça. Ce n’est pas parce qu’on a une vie qui donnerait à être par beaucoup, qu’on n’a pas le droit d’avoir d’états d’âme parfois. » Tu as bien fait d’attendre un peu pour répondre, au moins là ça sort calmement et d’une manière qui ne dépasserait pas tes pensées ou qui pourrait être mal interprété. Tu t’étonnes presque toi-même d’avoir réussi à contrôler ton impulsivité. « M’enfin si ça te plait de ne montrer que cette image de toi, c’est ton choix. » Oui c’est son choix, tu ne peux pas l’obliger à changer, t’as pas forcément envie non plus d’essayer de le changer. Toi t’aimerais juste bien qu’il fasse au moins tomber ce foutu masque pour son fils, après pour les autres, tu t’en fiches un peu. Puis maintenant, toi, tu sais. Tu sais qu’il n’est pas aussi « connard » qu’il aime le faire croire.

Tu n'as pas tellement envie de te prendre la tête avec tout ça, du moins pas ce soir. Tu te sens comme épuisé, que ce soit physiquement par ton boulot qui ne reste pas moins épuisante, ou que ce soit mentalement. Tu te bats intérieurement pour ne plus pensez a elle, mais son visage te reviens sans cesse. Sans te laissé la moindre seconde de répit. Mais bref, tu es également encore plus fatigué avec l'idée que la baby sitter de ton gamin est pu voir une autre facette de toi alors que tu as toujours tout fait pour que personnes ne puisse te percer sous cette lumière. Tu n'aimes pas la faiblesse, c'est un trait de caractère chez toi, tu as besoin de te montrer sous le pire de visage pour que personne ne puisse entrevoir l'ombre quelconque d'une véritable humanité finalement. Non, tu ne supporterais pas que quelqu'un se joue de toi avec ça. Tu en as vues hélas des personnes ayant rester trop naturel, trop confiant sur leurs propres volontés pour ensuite écrasé par d'autres. D'autres un peu comme toi finalement, de ses arrogants qui se prennent pour les meilleurs. Tu sais que tu ne l'es pas, mais les autres eux, ils doivent le croire. C'est cette image que tu veux renvoyer pas une autre. Et tu l'entends bien de la bouche a la blondinette d'ailleurs a quelques minutes proche de tes pensés. Un sourire sur le coin de ton visage avant de légèrement tourner ton attention sur elle tout en haussant légèrement des épaules, de nouveau se masque de dureté revêtu sur ton visage sans expression.

« Ce n'est pas une simple image que je montres. C'est surtout ce que je suis. Et si je ne m'abuses, tu serais bien la seule a dire le contraire. »

Haussement de nouveau des épaules parce que tu sais que c'est la simple et pure vérité. Même tes parents te prennent parfois pour un monstre, mais ils oublient bien trop vite que c'est à cause d'eux tout ça. Que c'est eux qu'ont créé un monstre finalement. De part leurs absences ou la demande de perfection du père pour son fils. Oui, il y a des séquelles de ton éducation dans le comportement que tu adoptes aujourd'hui, mais jamais ils ne pourront l'avouer. Tu arrives rapidement dans une chambre assez spacieuse et sympathique, faisant la porte à côté de ta propre chambre. Tu te tournes vers la blondinette changeant donc de sujet, en espérant une bonne fois pour toute.

« Je te proposes cette chambre pour cette nuit. C'est pas grand chose, mais bon. Puis si jamais tu as besoin de quelques choses, tu pourras toujours frapper à ma porte. »

Tu entres dans la pièce en venant prendre oreiller et couverture que tu gardais dans une armoire. Tout y est propre, de toute façon personne ne dort jamais ici, pas même tes conquêtes nocturnes qu'en général tu jettes aussi tôt l'amusement passé. Non tu n'es pas du genre a les laissés tranquillement dans tes draps jusqu'au petit matin, jamais. Venant tout déposer sur le matelas, tu regardes du coin de l'oeil la jeune femme avant de te redresser légèrement et venant prendre dans une commande un pull t'appartenant et un bas de jogging que tu poses eux aussi sur le lit.

« C'est un peu improvisée, tu ne refuseras sans doute pas un accoutrement pareil en guise de pyjama pour la nuit. Sauf si bien évidemment... Tu veux être en tenue plus légère... »

Tu la taquines légèrement, ne perdant pas ton côté... Vicieux et rentre dedans, lâchant un petit rire avant de t'approcher et de la dépasser dans le couloir. Maintenant que c'est fais, tu tournes les talons pour revenir vers la cuisine. Toi tu as une faim de loup, mais tu ne sais clairement pas quoi manger pour ce soir, tu jettes un œil a l'heure, il n'est que vingt-et-une heure tu peux toujours commander des sushi ou italien.

« Tu préfères manger quoi ? Je commanderais ce que tu veux, mais pas de pizza. »

Tu te surprends presque à apprécier la tournure que prend la soirée et la conversation. T’avoue que tu ne t’attendais pas trop non, ni à rester, ni à le voir comme tu as pu le voir ce soir. Tu le suis dans l’appartement, tout en l’observant. Tu dois bien admettre qu’il t’intrigue en fait. Alors tu ne manques pas le sourire en coin, le haussement d’épaule, et encore moins le changement d’expression sur son visage. Il vient de remettre ce masque de dureté, cherchant à recréer une distance avec toi. Tu ne sais pas trop pourquoi, mais il le fait. Tu lèves les yeux en écoutant sa réponse. Tu te retiens d’exprimer plus ta consternation de quelque manière que ce soit. « Je n’ai pas dit que tu ne l’étais pas, juste, je pense que tu n’es pas que ça. Que tu ne montres que cette image de toi, cette partie prédominante de ta personnalité, on est d’accord là-dessus, j’irais pas dire le contraire. Mais tu n’es pas que ce que tu montres aux autres. Désolée pour toi, mais j’ai pu le voir ce soir et tu ne me feras pas penser le contraire.. » Tu as pu le voir ce soir et à d’autres occasions, mais t’en avais pas conscience, tu n’y avait sûrement pas plus fait attention non plus. Seulement, ce soir, tu y as fait et tu as vu. T’as bien compris que ça ne plait pas franchement à Lucky, qu’il n’a pas l’habitude qu’on le perce à jour. Sauf qu’il va bien devoir faire avec le fait que c’est ton cas maintenant. « Promis, je garde le secret. » Tu laisses échapper un rire léger en faisant mine de fermer tes lèvres et de jeter la clé. Ce n’est pas parce que tu as pu remarquer cette autre facette de sa personnalité, que tu vas aller à s’en encontre en l’exposant. Après tout, c’est son choix de ne laisser paraitre que l’arrogance, la dureté, la confiance, fin ce qu’il a l’habitude de montrer de lui. Il doit bien avoir ses raisons pour être et agir comme ça, et tu serais bien mal placée de vouloir changer ça. Tu es qui pour lui ? Personne, sinon la babysitter de son fils. Par contre, rien ne t’empêche d’essayer de comprendre, même si ça ne va pas lui plaire, tu le sais d’avance. Sauf que t’es trop curieuse, et t’aime bien essayer et arriver à comprendre les choses que tu ne comprends pas. En l’occurrence là : Lucky.

Arrivés à la chambre qu’il t’offre pour la nuit, tu le laisses entrer, préférant rester dans l’encadrement de la porte, appuyer contre ce dernier. Tu l’observes faire. Tu sens que votre conversation l’a mis mal à l’aise. Il s’est empressé de changer de sujet. Quoi qu’il en dise, t’a mis le doigt sur quelque chose et ça le gêne. Pour l’heure, tu n’insistes pas. Ça ne sert à rien, qu’à le braquer plus encore. Et très honnêtement, tu aimes bien la version sympa de Lucky, alors tu n’as pas vie de te prendre la tête avec lui. « Elle est parfaite. Tu aurais même pu me laisser dormir sur le canapé, ça aurait été tout aussi bien. Et compte sur moi pour venir t’embêter si j’ai besoin. Je ne suis pas du genre à me gêner de toute façon. » Tu lui souris. Tu sais que tu le provoque un peu. Ça t’amuse au fond quand il essaye de te mettre dans son lit. Tu refuses toujours, parce que tu n’as pas vraiment envie d’être juste une fille de plus sur la liste. Mais ça n’empêche pas de jouer un peu aussi. T’es loin d’être prude. Tu soupires amusée à sa remarque, tout en prenant les vêtements qu’il t’offre pour la nuit. « Tu ne rates jamais une occas’ hein ? Mais merci, ça fera l’affaire. » Tu ne lui dis pas qu’effectivement, la plupart du temps, tu n’es que très peu vêtue pour dormir. Au mieux juste ta petite culotte, au pire, si t’as un peu froid, tu passes un t-shirt. D’ailleurs, ce soir tu ne vas probablement utiliser que ce dernier, le bas de jogging, tu vas le garder pour le matin. Quoique tu serais capable de te balader en t-shirt et sous-vêtements devant lui juste pour narguer. Alors qu’il sort de la chambre, reprenant le chemin de la cuisine, tu le suis, les fringues toujours dans les bras. T’as même pas pensé à les poser sur le lit pour plus tard, surprise par la rapidité avec laquelle il s’est éclipsé. « Pourquoi ? Tu as quoi contre les pizzas ? Les pizzas c’est la vie ! » S’il ne savait pas encore qu’entre les pizzas et toi c’est une grande histoire d’amour, c’est chose faite. Tu aimes toute sorte de malbouffe et ne t’en cache pas. Mais les pizzas ont clairement ta préférence. « Sinon, des sushis ça me tenterait bien. Ça fait un bail que j’en ai pas mangé. Si ça te va aussi. Je ne suis pas difficile au pire, si tu préfères autre chose, je m’en accommoderais. » Tu regardes les vêtements que tu as toujours dans les bras et les soulève très légèrement d’un geste en parlant. « Ça ne te dérange pas si je me change pour me mettre à l’aise ? J’en peux plus de cette robe. » Et juste histoire de t’amuser un peu à ses dépends, tu fais mine de commencer à te changer là, devant lui, en le regardant droit dans les yeux.

Tu n'avais tout simplement plus envie de te prendre la tête avec toute cette histoire, car bon pour être honnête, que cette demoiselle te connaisse désormais sous un autre visage, ce n'est pas vraiment une mince à faire puis pour être honnête cela te dérange pas mal. Tu n'aurais jamais imaginé une seule seconde qu'une personne puisse le découvrir, qu'une personne puisse voir finalement la facette de toi qui n'est pas totalement un connard ! Ouais, c'est vraiment dérangeant pour ton image, mais si ce n'est qu'elle c'est pas si grave. Après un petit sourire et un rire, la jeune femme te promet que cela restera un secret tout en faisant fermer sa bouche d'un mouvement de zippe et elle jette la clés. Tu ne peux pas t'empêcher de lever légèrement les aux ciels et de hausser les épaules avant de finalement lui proposer ce fameux pyjama en lui laissant une petite phrase rentre dedans. Non, comme elle peut le dire, tu n'en loupes pas une pour lui rappeler que tu aimerais bien l'avoir dans ton lit. Il faut dire que la jeune Adkins n'est pas du tout repoussante ! Mais tu ferais mieux de te faire à l'idée qu'elle et toi ce n'est pas possible. Un sourire sur le coin des lèvres, tu t'es ensuite éclipsé rapidement de la chambre pour rejoindre de nouveau la cuisine. Tu as comme eut un petit mouvement pour vérifier que la porte du gamin est bien fermé, cette fois ci il semble dormir. Heureusement, tu n'aurais pas vraiment eu l'envie de t'en occuper plus que ça, malgré que le petit blondinet ne demandes jamais grand choses.

Une fois dans la cuisine, tu as eus un moment de réflexion sur l'idée de cuisiner. Non, tu n'en as pas envie et tu n'as pas la patience nécessaire pour ce soir. Tu la regardes donc qui a toujours entre les mains les vêtements et tu lui proposes de faire une commande téléphonique, mais pas de pizza. Elle s'offusque, mais sa réaction ne peut que te faire rire et en levant les yeux aux ciels, encore.

« Je te rappelle quand même que je travailles au quotidien dans une pizzeria, donc même si j'adore la mal bouffe, pour l'instant je n'ai pas très envie d'en remanger ! »

lâches-tu dans un petit rire léger avant de finalement te rendre dans le salon en venant prendre ton portable. Une fois les quelques pas fais en direction du canapé, tu te retournes pour poser tes yeux sur la jeune femme. Mais quel surprise lorsqu'elle commence a se changer devant tes yeux. Tu les ouvres grands surpris toujours de voir la témérité de la petite blonde ! Tu pinces ta lèvres avec un sourire en coin.

« Voyons tu peux... Faire comme chez toi. De te mettre à l'aise, si tu veux je peux également t'aider... »

Tu t'approches légèrement d'elle, tu vois bien qu'elle le fait pour te taquiner et tu comptes bien entrer dans son jeu. Quelques pas de plus, te voilà a quelques centimètres d'elle. La regardant droit dans les yeux avec un sourire en coin sur le visage, tu t'abaisses vers elle, tes lèvres venant non loin des siennes.

« Mais bon je suis sûr que tu es grande fille et que tu arriveras a te débrouiller toute seule. Et je sais parfaitement que tu le fais volontairement ma petite demoiselle. »

Clin d'oeil et tu te recules avec un rire léger. Cela fait bien longtemps que tu ne t'es pas sentit de façon aussi légère ? De pouvoir profiter pleinement d'une soirée et surtout calmement. Tu reprends le cellulaire et compose le numéros des sushis. Puis bizarrement tu as envie de faire plaisir a la jeune femme. Levant les yeux dans sa direction, tu lâches un petit sourire.

« Bon tu manges quoi comme pizza ? »